Akiéf : Différence entre versions
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-Lorsque qu'un mot se termine par une consonne et que le mot qui suit débute par une consonne alors la consonne qui termine le premier mot sera lue en tant que syllabe. | -Lorsque qu'un mot se termine par une consonne et que le mot qui suit débute par une consonne alors la consonne qui termine le premier mot sera lue en tant que syllabe. | ||
| − | Exemple : "''I lifa'''s''' ludátat''" Dans ce cas le mot "''lifas''" se termine par un "''s''" et le mot qui suit "''ludátat''" commence par un "''l''" , le "''s''" final de "''lifas''" se lira "''se''" et non pas "'s'". | + | Exemple : "''I lifa'''s''' ludátat''." (Les enfants jouent.) |
| + | Dans ce cas le mot "''lifas''" se termine par un "''s''" et le mot qui suit "''ludátat''" commence par un "''l''" , le "''s''" final de "''lifas''" se lira "''se''" et non pas "'s'". | ||
==Transcription== | ==Transcription== | ||
Version du 5 mai 2018 à 13:19
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| Année de création | 2011 | |||
| Auteur | Iúle | |||
| Régulé par | — | |||
| Idéolangue associée | kiétoréen | |||
| Idéomonde associé | ||||
| Système | alphasyllabaire ou alphabet | |||
| Nombre de caractères | — | |||
| Catégorie | a posteriori | |||
| Sens d'écriture | Plusieurs possibles | |||
| Chasse | régulière | |||
| Ligature | détachée et liée | |||
| Chambre | monocamérale | |||
| Fonction | — | |||
| Version | — | |||
Présentation
L'Akiéf esst un système d'écriture créé en 2011 par Iúle et qui par la suite a donné naissance au kiétoréen. Ce système d'écriture possède 23 caractères, 2 signes diacritiques ainsi que 2 signes de ponctuation.
Principe
Certaines des consonnes possèdent deux lectures, une lecture consonantique, c'est à dire sans voyelle et une autre syllabique, c'est à dire une consonne accompagnée d'une voyelle. Ceci dit toutes les caractères ne possèdent pas ces deux lectures, certains possèdent uniquement la lecture syllabique, c'est le cas de /kie/ et d'autres possèdent uniquement la lecture consonantique, ce qui en fait de simples consonnes dans ce cas.
Remarque : certains caractères possèdent plusieurs graphies.
Voici les caractères qui prennent les deux formes sont : /f/, qui devient /fe/, /l/, qui devient /la/, /r/, qui devient /ra/, /m/, qui devient /me/, /n/ qui devient /ne/, /s/, qui devient /se/ et /t/, qui devient /te/.
Voici les caractères qui ne possèdent qu'une forme : /kie/(syllabe), /et/, lu /εt/(syllabe), /d/, j /dʒ/, /k/ et /g/ (en réalité /k/ et /g/ sont un seul et même caractère), /p/, /q/ lu /kw/, /b/, /w/, /x/, lu /ks/, /sh/ et /z/(/sh/ et /z/ sont également un seul et même caractère).
Fonctionnement
L'Akiéf s'écrit généralement de gauche à droite, bien que parfois on puisse l'écrit de haut en bas. Il s'utilise comme un alphabet la plupart du temps, sauf que certaines ont justement plusieurs lectures et il existe des règles qui expliquent quand utiliser telle lecture.
-Lorsque qu'un mot se termine par une consonne et que le mot qui suit débute par une consonne alors la consonne qui termine le premier mot sera lue en tant que syllabe.
Exemple : "I lifas ludátat." (Les enfants jouent.) Dans ce cas le mot "lifas" se termine par un "s" et le mot qui suit "ludátat" commence par un "l" , le "s" final de "lifas" se lira "se" et non pas "'s'".
Transcription
L'Akiéf ne possédant aucune police d'écriture, il est transcrit la plupart du temps en alphabet latin. Voici les lettres en latin.
a / kie / d / e / f / h / i / j / k(g) / l / r / m / n / o / p / q / s / sh(z) / t / u / b / w / x .
