IDEO ANV Partis politiques

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Les partis politique sont désormais assez nombreux, depuis la scission des partis issus de la Révolution et de l'émergence des Verts, dans les années '70 (les deux principaux partis écologiques furent, d'ailleurs, d'anciennes associations).

RPA

Le tout premier parti, fondé avant la Révolution (dans la clandestinité) fut le parti Républicain (RPA). Ce parti est à peu près dans la mouvance de ce que fut le RPR en France, ou bien la CDU allemande (l'aspect "chrétien" en moins). Au départ plutôt (modérément) à gauche (par rapport aux royalistes, puis au NPP) il a glissé à droite, suite à l'émergence, tout d'abord du courant socialiste (fondé, lui aussi, clandestinement) puis de l'extrême gauche (communistes). Le RPA est la première force politique du pays mais il est très loin de la majorité absolue, de plus, il est talonné (voire dépassé, dans certaines provinces ou régions) par le SPA (socialistes). Durant les années sombres, le RPA refusa tout compromis avec le NPP et entra en clandestinité aux côtés de la gauche, pour faire renverser par la force la dictature d'Hakrel (transfuge du RPA) puis de Ruz. Ce refus de compromis avec l'extrême droite, continua par la suite.

ADF

La droite a un autre représentant: l'ADF (Anoeven Demokràtig Forum), lequel a déjà changé deux fois de nom. Comme ses initiales le laissent supposer, cette formation a plus d'analogies avec la (défunte) UDF en France ou bien le FDP allemand. Cette formation apparut dans les années '50 sous le nom d'ODU (Ogsídenten Demokràt Ùtyn) et afficha tout d'abord ses convictions: amener l'Aneuf à s'allier aux États-unis pour barrer la route au communisme. L'ODU ratissa large (du centre droit à la droite dure), mais pas suffisamment pour empêcher des victoires notables de la gauche dans les années '50 et '60. Plus ou moins mouillée dans la tantative de putsch de 1974, elle se saborda pour renaître quelques années plus tard, sous le nom de FPA (Fræjen partet Anoeven): Parti libéral d'Aneuf. Mais, peu après, des dissentions apparurent au sein de cette formation. Afin de ne pas voler en éclats, il se transforma en FUA (union libérale) dont le FPA était la branche la plus dure (mais pas la plus importante). D'autres partis étaient membres de cette union (comme en France, dans les années '70 & '80 où l'UDF rassemblait le parti républicain (ex-rép. indépendants), les CDS etc...) comme le FDPA, le DPS (Demokràtig Partet Saṅtren), la LDU (Lakùren Demokràt Ùtyn) etc... Toutefois, la radicalisation du FPA et ses frasques peu recommandables avec l'extrême droite firent sortir le FPA de l'Union. Afin d'éviter une possible confusion FPA/FUA, celle-ci changea de nom et prit le nom actuel de ADF. L'ADF désira bien récupérer le parti républicain au passage, mais celui-ci déclina l'"offre".

La Gauche

Le parti socialiste fu fondé presque en même temps que le parti républicain, mais sur des bases proches de Marx, Engels, Blanqui & Proudhon. Tout d'abord nettement moins influent que le parti républicain, aux côtés duquel il avait renversé le régime Deskerrem, il vit ses rangs grossir au fur et à mesure du mécontentement des salariés, grugés par les promesses des Républicains. Mais ce parti allait lui-même se scinder et les plus radicaux des militants allaient fonder le SRPA (Soçjeneset-revolœnteset partet Anoeven). Ce parti, orienté plus à gauche encore que le SPA allait tenir, malgré des dissentions internes assez fortes, jusqu'en 1935. Là, il se scinda : une partie des adhérents allait devenir l'Eljakeset Partet (parti anarchiste), une autre allait adhérer, bon an mal an, à la 3me Internationale (AKP), quant aux autres, ils allaient rejoindre le SPA pour en former la branche la plus radicale. Ces formations participèrent à la lutte armée contre le régime Hakrel puis contre l'ouvertement nazi Ruz. La liberté retrouvée, ces partis retrouvèrent une vie civile normale. Le secrétaire général de l'AKP<ref>Celui-ci devrait constituer, avec l'aile gauche du SPA, au prochan congrès, l'ASA (Anoeven Sosjenéset Alkaṅvisat: Alternative socialiste aneuvienne, une version moderne du SRPA ; le reste du SPA devrait récupérer les transfuges ayant fondé le SdPA.</ref>, Timor Zetorg, qui s'était abrité à Novosibirsk (Cf M THorez, du PCF, à Moscou) pendant la tourmente, fut mis en minorité par un homme de terrain, Alban Gonterg à l'issu du 3me congrès du parti. Plutôt que de se soumettre, il préféra partir et fonder son parti: l'AKA, Anoeven Konserteson Àlljaṅs (kœm Moskovs diront ses détracteurs, tant à gauche qu'à droite). La Gauche eut des victoires significatives dans les années '50/'60 : le Malyr (SPA) en '51, le Kanolthe en '53 et le Roenyls en '61 et elle permit l'accès à la Pande à un nouveau statut en '72 avec un parti local : l'union démocrate pandaise (ПШП). Mais cette embellie n'allait pas durer, et ce n'est pas tant à cause des bouleversements d'Europe centrale (assez loin de l'Aneuf, quand même) mais plutôt par un renouvellement problématique des personnalités charismatiques. Des figures comme Alban Gonterg (AKP) ou Akirons Ballan (SPA) vieillissaient et les "jeunes loups (louves)" n'avaient pas les dents assez longues. Le SPA perdit le Malyr pendant 4 ans (pour le retrouver ensuite) à cause d'une scission de son aile "modérée" rejoignant plus ou moins le centre-gaughe: le SDpA. Le Kanolthe passa à droite, puis, huit ans plus tard, chez les Verts. Le Roenyls passa, lui aussi, à droite. Les évènements d'Europe centrale eurent quand même une conséquence : la chute d'audience de l'AKA qui fusionna un temps avec les "maoïstes-modérés" (!) du KPAml pour fonder le KPA... qui allait disparaître dix ans plus tard. Quant aux trotskystes, interdits d'AKP dans les années '30 pour cause de stalinisme de celui-ci, s'y intégrèrent en '45 quand Zetorg et ses hommes en partirent... pour partir à leur tour dans les années '70 et fonder l'AKL lequel, depuis peu, a changé de nom et s'appelle FS: Fræjentar Skerd: gauche libertaire. À la fin des années '90, le SAP éclata en plusieurs morceaux, selon les provinces et les tendances. C'est à cette époque que naquit l'ASA (Anoeven Sorsjeson Alkaṅvad : Alternance socialiste aneuviene ; groupement de partis un peu à l'instar de l'ADF, mais à gauche, un peu l'équivalent de l'éphémère Front de Gauche français). L'AKP, lui aussi changea de nom, en ramassant ce qui restait d'adhérents au KPA et au FS. Il s'appela l'ÙAK. Les "morceaux" du SAP s'appellent donc LPA (Làporeson PA : travaillistes tendance Tony Blair, du reste, le premier secrétaire s'appelle Anton Nooz), SPR (Sosjenon Partet Roenylsen), Alfazin Skerd (Gauche alfazienne)... Certaines formations, comme le LPA sont, depuis quelques années, à cause de leur alliance avec le centre, dans des situations des plus inconfortables. Le Centre (DPS, est lui-même tiraillé entre son aile droite (rappeler que le DPS est une composante de l'ADF) et son aile gauche, à qui le LPA proposa de conforter sa majorité lors des dernières élections malyroises, peu après l'éclatement du SPA.

L'extrême-droite

Les groupuscules d'extrême droite se multiplièrent dès les débuts de la République. Ils étaient fondés pour la plupart par d'anciens nobles qui n'avaient pas rejoint la Révolution. En fait, des nostalgiques de Deskerrem qui n'étaient pas décidés à désarmer et commirent des attentats ça et là. Mais dès les années '30, leurs mouvements s'essoufflèrent... mais tout danger n'était pas écarté. En effet, le danger vint d'ailleurs, d'un politicien, assez brillant, à ses débuts, un transfuge du RPA et qui promettait un avenir radieux pour les Aneuviens qui venaient d'essuyer à quelques années de délai, la crise de '29. Allan Hakrel fonda dans la foulée le NPP (Nàtynen Partet Poblen), un parti tout d'abord indépendant des autres forces politiques aneuviennes, mais qui allait bientôt puiser son inspiration en Europe centrale, en Italie et en péninsule Ibérique à la fin des années '30. Puis, ce parti afficha clairement son idéologie et son programme. Ce fut alors protestations, puis répressions, internements et meurtres en série. Mais l'opposition était demeurée importante. Il tenta donc une opération de séduction afin d'amener à lui les Républicains à lui et d'isoler la gauche, pour mieux l'écraser: sans résultat. Il s'appuya donc sur les nervis de Deskerrem pour garantir son pouvoir. La guerre civile fut alors déclenchée: plusieurs régions entrèrent en insoumission, certaines en payèrent le prix fort; d'autres furent assez puissamment armées pour opérer une résistance efficace. Les alliés d'Hakrel étaient loin et commencèrent également à essuyer des revers (Stalingrad, Afrique du Nord, arrestation de Mussolini). Celui-ci tenta donc un changement de cap mais fut court-circuité par plus extrêmiste que lui. Frank Ruz, le Himmler local, le fit éliminer (tout en chargeant la Propagande de faire passer ça pour un coup de force communiste) et prit sa place, mais le résultat fut désastreux. Il invita même l'aviation nippone à faire un nouveau Guernica sur le Sarimat (Région de Sfaaraies, capitale du gouvernement rebelle) et accueillit quelques dignitaires nazis qui avaient fui la défaite, en mai 1945. Mais l'Aneuf n'était pas au bout de ses peines. Il y parvint dans un premier temps en Juillet (libération d'Hocklènge) puis fit finalement place nette le 17 octobre. Certains membres du NPP tentèrent une opération de respectabilité, en se prétendant hostiles au traître Ruz. Mais ça ne marcha pas : le NPP fut interdit et ses cadres arrêtés. Fin du deuxième acte pour l'extrême droite aneuvienne. Le troisième acte se joua dans les années '70 lorsque des "expulsés" de Pande avaient rejoint des "noyaux" à Smùhr, Nezhaṅk, Saṅpaz et Martinstad. Un groupuscule, formé dix ans plus tôt, le KOO (Kynæs pœr àt Ogsídenten Ordyn = Mouvement pour l'Ordre Occidental), avec quelques appuis occultes tant logistiques que financiers, s'empara du Palais Provincial de Saṅpaz et déclara la sécession de l'Alfazie, dans l'espoir, avec l'appui des "forces" de l'est des Santes (anciens colons basés notamment à Smùhr), de marcher sur Hocklènge. Tout ce qu'obtinrent ses membres, ce furent quelques individus, tués en terroristes, des condamnations en tant que criminels et l'interdiction du KOO. Fin du 3me acte. Le 4me acte fut moins sanglant que les précédents (surtout les deux premiers) mais fut marqué, tout d'abord par le virage vers l'extrême du FPA (cf plus haut) et par l'émergence des plusieurs groupuscules plus ou moins rivaux (dont un "pseudo-écologiste": VN (Verydet àt naturen) qui voit surtout dans la nature, la notion de "sélection naturelle"), comme le KDO (héritier du KOO mais ayant aussi ramassé au passage quelques "égarés" de l'ODU, ou bien le Kœṅservor. Ces groupuscules ayant chacun leur spécialité : racial, antisocial, intégriste etc... ou même plusieurs à la fois en cas de "besoin".

Les Verts

Mais VN n'est qu'anecdotique et ne représente pas grand monde. Les vraies formations se destinant à protéger l'environnement fleurirent au milieu des années '60 sous la forme d'associations et se transformèrent peu à peu en partis politiques afin de peser davantage sur les choix politiques. Leur plus grande victoire fut sans aucun doute d'avoir arraché le Kanolthe à la droite, qui l'avait conquis quelque temps plus tôt à la gauche, à majorité AKP. Il y a, comme en France, deux tendances : une totalement indépendante: Anoev-Sypa et une un peu plus "calée" à gauche: le HP (Hræn Partet: parti vert). Ces deux formations ne reconnaissent aucunement VN comme un parti vert (plutôt : vert-de-gris!). D'autres petites formations existent, dans chacune des deux mouvances. L'ensemble ainsi formé forme actuellement le plus important courant politique aneuvien. Mais il n'a pas la majorité absolue : il est talonné par le RPA, puis le SPA. C'est dire si les campagnes de séduction vont bon train ! Mais les formations écologiques savent se retrouver en cas de besoin et, par exemple, un Hræn votera plutôt pour un A-S que pour un candidat de gauche porté sur l'écologie uniquement en période électorale.

Le centre

S'il y a un courant plutôt important en Aneuf, c'est bien le courant centriste. Toutefois, le Centre aneuvien n'a pas grand chose à voir avec ce à quoi il ressembla pendant des années en France, à savoir une plateforme de la droite vers les socialistes non marxistes. Le centre, avec ses formations (au centre-gauche : Làposreson, au centre-droit : DPS, au centre vert: Anoev-Sypa) fait un peu office de balancier dans les endroits où elle est suffisamment forte pour empêcher une majorité absolue. Rien n'emêchera un député, y compris de centre droit de voter contre une loi de droite si celle-ci est par trop radicale<ref>Ça a failli coûter cher au DPS, parce que cette formation était quand même fédérée à l'intérieur de l'ADF, une formation plutôt à droite, dans les faits. Cependant, Oskàr Edas, le lîdeur influent de cette formation centriste, se montra suffisamment persuasif et rappela les statuts de l'ADF aux personnalités les plus "affirmées" (à droite). Bref il parvint à préserver l'autonomie de décision de sa formation qu'il ne comptait pas transformer en simple "réserve de voix" à une droite radicale qui en prenait un peu trop à son aise dans certaines provinces.</ref>, même chose pour la gauche. En fait, le centre aneuvien, ce serait un peu comme le MoDem... oui, à quelque chose près. Sauf qu'il y a également des "électrons libres": des députés inscrits sur la liste du Centre, mais qui ne sont affiliés à aucun parti. Quand, dans une province où le Centre est puissant, une loi est refusée à quelques voix près, les regards de tous les édiles se tournent vers lui.

Les formations provinciales

En plus des partis ayant une audience nationale, il y a des partis dont l'influence est limitée à une province, voire une région.

Pande

  • L'Union démocrate pandaise: ПШП

Parti politique fondé dans les années '60, reconnu par les Autorités fénérales mais en proie aux tracasseries du gouvernement provincial d'alors, ce parti plutôt orienté à gauche lutta pied à pied pour l'autodétermination des Thubs, ethnie (mélanésienne) majoritaire dans cette province. Le Gouvernement pandais de l'époque était de type colonial et s'il n'affichait pas au grand jour ses options racistes, c'est uniquement parce qu'il n'en avait pas la possibilité constitutionnelle. Mais dans les faits, il en allait tout autrement : mesures discriminatoires (à peine) feutrées, intimidations etc... étaient le lot commun de cette Autorité de fait. Cette ambiance plombée, délétère dura jusqu'en juillet 1972. Après des élections, truquées encore une fois, la patience des Thubs fut à bout et les premiers troubles éclatèrent quinze jours après.

  • La Conscience Thub

Au contraire de l'Union démocrate pandaise, la Conscience Thub était une organisation extrémiste qui refusa le compromis avec les Aneuviens dont ils ne se reconnaissaient pas. Toutefois, comme ils s'étaient montrés nettement plus discrets que la PDU (ПШП) avant l'autonomie, leur intransigeance passa mal. Surtout que le courage de certains d'entre eux était assez limité et ils se bornaient à s'attaquer à des intérêts fédéraux en Pande plus qu'à des groupuscules d'anciens colons bouffis de rancœur qui s'attaquaient avec hargne à des civils thubs. Bref, à part pour quelques idéalistes prêts à tout, la conscience des membre de cette "Conscience" était quelque peu élastique. Cependant, après deux congrès houleux, la pusillanimité de certains hauts responsables éclata au grand jour et la Conscience changea quelque peu sa ligne politique. Il était temps pour la crédibilité de ce mouvement.

  • La Pande autrement

Parti assez récent, il apparut ces dernières années à cause de la lente transformation de la PDU (ПШП), laquelle, installée dans le confort du pouvoir avait plus ou moins oublié ses idéaux des années '70, plutôt orientés du côté gauche de l'hémicycle. Пandu Aмeкiʟe serait donc l'aile gauche sécessionniste de l'Union démocrate pandaise (ПШП). Jusque là, les seuls adversaires de la ПШП était la Чupu Koшiʒu (Conscience thub) et des partis aneuviens dont l'audience est plutôt faible (et même très faible, pour des formations comme l'ADF dont l'aile pandaise est PA (Pand Anoew : Pande en Aneuf).

Lakùr

  • La LDU (Lakùren Demokràt Ùtyn)

Cette formation, à prime abord indépendante, avait pour revendication, le détachement de la province du Malyr et la reconnaissance de Lakùr en tant que province fédérée. Cette formation, comme deux autres qui suivaient le même but n'avait guère de moyens financiers et logistiques. La FUA lui proposa d'entrer en son sein afin de renforcer ses moyens. Elle fit la même proposition aux autres mouvements qui, eux, préférèrent rester vraiment indépendants. En septembre 1981, à cause de l'indélicatesse d'une douzaines de députés, le Malyr bascula à droite. Le FDPA remplaça le SPA (et son allié, l'AKP) aux affaires malyroises. Tout-à-coup, la LDU cessa de mettre Lakùr comme province fédérée à l'ordre du jour: son affiliation à la FUA, au pouvoir au Malyr était évidente. Sa crédibilité et son audience commenèrent à s'effriter. Afin de freiner la chute du nombre d'adhérents de cette formation, certains membres des autres partis de la FUA changèrent de crèmerie. La FUA pensait rester à Sfaaraies de manière durable: il n'en fut rien: le SPA remporta les élections législatives de 1985 et revint aux affaires de la province du Malyr. La LDU repartit alors à la charge, mais sa crédibilité était tombée en chute libre et les Lakuriens qui revendiquaient un véritable pouvoir au sein de l'État fédéral préférèrent aller voir ailleurs.

  • Ailleurs, c'était notamment LSN (Lakùr Solpáṅrat Nesetœl: Lakur Archipel autonome), une formation vraiment indépendante, avec des arguments plausibles, comme notamment ses richesses minérales, l'éloignement de la province directrice. Les arguments opposés étaient le déséquilibre démographique entre Lakùr et les autre provinces, notamment le Roenyls ou le Malyr. La population de l'ensemble de Lakur est moins importante que celle de la seule agglomération de Nælvyn. Toutefois, le débat sur l'indépendance de Lakùr par rapport au Malyr partait sur des bases plus sérieuses qu'avec la LDU, laquelle disparut purement et simplement quand la FUA renaquit sous le nom d'ADF.

Autres

Les autres provinces n'ont pas de partis locaux notables (audience supérieure à 10% des suffrages exprimés). Le Kœṅservor (déjà évoqué) a des prétentions à travers tout l'hexagone (eh ouais, l'Aneuf aussi a une forme d'hexagone... tourné dans l'aut'sens) mais son audience ne dépasse quasiment pas l'Alfazie, où il a quand même atteint 8% aux dernières législatives.

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