Discussion:Particule : Différence entre versions

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Pour les apparats critiques, je propose que ceux-ci soient limités aux remarques (du style : attention ! y faut deux S à "poisson" et un seul à ''fish''). Quant aux sources & références, elles peuvent êtres mentionnées dans un paragraphe cour du style : "références" ou "origine des liens externes" s'il y a des liens externes mentionnés dans le corps du texte ; ce qui permet à la fois une certaine cohésion entre les styles des articles (certains préféreront centraliser les liens externes et d'autres (dont moi, t'auras d'viné) les placeront en pertinence avec le paragraphe concerné), mais il y aura un paragraphe commun, quelle que soit la solution adoptée, qui centralisera les sources, ce qui mettra tout l'monde d'accord. Contrairement à ce que fait Wikipédia, je ne suis guère d'avis de ne mettre qu'un lien (surtout externe !) en apparat critique. Le lecteur qui "descend" en bas d'la page s'attend à lire une explication et n'a pas spécialement envie d'être "trimballé" en dehors de sa page de lecture ; il veut remonter assez vite pour lire la suite du paragraphe. J'ai toujours trouvé assez pénible toute la liste de liens en apparats critique (chez Wikipédia) là où je m'attendais à lire, par exemple, l'explication des particularités d'une règle. Comme toi, je recherche un certain confort de lecture (mais on n'a pas la même notion, d'où nos divergences) et un lien externe en noir (dans le corps du texte) a, pour moi, deux avantages :
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:une continuité dans la lecture du texte (au lieu de descendre et de remonter pour un simple lien qu'on ne consultera pas forcément), les caractères étant de la même couleurs.
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:Le lien (externe) étant quand même marqué d'une petite flèche bleue, libre au lecteur de la suivre ou de rester dans la page.
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Par contre, je tâche au maximum de donner aux liens internes un certain "relief", en gardant la couleur "bleu ou indigo" de ceux-ci. Les liens "cachés" concernent la République aneuvienne (et encore ! depuis les articles aneuviens ; aucun, à mon souv'nir depuis un article généraliste !), un sujet qui n'intéresse pas forcément un idéolinguiste consultant Idéopédia (donc inutile de l'envahir avec ça) mais qui pourra intéresser quelques diégésistes qui sauront (parce qu'en général, ils aiment bien le mystère) ouvrir la porte cachée du placard à balais du 6<sup>me</sup> étage de l'aéroport de Frankfurt/M.
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Pour un article plus détaillé sur les particules onomastiques, pourquoi pas, si certains on des connaissances dans l'domaine : moi, j'ai dit tout c'que j'savais ! En plus de ça, les nobles aneuviens n'avaient pas de particule à leur nom ; éventuellement, j'aurais pu commencer leur nom par ''Us-'' comme dans ''ar '''us'''pùzer àt hoosev'' = ils sortent de la maison ; en plus, ''Us-'' est également le début de ''[http://www.youtube.com/watch?v=_41ER3SL5f4 <font color=black>Usher</font>]''<ref>En anglais, hélas, mais l'image animée (niveaux de gris, mais toutefois la pluie n'est pas très réaliste) et la musique sont belles</ref>, cher à Edgar A. Poe.
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--[[Utilisateur:Anoev|Anoev]] 30 octobre 2012 à 20:37 (UTC)
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[[Catégorie:Dictionnaire de linguistique]]
 
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[[Catégorie:Grammaire]]
 
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Version du 30 octobre 2012 à 21:37

Une particule est un petit mot grammatical non autonome, qui a besoin d'un autre mot (en général, un verbe ou un nom) pour prendre toute sa valeur. Une particule ne peut donc pas être traduite seule sans son contexte mais ne peut que véhiculer une valeur sémantique très large. On classe parfois sous le terme de particules les affixes, les conjonction, certains adverbes (ne en français, en grec) ou encore les prépositions.

Description

Une particule est un mot généralement court du fait de sa grande usité. Il n'a pas de sens précis mais véhicule une valeur sémantique large qui prend tout son sens une fois placée dans un contexte précis. Dans la plupart des cas les particules sont invariables et ne subissent donc aucune flexion ni aucune dérivation. On distingue, en linguistique, deux types de particules :

Particule grammaticale

La particule grammaticale est le type de particule le plus répandu. Il s'agit de petits mots très usités et ayant une fonction grammaticale précise. La nature de ces particules change selon les langues en question. Ainsi les langues isolantes et mixtes ont davantage recours aux particules que les langues agglutinantes.

Une particule peut être placée avant (préposition) ou après (postposition) le mot qu'elle accompagne. Certaines grammaires considèrent parfois leurs affixes comme des particules. Les particules peuvent exprimer la modalité (particule modale), accompagner un verbe (particule verbale, clitique).

Particule onomastique

Une particule est dite onomastique lorsqu'elle est utilisée en accompagnement de certains noms de familles à titre honorifique, afin d'apporter une distinction particulière à leurs titulaires. On aura, par exemple :

Frenchflag.jpg Espagnol De, de la...
Britishflag.gif USA.jpg Mc, La, Di<ref>Ces particules sont souvent collées au nom de famille lui-même (USA).</ref>
Italien Da, Di
Néerlandais van
Allemand von.

Idéolangues

Avataneuf.gif Aneuvien

L'aneuvien fait également appel à une kyrielle de particules, toutefois combinées avec le verbe du procès à l'indicatif, au subjonctif, au participe, plus rarement à l'impératif. Le temps de ce verbe pouvant être au présent et/ou au passé.

La particule ere est issue du verbe ere, à ceci près qu'elle reste invariable et c'est le verbe qui est conjugué.
Ar erer adàrlene = Ils étaient prospères
ar ere adàrlene = ils prospéraient.

Elle est utilisabe également au participe et au subjonctif :

Eg ere waadun tep ar ere pùz = j'attendais qu'ils partissent.
Mir est utilisé pour toutes formes de futur plus ou moins éloigné
O mir progit ed rœdhatev en = tu avanceras à mon signal.
Da mir habéa ùt osdòrac = il aura eu un empêchement.
D'autres particules, telles que auk ou dhep sont utilisables, à l'indicatif surtout, au subjonctif, plus rarement.

Elko.jpg Elko

En elko, une particule est un mot invariable formé au moyen d'une clé réduite. Les particules constituent une partie importante de la grammaire elkanne. Elles permettent d'exprimer des nuances et des subtilités mais peuvent également rendre la langue parfaitement isolante en se substituant à toute forme de dérivation ou de flexion. C'est pour cette raison que l'elko n'est ni considérée comme une langue flexionnelle, ni comme une langue isolante mais comme langue mixte. Le choix d'utiliser ou non les particules revient au locuteur lui-même.

Il existe quatre type de particules :

  • Les particules vocaliques : Il s'agit de voyelles uniques qui sont utilisées en place des signes de ponctuation qui n'existent pas, à l'origine, en elko.
  • La particule consonantique : Il n'en n'existe qu'une : j, elle sert essentiellement d'ensemble vide.
  • Les particules syllabiques : Il s'agit de syllabes composées d'une consonne et d'une voyelle, elles sont des formes réduites des mots les plus courants.
  • Les particules cumulées : Il s'agit de syllabes composées d'une consonne et de deux voyelles. Elles jouent un rôle grammatical et sémantique.

Uropi.gif Uropi

L'uropi n'utilise qu'une seule particule Ve<ref>http://uropi.free.fr/grammairefr.html</ref>. Elle est utilisée en combinaison avec l'infinitif (-o) pour exprimer le futur. Ainsi, accompagné du verbes so ("être") on obtiendra ve so ("sera"). Cette règle est applicable à tous les verbes sans exception.

Liens

Liens internes

Liens externes

Sources

Proposition de mise en page faite par --Ziecken 30 octobre 2012 à 12:42 (UTC)


Re-salut Ziecken.

T'as oublié de signer ta proposition, mais ça marche ! J'avais même oblié d'mett'des trucs. Ton idée de déplacer la fonction onomastique en milieu d'article n'est pas déplaisante, au fond. Y a qu'une petite modif ou deux à faire (ah au fait, les apparats critiques, on les met comment ? en p'tit caractères, comme dans les bouquins (et adoptés par mon type de mise en page) ou bien en plein format (100% du format du texte, solution qui a ta préférence) ? Comme y en a pas beaucoup, ça m'gêne pas exagérément qu'on les laisse comme tu as mis. Dans le paragraphe uropi, je mettrai un ":" entre "particule et "Ve". Je suppose que ça n'a été qu'un simple oubli. Pour "préposition", je mettrai un lien vers les adpositions : comme ça : [[Adposition#Pr.C3.A9positions|préposition]]. Ça bleuira le lien.

J'attends ta réponse et j'attaque le transfert en fin de semaine (Vendredi).

--Anoev 30 octobre 2012 à 11:39 (UTC)

  • Voilà j'ai signé ma proposition. Concernant la fonction onomastique des particules, rien n'empêche par la suite de créer un lien vers un article plus détaillé.
  • Concernant les apparats critiques, il faut encore que l'on y réfléchisse, je les ai placé ainsi, par habitude, mais j'aimerais que le sujet soit plus réfléchi. Il concerne les notes, les références et les sources, et sûrement d'autres points encore. Une fois que la décision sera prise il faudra le décrire dans la page traitant de la mise en page.
  • Tu as raison pour le ":", c'est un oubli.

--Ziecken 30 octobre 2012 à 12:42 (UTC)

Pour les apparats critiques, je propose que ceux-ci soient limités aux remarques (du style : attention ! y faut deux S à "poisson" et un seul à fish). Quant aux sources & références, elles peuvent êtres mentionnées dans un paragraphe cour du style : "références" ou "origine des liens externes" s'il y a des liens externes mentionnés dans le corps du texte ; ce qui permet à la fois une certaine cohésion entre les styles des articles (certains préféreront centraliser les liens externes et d'autres (dont moi, t'auras d'viné) les placeront en pertinence avec le paragraphe concerné), mais il y aura un paragraphe commun, quelle que soit la solution adoptée, qui centralisera les sources, ce qui mettra tout l'monde d'accord. Contrairement à ce que fait Wikipédia, je ne suis guère d'avis de ne mettre qu'un lien (surtout externe !) en apparat critique. Le lecteur qui "descend" en bas d'la page s'attend à lire une explication et n'a pas spécialement envie d'être "trimballé" en dehors de sa page de lecture ; il veut remonter assez vite pour lire la suite du paragraphe. J'ai toujours trouvé assez pénible toute la liste de liens en apparats critique (chez Wikipédia) là où je m'attendais à lire, par exemple, l'explication des particularités d'une règle. Comme toi, je recherche un certain confort de lecture (mais on n'a pas la même notion, d'où nos divergences) et un lien externe en noir (dans le corps du texte) a, pour moi, deux avantages :

une continuité dans la lecture du texte (au lieu de descendre et de remonter pour un simple lien qu'on ne consultera pas forcément), les caractères étant de la même couleurs.
Le lien (externe) étant quand même marqué d'une petite flèche bleue, libre au lecteur de la suivre ou de rester dans la page.

Par contre, je tâche au maximum de donner aux liens internes un certain "relief", en gardant la couleur "bleu ou indigo" de ceux-ci. Les liens "cachés" concernent la République aneuvienne (et encore ! depuis les articles aneuviens ; aucun, à mon souv'nir depuis un article généraliste !), un sujet qui n'intéresse pas forcément un idéolinguiste consultant Idéopédia (donc inutile de l'envahir avec ça) mais qui pourra intéresser quelques diégésistes qui sauront (parce qu'en général, ils aiment bien le mystère) ouvrir la porte cachée du placard à balais du 6me étage de l'aéroport de Frankfurt/M.

Pour un article plus détaillé sur les particules onomastiques, pourquoi pas, si certains on des connaissances dans l'domaine : moi, j'ai dit tout c'que j'savais ! En plus de ça, les nobles aneuviens n'avaient pas de particule à leur nom ; éventuellement, j'aurais pu commencer leur nom par Us- comme dans ar uspùzer àt hoosev = ils sortent de la maison ; en plus, Us- est également le début de Usher<ref>En anglais, hélas, mais l'image animée (niveaux de gris, mais toutefois la pluie n'est pas très réaliste) et la musique sont belles</ref>, cher à Edgar A. Poe.

Notes et références

<references/>

(déplacé)

--Anoev 30 octobre 2012 à 20:37 (UTC)