IDEO ANV Tiroir : Différence entre versions

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Version du 26 février 2014 à 14:49

Tiroir.gif


Le tiroir est un peu comme un brouillon où sont disposés noms, traductions et remarques provisoires, le tout rassemblé sur une même page. Lorsqu'un nombre suffisant de mots (une dizaine par page définitive) est atteint, il est copié/collé à sa place normale (les pages de lettres & de remarques proprement dites. Certes, ça n'empêchera pas les "microcorrections après coup" mais ça en limite sérieusement le nombre<ref>Notamment quand plusieurs noms destinés à des pages différentes sont créés ou expérimentés.</ref>. Pourquoi faire un tel tiroir ici plutôt que sur une feuille de brouillon d'un traitement de texte ? À cause des liens hypertexte, bien sûr ! lesquels n'ont pas la même syntaxe dans un traitement de texte et dans un site de type wiki. Dès que la page atteint ou dépasse 32 ko, une remise à jour est entreprise et une distribution vers les divisions concernées par les mots occupant le tiroir est effectuée.


Définitions

Français Aneuvien A.P.I.
Accessoire Gewor
gewob
gevɔʁ
gevɔb
Accessoirement Gewas gevɐs
Accessoiriser Adgéwes ɐdˈgevəs
Accessoiriste Gewmásdu gəvˈmɐçdy
Aide-mémoire Memoflío ˌmemoˈflio
Ampoule Ifèlin
aṁpœl
iˈfɛlin
ɑ̃mˈpuːl
Ampoulé Ifèlon iˈfɛlɔn
Analphabète Littèċun litˈɛt͡sun
Anthropoïde Dumòrzo
dumòrfen
dyˈmɔʁzo
dyˈmɔʁfən
Architecte Bynaukdu bɪnˈɐʊkdy
Architectural Bynauken bɪnˈɐʊkən
Architecture Bynauket bɪnˈɐʊkət
Attardé pyltan pɪltɐn
Attarder (s') Dem pyltaṅ (-na, -a) dəmˈpɪltɑ̃
Avance Lypaṅt lɪpɑ̃nt
Avancée Aṅtys ɑ̃ntɪs
Avancement Erpérovat əʁˈpeʁɔvɐt
Avancer prog (-a, -ía)
lypen (-na, -éna)
pʁɔg
lɪpən
Capteur Kàψent kɐpsənt
Carte-mémoire Memokárd memoˈkɐʁd
Castagnettes Kastàsat kɐçˈtasɐt
Cible Ċeel t͡seːl
Cibler Ċelen (-na, éna) t͡selən
Clair Klàvir klaviʁ
Clair-obscur Klàskur klaçkyʁ
Cordialité Kàredet kaʁedət
Curling Xhiċeelat kʃiˈt͡seːlɐt
Déception Githyn giɸɪn
Décevoir Githe (-a, -éa) giɸ
Diaphragme Djafrám djɐˈfʁɐm
Diaphragmer Djafrákle (-a, -éa) djɐˈfʁɐklə
Digestif Istopỳgis içtɔˈpɨgis
Doudou Mwyni mwɪni
Doudoune Mwylæmih mwɪlɛːmi
Écureuil Squirĕj çkwirœj
Femme-enfant Elimávakad eliˈmɐvɐkɐd
Fouille-merde Ochfrúçhdu ɔʃˈfruʃdy
Fouiller Fruçhe (a, -éa) fʁuʃ
Fouillis Fruçho fʁuʃo
Herpès Hærpes ɛːχpəs
Hominoïde Dumòrzo
dumòrfen
dyˈmɔʁzo
dyˈmɔʁfən
Homme-enfant Elimávadak eliˈmɐvɐdɐk
Horizon Hoψordult ɔpsɔʁdylt
Horizontal Hoψor
hoψon
ɔpsɔʁ
ɔpsɔn
Illétré Litteċun litəˌt͡sun
Infiltration Ifíltertyn
obíltertyn
iˈfiltəʁtɪn
ɔbˈiltəʁtɪn
Infiltrer Ifílter (-ra, -éra)
obílter (-ra, -éra)
iˈfiltəʁ
ɔbˈiltəʁ
Mêler Obipèr (-a, -éra) ɔbiˈpɛʁ
Mince Tis tis
Nectarine Nektaryn nɛktɐʁɪn
Odieusement Misas misɐs
Odieux Mison misɔn
Poids Pezobl
pezat
pezɔbl
pezɐt
Poussée Ræset
spiynet
ʁɛːsət
çpiːnət
Pressoir Preṅsat pʁɛ̃nsɐt
Quintillion Brag bʁɐg
Quotidien Omdáven, -zet ɔmˈdɐvən -zət
Rappel Biçhœl
menœl
gotlægakat
ertàdervax
biˈʃuːl
məˈnul
gɔtˈlɛːgakɐt
əʁˈtadəʁvɐks
Rappeler Biçhœles (-sa, -ésa)
menœlens (-nsa, -énsa)
biˈʃuːləs
məˈnuləns
Rechausser Bisfunvèr
bistĕvèr
biçfunˈvɛʁ
biçtœˈvɛʁ
Regarder Epirèze epiˈʁɛz
Retard Pylaṅt pɪlɑ̃nt
Retarder Pylesn (-sna, -ésna) pɪləsn
Rôle Rool
turool
lekrool
krool
ʁoːl
tuˈʁoːl
ləˈkʁoːl
kʁoːl
Roulement Rolat
pyrjokáṅvat
ʁɔlɐt
ˌpɪʁjoˈkɑ̃nvɐt
Saindoux Çhwip ʃwip
Salaisonnerie Saldenoos sɐldənˈoːs
Sceau Seal sɑːl
Scélérat Bùnĕkatordu bynəˌkatɔʁdy
Sceller Sealen (-na, -éna)
erklós (-a, -éa)
sɑːlən
əʁˈklos
Skeleton Bjolèċh bjoˈlɛt͡ʃ
Silhouette Çhales ʃɐləs
Simultané Imtèman imˈtɛmɐn
Simultanéité Imtèmet imˈtɛmət
Simultanément Imtèmas imˈtɛmɐn
Sitar Sitàr siˈtaʁ
Sole Eràp
radhœṅg
galúcat
horbeas
eˈʁap
ʁɐˈðɔ̃g
gɐˈlut͡sɐt
ɔʁˈbɑːs
Souper Noxpiysaet
noxpiys (-a, -ía)
nɔˈspiːsɐət
Soustraction Suψríktyn supsˈʁiktən
Soustraire Suψrík (-ta, -tía) supsˈʁik
Torche Lugtyg
fύhtyg
luktɪk
fuːʃtɪk
Transaction Traaṅdyn tʁɑ̃ːndən
Trémie Kravibòk kʁɐviˈbɔk
Tsunami Kovàqsin
cunami
kɔvˈaqsin
t͡sunɐmi
Typhon Tifoṅ tifɔ̃
Verticale Żhogbon
żhogeb
d͡ʒɔgbon
d͡ʒɔgəp
Virtuose Kàdor kadɔʁ
Virtuosité Kàdret kadʁət


Remarques

Abord

Bordat concerne notamment la faculté d'aborder (au sens propre ou au sens figuré) :
Æt • ùt kad laak bordaten. = C'est une femme d'un abord difficile.
Olklúte, toujours au pluriel est le parasynonyme de sype.
"D'abord" se dit enpas :
Enpas, enpas, àt pirnàdak ep (J. Brel : Ces gens-là).

Accessoire

De la clé elkanne GEW pour la même signification :

gewor concerne l'adjectif
gewob, pris
du radical gew
de oblèk = objet.
or gœneste nor àr utile gewobse = ne prenez que les accessoires utiles.


Bêtise

Zóniket est tiré de zónig (bête) et est utilisé dans les acceptions suivantes :
O mir reen dor ùt zónikeċ = tu vas encore faire une bêtise.
Àt zóniket ær dĕr oskumes es = la bêtise de ces gens me consterne.
Kaṁbrànd est l'article de confiserie, spécialité de la ville de Cambrai (aneuvisé en Kaṁbræ pour la circonstance). La charnière ce ce mot (avec kànd = bonbon) est sa première lettre.


Citadin

Les trois mots que sont stadlívor, civlívor et urblívor sont synonymes et le suffixe peut être remplacé par -du. Cependant, ils ne sont pas applicables pour des syntagmes tels que "une voiture citadine", à cause du radical -lív- (qui vit). Dans ce sas, on dira simplement staden ou ùrben.

ùrben xeliys = voiture citadine, urbaine
urbihkùl = véhicule (de service) urbain.

Clair

Ces deux mots sont basés sur le radical à-postériori klàr, lequel sert pour le premier, antonyme de gulon (sombre), ψkùr (obscur) ou raalk(an) (foncé). L'infixe -vi- vient du mot traṅvidar (limpide).

Coche

Koch, c'est UN coche (véhicule) conduit par un cocher (kochdak)<ref>Éventuellement traduit pour désigner un (ancien) cargo mixte</ref>;
marq, c'est une entaille ;
çhwinkad , c'est une femme à la fois malpropre et concupiscente.

Cochenille

Koçhnil, c'est l'insecte ;
koçhrub, c'est la couleur.

Colonne

Cependant, la colonne vertébrale se dit taqaan, de

taq = os
gaan = chaîne.

Cf vertèbre.

Conduire

Traṅve est utilisé pour la plupart des acceptions
or traṅvet es dyn direktors = conduisez-moi au directeur
ka traṅve ù tiyms dektin dùne = elle conduit une équipe de cinq personnes
er ep: er daṅsete
or ep erlàj traṅvun, eddak Mortez
—Allons-y, dansons
—Vous préférez conduire, M Mortez ? Le Père Noël...
æt bevrál traṅve reçert warmeċ cette tasse conduit trop la chaleur.
Traṅvís n'est utilisé que s'il s'agit d'un véhicule où, à la rigueur, un engin agricole ou de chantier :
Da poten traṅvis omne elektrákkovse = il peut conduire toutes les locomotives électriques.
Dem lèges, c'est "se conduire" (en société).


Crâne

Kàptaq est une apocope de kàptaqtul (ensemble des os de la tête), il se décline comme les autres mots finissant pat un -Q derrière une voyelle.
roagon ainsi que les autres mots en roag est pris de la déformation de moarg (arrogance).


Croc

Spadosh, c'est la dent ;
spach, c'est l'outil.
boftespach, c'est un croc de boucher ; appellation également utilisé pour désigner une mèche.

Crochet

Spachin (l'outil) est formé des éléments suivants :
spach = croc<ref>L'outil est une compression de spadosh :
spaad = piquer
tosh = dent.</ref>
-in : diminutif ;
zhislàg, terme de boxe, est formé de
zhiyr = tourner
slàg = coup ; bref, un coup tournant ;
quarkrám : parenthèse carrée, de
quarrig = carré
kram = parenthèse.

D'autres en préparation : le champ sémantique est étendu !.

Déception

Formation du mot githyn :

On part de skœv (chance) et on le retranscrit en arkitanco, ce qui donne Kanco sh.jpgKaco p.jpgKaco u.jpgKaco v.jpg. La symétrie (toupie) en fait Kaco g.jpgKaco i.jpgKaco t.jpgKanco th.jpg, à savoir gitth. Le phonème t͡θ n'existant pas en aneuvien, un des deux T passe à la trappe, ce qui donne le radical gith. Il ne reste plus qu'à ajouter -yn (le T de -tyn passe aussi à la trappe).
"Décevoir" prend ce même radical et le -E comme terminaison verbale.
Schweiz.jpg La locution suisse "déçu en bien" est traduisible par l'antonyme aṅtogíthe, un verbe conjugable comme n'importe quel autre verbe :
Eg dem ere vaad ùt nul filmes; eg çem aṅtogíthă nep = Je m'attendais à un film nul ; je ne fus pas déçu.
Aṅtogíthet es. ~ Surprends-moi.

Dessouder

Usæges au sens propre, ogmát au sens figuré.

Doudoune

Le mot mwylæmih est formé des éléments suivants :

mwy = doux
læbon = épais
mih = habit.

Écureuil

Le mot squirĕj est formé à la manière de certains mots en uropi, à savoir l'agglutination de deux noms ou de deux racines d'origines différentes, pour la même signification. Il s'agit ici de :

anglais : squirrel
français : "écureuil".

Les deux venant de SCVRIVS (latin) pour la même signification.

Dérivé : flogírĕj = écureuil volant. Mot qui précise que, dans les deux cas, l'accent toniquer est sur le I et non sur le Ĕ.

Effondrer

Lovràge au sens propre, legràge au sens figuré.

Festival

Le mot septej est une contraction de septàkel et de fej.

Fluor

Traduit par l'à-postériori flùor, mais les mots dérivés sont dépourvus de Ù, ce qui donne le radical flor-, qu'on ne saurait mal interpréter, tous les dérivés des mots français en "fleur-" ou en "flor-" ont leur correspondant aneuvien en gòl-. Quant au gentilé aneuvien de Firenze (Florence), c'est firenten. Il ne reste donc que la divinité romaine FLORA, à transcription identique, mais qu'on se gardera de désigner comme "déesse du fluor".

Haineusement

Le suffixe -or de l'adjectif est maintenu ; misas signifiant déjà "odieusement".

Horizontal

Hoψor, c'est le nom commun (horizontale) , pris de obzor (tchèque) donnant par ailleurs hoψordult : (ligne) d'horizon ; hoψon, c'est l'adjectif qualificatif, sans aucun point commun avec hoψar (horaire).

Hydraulique

Le nom leqywárk faut référence au travail (wárk) d'un liquide (leqyd) ; l'adjectif s'obtient par l'adjonction du suffixe -ig.

Ka • izhénjor leqywárken = elle est ingénieur en hydraulique
ùt leqywárkig motor = un moteur hydraulique<ref>Si le fluide est spécifiquement de l'eau, on peut dire, plus simplement : àqmotor.</ref>.


Kermesse

Formé de

Adùtendar = solidaire
fej = fête,

ce mot peut s'accentuer aussi bien sur la deuxième (adùfej) que sur la dernière syllabe (adufèj). Le sens est, en gros, le même. On peut toujours insister respectivement sur le côté solidaire ou le côté festif.


Marabout

Mahrab, c'est la chapelle musulmane, mahradak, c'est l'homme qui y officie.
Marav, c'est l'oiseau.

Marre

Traduit en aneuvien par un nom : erpỳg, qui est l'apocope d'erpỳgtyn (saturation). Les expression utilisent une autre syntaxe :

Eg • erpỳgev = j'en ai marre
Erpỳg ep cys! = Y en a marre !

Mêler

"Mêler", au sens de mélanger, enfouir dans, aussi bien au sens propre qu'au sens figuré (embrouiller) se traduit mige, un paronyme de mixe.
Se mêler de (pronominal) se traduit par la forme directe, avec un COD à l'accusatif : obipèr, un verbe raccourci d'obinòper, conjugué un peu différemment : obipra obipèra.
Or ep obipèrt æc qua epirèze ors! = Mêlez vous donc de ce qui vous regarde !

On fera attention au sens de l'accent entre l'itif et l'impératif d'une part et le subjonctif passé d'autre part !

Æt • çhaṅd tep ar obipéra æt adfàx. = C'est dommage qu'ils se soient mêlés de cette affaire.

Mémoire

Un aide-mémoire se dit memoflío, de

memor : cf. ci-dessus
tyflio = bulletin.

Moine

À l'inverse de aabendu/dak/kad, moan est toujours un nom masculin.

Paroisse

Kurlaṅd<ref>Attention : "Courlande" (ouest de la Lettonie) se dit Kurzem.</ref>est une étendue territoriale correspondant à la cure ;
kursjel est l'église correspondant à ce territoire.
kuret, c'est la communauté des fidèles se rendant à cette église.

Paresseux

Elàklon, c'est l'a&djectif
Àj, c'est l'animal.

Pâtes

Çhritrùpe Tortigioni
Kaṅdelçúne Fusilli
Lungœde Tagliatelle
Makèrone Macaroni
Nœdele Nouilles
Panufljor Lasagne
Pæne Penne
Qĕdine Coquillettes
Rĕtùpe<ref name="an">le nom non aneuvisé existe aussi.</ref> Canelloni
Sibaṅde Mafaldine
Spagete<ref name="an"/> Spaghetti
Tratùpe Rigatoni
Zhapýl Vermicelle


Pompier

Les deux mots les plus courants, pour tout individu faisant partie de ce corps, qu'il soit civil ou militaire (sapeurs) sont sàlvordu & emrgdu, respectivement "individu qui sauve" et "individu (intervenant dans l')urgence"<ref>À noter qu'un urgentiste est spécifiquement un médecin : emrédikdu.</ref>
Pœṁpordak est plus un mot historique évoquant les hommes (♂) qui manipulaient des pompes à eau, afin d'éradiquer les incendies.
Staṅdemig n'évoque plus la protection civile mais est formé des éléments suivants :
staṅ = rester
akademig = académique.

... bref, un style qui observe les (anciennes) règles académiques, malgré l'évolution générale des courants artistiques.

Déclinaison des mots en -Q

S P
N -q -qe
A -qus<ref name="q">-qus(e) si la lettre qui précède le Q est une consonne : àqs, marqus</ref> -quse<ref name="q"/>
G -qun -qune
C -quv -quve

Recherche

Erbúskat est le sens général, précisément pour dire qu'on cerche de manière approfondie et opiniâtre :
Ar pùzar àt erbúskatev àr erlívundur = Ils sont partis à la recherche des survivants.
Zibúskat est l'acceptation scientifique :
Minister zibúskaten ea teqnilógeten = Ministère de la recherche et de la technologie

La traduction du verbe "rechercher" découle des deux premiers mots :

Erbús
zibús

Gyinan (raffiné) traduit aussi "recherché" dans ce sens.

Retarder

Nep trastáṅt! O pyles ese. = Ne traine pas ! Tu nous retardes.
Ted Hoψat pylen = Ta montre retarde.

Roulement

Rolat au sens propre, associé au verbe rolen (rouler) ;
pyrjokáṅvat au figuré, formé de
pyrjòd = période
kaṅvat = changement.

Contrairement à ce qu'on pourrait croire, ce n'est pas un changement de période, mais un changement (régulier) selon une période définie.

Roulette

Rolin sous un meuble, un patin etc.
Gaṁbròl au casino.

Servir

Bien que le cas soit le même en aneuvien pour le COD et le COI, on exprime différemment ce qu'on sert et à qui on le sert<ref>Ainsi, la facétie :

— Servez-vous des andouilles ?
— Oh, ici, vous savez : on sert tout le monde.

tombe à plat en aneuvien.</ref>:

Or særvet ù skàloψ ni es = servez-moi un steak.

Style

À-postériori.

Tous les sens concrets (1 à 3) s'écrivent avec un I.
Tous les autres s'écrivent avec un Y ;
Ed styl dan • ifèlon = Son style est ampoulé.

Torche

Fœçhtyg si c'est spécifiquement une torche à flamme,
Sinon : lugtyg.

Trou

Tout dépend si on le creuse ou si on le perce.

Dans le premier cas, l'à-priori lul convient. Il est motivé par le υ qui représente le fond et par les deux l qui représente la verticalité des parois.
Dans le deuxième cas, il n'y a pas de fond et pek peut être pris comme une déformation des verbe pĕrkes ou pĕrken (percer). Ce second mot est également utilisé pour le 0 de la numération binaire.

Tout ceci est théorique et un trou dans un mur pour y accrocher un tableau aura bien un fond et sera bien horizontal ; le mot sera plutôt pek, de même un gros trou dans le mur. Sinon, si on veut vraiment garder l'idée de creuser, il y a les mots gàlri et vegtùp.

Vertical

Le mot Żhogbon est formé de la manière suivante :

On prend le nom commun hoψor (tchèque obzor = horizon<ref>Rien à voir, donc, avec hoψ, le soleil ne se couchant jamais à l'horizon à la même heure deux jours de suite.</ref>), qu'on transcrit en adnébou :
A nebou.jpgP nebou.jpgS nebou.jpgA nebou.jpgGGHH.jpg. Tourné de 90° dans le sens inverse des aiguilles d'une montre (de manière à ce qu'on trouve un O en fin de mot si on lit de haut en bas), on lit :
GGBB.jpg
A nebou.jpg
G nebou.jpg
B nebou.jpg
A nebou.jpg

Ce qui donne żhogbo ; il n'y a plus qu'à rajouter un -N pour lui donner l'apparence d'un adjectif qualificatif. Le nom correspondant (la verticale) étant traduit par żhogeb, lequel perd son -E- intercalaire au génitif et au circonstanciel.

<references/>