IDEO RIK La tolérance Deyryck : Différence entre versions

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Version actuelle en date du 3 janvier 2014 à 20:00

La tolérance est un principe né à la fin du premier âge. Elle s'applique de manière différente aux Dèyan et aux Kjyan.

Principe

Le principe est de concéder une partie de la langue à l'évolution de celle-ci. On appel la partie tolérante de la langue le "germe de l'avenir" ("kûvû mé pônha").

Le germe a pour but de s'adapter à l'évolution de la langue en tolérant des nouveaux mots et en les adaptant pour les répandres petit à petit. Ces nouveaux mots, voire nouvelles habitudes, sont destinés à entamer le passage à la langue suivante. Comme passer de l'ancien français au français.


Application au Dèyan

Définition

Une déyam est une langue prévue pour être simple et rapidement apprise. Elle sert de langue commune à une communauté et est généralement utilisée dans la vie de tout les jours. Certains ouvrages sont écris avec et tout ce qui est langage informatique, enseignes de marché, invitations, et autres emplois de la vie courante l'utilisent.

Elle est généralement très maléable et sa compléxité réside plus dans certaines habitudes que dans sa grammaire.

Application

Le principe de la tolérance s'applique sur un dèyam de trois manières différente.

L'habitude scientifique, le domaine de la science doit faire partie du germe, car la science évolue en permanance et doit être libre de toute contrainte linguistique.

La tolérance régionnale, si des mots sont trop utilisés ou parfois trop utilisés dans un sens qui n'est pas leur sens d'origine, le germe doit se charger d'assurer l'acceptation du terme et, dans la mesure du possible, s'assurer qu'aucune idée ne puisse plus être exprimée. Soit par l'ajout de nouveaux mots, soit par l'ajout de convention.

La tolérance du discours, les habitudes de l'orale doivent également être prises en compte dans le germe. Tout particulièrement les contractions, comme en français on pourrait avoir "J'suis là" dans le germe.

Application au Kjyan

Définition

Une kjyam est une lanngue prévue pour tout ce qui est administraion et missives importantes. Elle représente l'état plus que le peuple et est généralement utilisée pour écrire les ouvrages importants, les dictionnaires, les encyclopédies, les livres destinés à l'internationnale, etc...

Elle est généralement bien plus complexe que les dèyan est permet souvent d'apporter une quantitée de précision bien plus importante.


Application

Le principe du germe dans une kjyam est relativement différent.

Une kjyam se veut fixe, elle ne change que très peu, aussi le germe va avoir un fonctionnement binaire. D'un côté, il fonctionnera de la même manière que celui d'un déyam. Sauf que pour cette partie là, la langue qui découlera du germe sera la dèyam de cette kjyam.

C'est pour cela qu'il y a beaucoup de couple kji/dèy (dèyroko/rokokji), alors que pour l'empire ikien on a comme dèyam le Dèyrik et non pas le Rikkji comme kjyam, mais bien le Fikji. C'est tout simplement que le Dèyfi existe mais n'est pas utilisé comme dèyam.

Vient ensuite la seconde partie du germe qui elle fera changer la Kjyam. Il ne visera pas à la simplifier où à l'adpater en revanche, seulement à la perfectionner pour la rendre plus complète et plus efficace. De plus, il donnera jamais naissance à une nouvelle kjyam, il modifiera juste celle-la légèrement.


La tolérance du Dèyrik

On en vient maintenant à la tolérance du Dèyrik. Le Dèyrik applique le germe effectif. Les modifications du germes sont directement ajoutées à la langue de base, et plutôt que de donner naissance à une nouvelle dèyam(le Dèyrik ne donne jamais naissance à une dèyam, il disparait progressivement pour laisser place au Dikà'khar à la fin du sixième âge) elle conserve son nom et change simplement de version.

L'aspect scientifique est garantit par les mots tolérants.

La tolérance du discours est directement appliquée dans les contractions.

La tolérance régionnale est garantit par les mots de Phark et les mots Adarans et, bien qu'extérieurs au germe, par les mots étrangers