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===Parricide=== | ===Parricide=== | ||
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:''ka lorèda fran àt zhovnetev yn à snaṅsec ùt rekòrdev tempev!'' = Elle est passée de la joie à la tristesse en un temps record !<br/> | :''ka lorèda fran àt zhovnetev yn à snaṅsec ùt rekòrdev tempev!'' = Elle est passée de la joie à la tristesse en un temps record !<br/> | ||
''Lorèd'' est utilisé dans d'autres acceptions figurées les plus diverses, comme dans : | ''Lorèd'' est utilisé dans d'autres acceptions figurées les plus diverses, comme dans : | ||
− | :''Æt nep erlood, do æt mir poten lorèd''<ref>Radical utilisé dans '' | + | :''Æt nep erlood, do æt mir poten lorèd''<ref>Radical utilisé dans ''lorèdar'' = passable.</ref>= C'est pas excellent mais ça pourra passer. |
:''Ed neràpdu dæna: ka dora as lorèdun!'' = Son enfant est mort : elle l'a fait passer ! | :''Ed neràpdu dæna: ka dora as lorèdun!'' = Son enfant est mort : elle l'a fait passer ! | ||
:''Àt lek lorèda tiyn skrĕteve letas.'' = La loi est passée à deux voix près. | :''Àt lek lorèda tiyn skrĕteve letas.'' = La loi est passée à deux voix près. |
Version du 5 mars 2013 à 11:14
Sommaire
- 1 Page
- 2 Pair
- 3 Palais
- 4 Palpable
- 5 Panoramique
- 6 Pantalon
- 7 Pantographe
- 8 Pantouflard
- 9 Papeterie
- 10 Papier
- 11 Paquet
- 12 Para-
- 13 Parade
- 14 Paraître
- 15 Parapet
- 16 Paraphilie
- 17 Paravent
- 18 Parc
- 19 Pare
- 20 Parfaire
- 21 Parler
- 22 Parquet
- 23 Parricide
- 24 Part
- 25 Particule
- 26 Particulier
- 27 Partie
- 28 Partition
- 29 Pas
- 30 Passage
- 31 Passe
- 32 Passeport
- 33 Passer
- 34 Passif
- 35 Patelin
- 36 Patin
- 37 Patiner
- 38 Patriarche
- 39 Patron
- 40 Patte
- 41 Pauvre
- 42 Pavillon
- 43 Payant
Page
- Pàzh, c'est UNE page (d'un ouvrage, d'un rapport).
- Paazhdak, c'est UN page (serviteur).
Àt regdak gónleg kœm ed paazhdax
Pair
- Pàr, c'est l'adjectif, notamment utilisé en mathématiques (pàr numbar, pàr fœnktyn) ; pàrdu, c'est une personne.
Palais
- Palast, c'est le bâtiment ;
- kesèm, c'est celui de la bouche.
Palpable
- Ertòkdar au sens propre, formé à partir de ertòk, qui signifie "palper" mais aussi "tâter", avec -dar, calque de "-able".
- Tet æt aràd ere càled osquate kyprece, ær en ere nep ertòkdar = Si cette surface présentait de quelconques aspérités, celles-ci n'étaient pas palpables.
- Onvérdar, utilisé au sens figuré, est une déformation du mot orronvérun (évident).
- Àr civendur ere waad kœm ùt onvérdar aṅzatev àt infaarat oψhtágoren à staż. = Les civils attendaient avec une angoisse palpable l'entrée de l'envahisseur dans la ville.
Panoramique
- Panòramig, c'est l'adjectif ;
- panòramik c'est le mouvement d'une caméra embrassant un angle donné lors d'une prise de vue.
Pantalon
Ep la dev vær ùt legsàrges ber omfàktun ùr goçhmœfadse? = Doit-on porter un pantalon pour commettre des pantalonnades ?
Pantographe
Tout est affaire de bras (articulé) = pradhem.
- Pour un dessinateur, c'est hrafprádhem.
- Pour une locomotive, c'est oṅdprádhem.
Pantouflard
Eluzhévon, mot formé
- des deux préfixes
- el- : préfixe antonymique
- ùs- : hors de
- zheva = pantoufle
- -on = adjectivisateur<ref>En général, utilisé comme calque de -eux</ref>;
bref, quelqu'un qui ne sort pas de ses pantoufles ; -on est remplacé par -du si on a affaire au substantif :
- Æt Nenes, quat eluzhévdak! = Ce Nénesse, quel pantouflard !
Papeterie
- Papirfàktur = fabrique, fabrication du papier.
- Papirtœl = ensemble de ces articles fabriqués : cahiers, intercalaires, chemises...
- Papiskòp = boutique où on vend ces articles.
Papier
Papiyr est utilisé aussi bien pour désigner la matière qu'une feuille ; toutefois, les papiers qui garnissent le portefeuille se disent dokumènte.
Paquet
Enveloppé, se dit pàk, simplement ficelé, peut s'écrire pàk ou pàq<ref>Se décline alors comme àq</ref>.
Para-
- OL- (de la préposition OL, signifiant "autour de") = à côté : olmílitar, olqbarmàki.
- Para- préposition à-postériori, utilisée dans certains mots, à postériori eux aussi, ayant soit la signification précédente, soit la signification suivante...
- Mu- = qui protège, soit de manière active (qui empêche), soit de manière passive (qui supprime ou atténue les conséquences fâcheuses) : muvàl.
Parade
- Parrat, c'est le fait de parader ;
- pour mudat, voir ci-dessus. Comme son orthographe l'indique, ce mot est accentué sur la première syllabe.
Paraître
Adùsen fait référence à la parution (d'un périodique, par exemple) ; adère (se conjuguant comme ere, mais régulier) est le synonyme de "apparaître comme".
Parapet
La construction du mot mùstracat vient de
- mu- cf ci-dessus
- -ùs- = hors de<ref>Cet élément est entièrement réparti entre deux charnières :
- le U, commun à mu- et à -ùs- ;
- le S, commun à -ùs- et à -strad.</ref>
- strad = route
- -sat = dispositif.
Le C est une contraction du D de strad et du S de sat ; ce qui en fait une charnière un peu particulière.
Paraphilie
La traduction en aneuvien de ce mot issu du vocabulaire de la psychanalyse est explicite, Olgofèred :
- ol- = autour de, à côté
- -gooxen = sexuel
- -fèred = attirance.
Synonyme : olqúd
- même préfixe
- qud = désir sexuel.
Cf. les mots en -phil- pour plus de détails.
Paravent
Tout dépend de l'utilisation qu'on fait ! si c'est dehors, pour se protéger effectivement des bourrasques, mufiyn est la traduction naturelle de ce mot. À l'intérieur d'une pièce où le vent souffle rarement, mais où l'on souhaite une séparation plus légère et plus mobile qu'une cloison, ou bien si on veut disposer d'une alcôve pour se protéger des regards, muvèd sera plus approprié.
Parc
- Park désigne particulièrement un espace vert, plus (laṅcapárk) ou moins (natùpark : attention à l'accent tonique, vis à vis du précédent).
- Aréa, traduisant également un "espace" est un espace, généralement clos où évoluent des animaux (à l'exception notable de zopark), mais également aussi des êtres humains :
- ostaréa = parc à huîtres
- babaréa = enceinte pliante munie de barreaux où évoluent les bébés.
- ou du matériel : artilaréa.
- vitœl est le paronyme et parasynonyme de vektœl :
- àt vitœl soψrægnene ANB-en = le parc d'autorails de l'ANB.
Pare
- Mufyvíter = pare-brise ;
- mukrèk = pare-chocs. Déclinable : Or kjas Kaṅvet àt mukrèxe ni es. = Veuillez me changer les pare-chocs.
Parfaire
Attention à l'adjectif, différent du participe passé perfàktuna : Perfàkt = parfait.
Parler
Traduit par deux verbes : lokùt & dysert.
Le terme le plus couant est lokùt :
- Eg lokùtun ni ed fràndak an. = Je parle à son frère.
- Ar lokùte anoevens. = Ils parlent aneuvien.
- Eg lokùt spanens ni Divs, italens ni kadse, fraṅsens ni daxe ea dyshes ni med hippos. = Je parle espagnol à Dieu, italien aux femmes, français aux hommes et allemand à mon cheval. (Ch. Quint).
On utilise dysert (avec le complément au génitif) quand on évoque quelque chose ou quelqu'un.
- La dysertun cyn = on en parle.
- La mir dyserte àt adnælaten à straden àt posvic afýplentev = On parlera de l'élargissement de la route à la prochaine réunion.
Si le sujet est un verbe, on le mettra naturellement au participe :
- A ere dyserte adlúngun àt dulens métron = Ils parlaient de prolonger la ligne de métro.
Si on utilise dysert avec un nom de langue, on mettra ce dernier au circonstanciel. Da dysert sed hœndeden ni sed gatex sigeteve = Il parle de son chien à sa chatte en (langage des) signes.
- "Parler pour" se traduit par lokùt pœr mais on tâchera de faire attention au cas du nom qui suit, selon le sens :
- eg lokùta pœr os àt afýplentev. = J'ai parlé pour toi à la réunion (j'ai parlé en ta faveur).
- eg lokùta pœr ov àt afýplentev. = J'ai parlé pour toi à la réunion (j'ai parlé en ton nom).
Parquet
Le premier, mot mixte, est une agglutination tronquée de xiyl (bois) et de krĕn (sol), on fera attention à l'accent tonique, sur la deuxième syllabe<ref>En principe ; toutefois, l'accent tonique sur la première n'est pas considéré comme une faute.</ref>
Le deuxième est du langage judiciaire. Ederéa est également un mot mixte, formé de æder (-endu : procureur ; le Æ est désaccentué) et de aréa. C'est donc "l'espace d'évolution" du ministère public dans une salle d'audience. le R sert deux fois.
Parricide
Parenmádat, c'est le crime, parenmádu, c'est son auteur.
Part
Part, est la traduction homonyme et synonyme de "partie", issue d'un partage :
- Eg mir nep læd os gœnes al àt lotarfes! Part ni tiyn, egatèsdak! = je ne vais pas te laisser prendre tout le bénéfice! Part à deux, égoste!
-klœt se retrouve dans les locutions adverbiales de lieu comme nepklœt ou aliklœt.
Sinon, "part" se traduit par le pronom personnel au circonstanciel :
ka potna nep kom: e kom kav = Elle n'a pas pu venir, je viens de sa part.
ou bien par pœr plus le nom au circonstanciel :
- Eg remíd æc en ni ors pœr àt præsidentev. = Je vous remets ceci de la part du président.
Particule
- Çok, c'est une particule élémentaire ;
- hraslòv, c'est une particule grammaticale (EP, MIR, ÇEM) ;
- lignám, c'est une particule dans un patronyme (de, Mc, O', von...).
Particulier
Pryvàt signifie "particulier" dans le sens de "privé", c'est, du reste, le même mot aneuvien.
Romon est un mot construit sur l'anacyclique approximatif de omor auquel on a ajouté la terminaison -(e)N d'un bon nombre d'adjectifs qualificatifs. Ce mot traduit "particulier" dans le sens de "non général, ce qui attire l'attention", etc...
De ce dernier adjectif est tiré le verbe adròmes signifiant "rendre particulier" ; qu'on distinguera de adenpártes : "faire connaître les détails d'un ensemble".
Partie
Deux à-postériori venant de l'anglais :
- Part = la partie d'un tout,
- gàm = une partie (jeu).
Fejin se rapprocherait plutôt de "réception", "surprise-partie"; formé de fej = fête + le diminutif -in.
Partition
- Natjærd, c'est un cahier (tetjærd) contenant des notes de musique (nàd) ;
- partèntyn, c'est le fait de diviser en plusieurs part, son résultat.
Pas
NEP est utilisé aussi bien pour la négation d'un procès que celle d'un substantif (pas de<ref>Attention toutefois au cas du nom qui suit. Si la tournure affirmative et interrogative appelaient le génitif (partitif), la tournure négative aussi :
- nep potàzhen = pas de soupe. [de la soupe ?]
- nepjó paastane = plus de pâtes. [une part de pâtes ?]
- O haba nep skœven! = T'as pas eu de chance ! [t'as eu de la chance]
Sinon, on utilise le cas qui aurait dû être utilisé :
- Da hab nep drœgduse = il n'a pas d'amis. [il a des amis]
- Nep pogod ere in æt hoosev = Il n'y avait pas de poêle dans cette maison (pas de poêle n'était...). [y avait-il un poêle...]
On retrouvera ce genre de nuances avec SIN (sans)</ref>), d'un adjectif ou d'un adverbe. Toutefois, on mettra NEP derrière le verbe (sauf si on veut donner de l'emphase) alors qu'il se place devant les autres mots.
- A rolen nep cyv = il ne roule pas vite.
- Ed hœnde poje nep noxev = nos chiens n'aboient pas la nuit.
- Er thoge aremse, do nep pringentynse: adfàk sekùrynteten! = nous vendons des armes, mais pas de munitions : question (affaire) de sécurité !
- À flègkad: «Or kàn sliyf qiydon: ràdhe nep in ed hosbarev... od tan olygert». = L'infirmière : « vous pouvez dormir tranquille : il n'y a pas de rats dans notre hôpital... ou si peu ».
- marche, danse : stàp
- seuil, vide entre le quai et un véhicule : deψ.
Passage
Pasdat pour l'action de passer, paskal pour l'endroit où on passe (maar-paskal, fœnt-paskal...).
À xhilçhíp krata ùt paskals = le brise-glace a créé un passage.
Passe
Application | terme |
---|---|
danse escrime |
kinaṅt |
droit d'accès clé de secours |
pasat<ref>On ne confondra pas.</ref> |
jeux de ballon | gĕft |
prestidigitation | vivoviv (abracadabra) |
prostitution | prask |
Passeport
Paspòr est la variante internationale du mot mixte : froṅdupás, constitué de:
- Frœṅdul = frontière &
- pasat = passe.
Les deux sont déclinables, cependant.
Passer
Toute idée de déplacement se traduit par le verbe pas :
- o mir ep àt tempes passun es ad? = tu auras le temps de passer chez moi ?
Possible aussi, dans cette acception :
- Àt kullat ere hab doolen passun: eg elinzha ed partes rostanen àt làtrynev. = La sauce avait du mal à passer : j'ai rendu ma part de rôti aux toilettes.
Changer d'état, de nature, de couleur etc... se traduit par lorèd
- Da lorèdă yn rubs, yn wỳc, yn hræns sjo yn krajs: da ere tœn. = Il passa au rouge, au blanc, au vert puis au gris : il était mort.
- ka lorèda fran àt zhovnetev yn à snaṅsec ùt rekòrdev tempev! = Elle est passée de la joie à la tristesse en un temps record !
Lorèd est utilisé dans d'autres acceptions figurées les plus diverses, comme dans :
- Æt nep erlood, do æt mir poten lorèd<ref>Radical utilisé dans lorèdar = passable.</ref>= C'est pas excellent mais ça pourra passer.
- Ed neràpdu dæna: ka dora as lorèdun! = Son enfant est mort : elle l'a fait passer !
- Àt lek lorèda tiyn skrĕteve letas. = La loi est passée à deux voix près.
- Ar dorar das lorèd tljutj ber kàptun àt nervègac. = Ils l'ont fait passer pour fou pour capter l'héritage.
Autre verbe figuré, assez proche, dans le sens de lorèd : pàn.
- Æt mir pàn ni das aṅtep æt bisgunes ni es! = Ça lui pass'ra avant qu'ça m'reprenne !
- Ar pànar al àt postilidaw spiylun. = Ils ont passé l'après-midi à jouer.
Au sens de "transmettre", se traduit par gĕf :
- Gĕfet ed nùpdax ni es, eg hab slovse ber diktun ni das. = Passe-moi ton mari, j'ai (deux) mots à lui dire.
- Setad nep o gĕfa àt balls ni das? Da ere lootert poçtan ber çhudun àt gools! = Pourquoi ne lui as-tu pas passé le ballon ? il était le mieux placé pour tirer au but !
- Ka gĕfă ùt venéren graṅgec ni das taw gevératen nidiven. = En guise de cadeau d'adieu, elle lui passa une maladie vénérienne.
"Se passer de" se traduit par sindor :
- Er mir sindòre ase. = Nous nous passerons d'eux.
- Da kan nep sindòr ed madhes. = Il ne peut pas se passer de sa mère.
Sindòr est un verbe construit sur dor sin (faire sans). Le complément d'objet est (naturellement) à l'accusatif.
Passif
Se dit çerem, aussi bien pour le passif d'un bilan que pour quelqu'un de passif. A donné<ref>à moins que ce ne soit l'inverse</ref>la particule ÇEM.
Patelin
L'adjectif olàjen est formé sur làjon (gentil) qu'on a déformé en modifiant le suffixe (-on → -en) et en y soudant le préfixe ol- ("autour de"<ref>Afin de montrer que cette "gentillesse" n'a rien de cordial !</ref>; le L sert deux fois).
- Ed olàjene hondyre an place nep es. = Ses manières patelines ne me plaisent pas.
Le nom (blæd) est tout ce qu'il y a de plus à-postériori !
- −Eg vedja ùt koravs flogun àt quabev en.
- −A vel nep vedj àt hùgac æt blæden.
- −J'ai vu un corbeau voler sur le dos.
- −Il ne veut pas voir la misère de ce patelin.
Patin
Skacat est un mot mixte tiré du radical à-postériori skat (de l'anglais skate, même signification) et de l'à-priori sat : dispositif simple.
On peut toujours préciser : fylkácat = patin en feutre. rolkácat = patin à roulettes xhikácat = patin à glace korkácat = parin pour prendre le courant sur un rail obkiskácat = patin de freinage.
Le sens de smlàk (et son verbe dérivé smlàge) est totalement différent. Da ere smlàga es rylnas; eg • reen lal revòltesan! = Il m'avait roulé un beau patin ; j'en suis encore tout retourné.
Patiner
- Skades, c'est faire du patinage.
- skaden, c'est peiner à avancer par manque d'adhérence<ref>Le terme skadat, lui, ne change pas.</ref>.
Patriarche
Padhakeser est masculin (padhakeserdak aurait été pléonastique).
Patron
- Erkàpdu, c'est le chef, le boss, celui qui dirige (et, en principe, protège) tout.
- modor c'est un modèle de découpe.
Patte
Celle d'un animal se dit zeg (zo/leg). Utilisable égalemednt au figuré (péj.) :
- Dimet ted zegse ùs dær! = Ôte tes pattes de là !
Dans toute autre acception, on dira put :
- ùr putte ùt mikroproçesoren = les pattes d'un microprocesseur
- Da dem læda ar puce ræsun. = Il s'est laissé pousser les pattes.
- Àt put àt masteren = La patte du maître.
Pauvre
Celui qui n'est pas riche : qùv.
Celui qui est malheureux est tolor. Ce terme est davantage utilisé que le précédent : Tolor Martín. Le contracté tol est plutôt dit en mauvaise part<ref>ce qui le raqpprocherait, en fait, de do(o)l</ref>:
- tol dĕ! = pauv'type!
Pavillon
- Ărygòl à l'oreille,
- quartoos ailleurs (quartier résidentiel, hôpital...).
Payant
Pagun = qui paie (adjectif issu du participe présent de "payer" : pagen).
- Àr adinphèndur ea'r pagune vedjádur ep. = Il y a les invités et les visiteurs payants.
Pagend = qui doit être payé (adjectif issu de l'Impératif du même verbe).
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