Akrig sc : Différence entre versions

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(Nouvelle page : {{Modèle:IdéoscriptFicheTechnique |idéoscript=Akrig |année=2009 |auteur=Anoev |idéolangue=†Akrig |idéomonde=Alfazie (Aneuf) |système=alphab...)
 
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==Création effective et légende==
 
==Création effective et légende==
  
L'alphabet Akrig fut créé relativement récemment, afin d'illustrer une ancienne écriture qui aurait été inventée en [[Alfazie]], une province aneuvienne, avant l'arrivée des Européens. Jadis alphabet complet, outil de propagation de la langue Akrig, cet alphabet perdit de sa notoriété devant l'alphabet latin, plus simple à utiliser. Toutefois, il ne disparut pas totalement. Il servit notamment de cryptage à plusieurs moments troublés de l'[[Aneuf#L.27ancien_r.C3.A9gime|histoire]] de l'Aneuf. Puis, il faillit presque disparaître, conservé uniquement par des amateurs d'histoire de l'écriture, jusqu'à ce qu'il refit surface. Toutefois, si la version intégrale fut conservée afin de pouvoir déchiffrer des anciens écrits, il fut quand même nécessaire de le simplifier pour le rendre de nouveau opérationnel. Ainsi simplifié (par divers érudits, pas toujours d'accord sur le mode de simplification), il se rapprocha davantage de l'[[Typologie_des_syst%C3%A8mes_d%27%C3%A9criture#Syst.C3.A8me|abjad]] ou bien de l'[[Typologie_des_syst%C3%A8mes_d%27%C3%A9criture#Syst.C3.A8me|abudjida]] que d'un véritable alphabet. D'autre part, il ne fut retenu que deux sens d'écriture (de haut en bas, ou bien alterné; les lignes évoluant de gauche à droite) alors qu'il y en avait beaucoup d'autre à l'origine, y compris des écritures spiralées centifuges ou centripètes, à "sens horaire" ou "antihoraire".
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L'alphabet Akrig fut créé relativement récemment, afin d'illustrer une ancienne écriture qui aurait été inventée en [[Alfazie]], une province aneuvienne, avant l'arrivée des Européens. Jadis alphabet complet, outil de propagation de la langue Akrig, cet alphabet perdit de sa notoriété devant l'alphabet latin, plus simple à utiliser. Toutefois, il ne disparut pas totalement. Il servit notamment de [http://super-pedant-man.blogspot.com/2006/11/le-mot-bannir-du-jour-crypter.html <font color=black>codage</font>] à plusieurs moments troublés de l'[[Aneuf#L.27ancien_r.C3.A9gime|histoire]] de l'Aneuf. Puis, il faillit presque disparaître, conservé uniquement par des amateurs d'histoire de l'écriture, jusqu'à ce qu'il refît surface. Toutefois, si la version intégrale fut conservée afin de pouvoir déchiffrer des anciens écrits, il fut quand même nécessaire de le simplifier pour le rendre de nouveau opérationnel. Ainsi simplifié (par divers érudits, pas toujours d'accord sur le mode de simplification), il se rapprocha davantage de l'[[abjad]] ou bien de l'[[Typologie_des_syst%C3%A8mes_d%27%C3%A9criture#Syst.C3.A8me|abudgida]] que d'un véritable alphabet. D'autre part, il ne fut retenu que deux sens d'écriture (de haut en bas, ou bien alterné ; les lignes évoluant de gauche à droite) alors qu'il y en avait beaucoup d'autres à l'origine, y compris des écritures spiralées centrifuges ou centripètes, à "sens horaire" ou "antihoraire".
  
  
Parrallèlement à ce système d'écriture existe un système de numération à base 6, dont les chiffres utilisent certaines lettres de l'alphabet de part leurs propriétés (illustration à venir). Les opération s'effectuant en écrivant les nombres de haut en bas.
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Parallèlement à ce système d'écriture existe un système de numération à base 6, dont les chiffres utilisent certaines lettres de l'alphabet de part leurs propriétés (illustration à venir). Les opération s'effectuant en écrivant les nombres de haut en bas.
  
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==Tableau des consonnes==
  
En attendant l'édition complète de cette page, d'autres informations sont disponible sur le site de l'[http://aphil.forumn.net/scripts-f11/script-systeme-d-ecriture-akrig-t333.htm Atelier]
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Ce tableau ne montre pas toutes les consonnes de l'alphabet akrig. Une lettre non voisée s'obtient, en général, en retirant la barre verticale centrale de sa correspondante voisée ; par exemple :
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Ça marche presque toujours... presque ; ainsi (cf tableau) Kh (ou Q<ref>Pouvant représenter, pour les lettres qui en disposent, le digramme QU.</ref>) correspond à N.
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Ce tableau est une version simplifiée mais suffisante pour l'utilisation actuelle de cet alphabet :
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Les voyelles se placent au dessus ou en dessous des consonnes, selon le sens de lecture.
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En fait de "ponctuation", c'est plutôt de "bornage" qu'on devrait parler quand on évoque les symboles akrig faisant office de virgules, point d'interrogation, guillemets etc...
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Tout d'abord, un texte écrit en écriture akrig (quelle que soit la langue) commence et finit toujours par une double barre. Cette barre, combinée ou non avec une interrogation et/ou exclamation (voir tableau) peut éventuellement terminer un paragraphe. Sinon, on terminera le paragraphe comme une phrase : par une simple barre.
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Les ponctuations au sein d'une phrase (virgule, pioint-virgule) rappellent la dernière voyelle<ref>en cas d'écriture "intégrale" c'est uniquement le symbole "voyelle inaccentuée" qui est rappelé.</ref> utilisée dans le mot précédent (sans qu'elle soit prononcée ; mais ça peut bien être pratique pour la lecture : on sait ainsi dans quelle sens lire le texte, notamment lorsqu'il est écrit en [[boustrophédon]] : exemples à venir).
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Tableau:
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==Écriture des chiffres==
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Le système akrig est à base 6 et ne comporte pas (à l'origine) de 0.
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==Textes==
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===En français===
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4 versions d'un même texte :<br/>
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<font color=white>°<poem><font size=1>La première est un boustrophédon en abjad
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La deuxième est une écriture descendante, à lire depuis la colonne de droite, avec des voyelles simplifiées
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La troisième est un boustrophédon "pleine voyelle" à lire à partrir du bas de la première colonne
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La quatrième est une écriture spiralée (carrée) centrifuge antihoraire en abjad.</font></poem></font>
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===Idéolangues===
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|[[Image:AK Elko.gif|100px]]
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|[[Image:AK PLT.gif|120px]]
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|[[Image:AK THB.gif|100px]]
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|[[Image:AK URO.gif|110px]]
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<font color=white><font size=1>Le texte [[IDEO_ANV_Textes#Fran_.C3.A0t_Selnev|<font color=white>'''aneuvien'''</font>]] est un boustrophédon exploitant le tableau intégral des voyelles.<br/>Le texte [[Elko_%28texte_de_babel%29#En_elko|<font color=white>'''elko'''</font>]] est un texte à voyelles simplifiées se lisant de haut en bas à partir de la colonne de gauche.<br/>Le texte [[IDEO_PLT_D%C3%A9terminatifs#Articles|<font color=white>'''psolat'''</font>]] est une spirale centripète à sens horaire, à voyelles simplifiées.<br/>L'écrit thub est dans ce [[IDEO_THB_Nom#Les nombres|<font color=white>'''paragraphe'''</font>]].<br/>La transcriprion akrig uropi se lit de haut en bas et est la traduction des premiers vers d'un poème de Paul Verlaine qui fut le signal du débarquement allié en Normandie en 1944.</font></font>
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<font color=white>°Le voyage s'est-il bien passé?</font>
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[[Catégorie:Écriture]]
 
[[Catégorie:Idéoscript]]
 
[[Catégorie:Idéoscript]]
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[[Catégorie:Système d'écriture a priori]]

Version actuelle en date du 21 avril 2022 à 10:33

  Akrig  
Année de création 2009
Auteur Anoev
Régulé par
Idéolangue associée †Akrig
Idéomonde associé Alfazie (Aneuf)
Système alphabet ou abjad
Nombre de caractères
Catégorie à priori
Sens d'écriture plusieurs disponibles
Chasse régulière
Ligature détachée
Chambre monocamérale
Fonction
Version

Création effective et légende

L'alphabet Akrig fut créé relativement récemment, afin d'illustrer une ancienne écriture qui aurait été inventée en Alfazie, une province aneuvienne, avant l'arrivée des Européens. Jadis alphabet complet, outil de propagation de la langue Akrig, cet alphabet perdit de sa notoriété devant l'alphabet latin, plus simple à utiliser. Toutefois, il ne disparut pas totalement. Il servit notamment de codage à plusieurs moments troublés de l'histoire de l'Aneuf. Puis, il faillit presque disparaître, conservé uniquement par des amateurs d'histoire de l'écriture, jusqu'à ce qu'il refît surface. Toutefois, si la version intégrale fut conservée afin de pouvoir déchiffrer des anciens écrits, il fut quand même nécessaire de le simplifier pour le rendre de nouveau opérationnel. Ainsi simplifié (par divers érudits, pas toujours d'accord sur le mode de simplification), il se rapprocha davantage de l'abjad ou bien de l'abudgida que d'un véritable alphabet. D'autre part, il ne fut retenu que deux sens d'écriture (de haut en bas, ou bien alterné ; les lignes évoluant de gauche à droite) alors qu'il y en avait beaucoup d'autres à l'origine, y compris des écritures spiralées centrifuges ou centripètes, à "sens horaire" ou "antihoraire".


Parallèlement à ce système d'écriture existe un système de numération à base 6, dont les chiffres utilisent certaines lettres de l'alphabet de part leurs propriétés (illustration à venir). Les opération s'effectuant en écrivant les nombres de haut en bas.

Tableau des consonnes

Csn akrig.gif L'orthographe citée est conforme à la graphie aneuvienne


Ce tableau ne montre pas toutes les consonnes de l'alphabet akrig. Une lettre non voisée s'obtient, en général, en retirant la barre verticale centrale de sa correspondante voisée ; par exemple :

B akrig.gif = B → P akrig.gif = P.

Ça marche presque toujours... presque ; ainsi (cf tableau) Kh (ou Q<ref>Pouvant représenter, pour les lettres qui en disposent, le digramme QU.</ref>) correspond à N.

Tableau des voyelles

Ce tableau est une version simplifiée mais suffisante pour l'utilisation actuelle de cet alphabet :

Vyl Akrig.gif


Les voyelles se placent au dessus ou en dessous des consonnes, selon le sens de lecture.

Le tableau intégral n'est utilisé qu'en cas d'existence de phonèmes particuliers (nasaux, longs, /ø/, etc); le voici :

Voyelles intgrales.gif

Ponctuation

En fait de "ponctuation", c'est plutôt de "bornage" qu'on devrait parler quand on évoque les symboles akrig faisant office de virgules, point d'interrogation, guillemets etc...

Tout d'abord, un texte écrit en écriture akrig (quelle que soit la langue) commence et finit toujours par une double barre. Cette barre, combinée ou non avec une interrogation et/ou exclamation (voir tableau) peut éventuellement terminer un paragraphe. Sinon, on terminera le paragraphe comme une phrase : par une simple barre.

Les ponctuations au sein d'une phrase (virgule, pioint-virgule) rappellent la dernière voyelle<ref>en cas d'écriture "intégrale" c'est uniquement le symbole "voyelle inaccentuée" qui est rappelé.</ref> utilisée dans le mot précédent (sans qu'elle soit prononcée ; mais ça peut bien être pratique pour la lecture : on sait ainsi dans quelle sens lire le texte, notamment lorsqu'il est écrit en boustrophédon : exemples à venir).

Tableau: Ponctuation akrig.gif

Écriture des chiffres

Le système akrig est à base 6 et ne comporte pas (à l'origine) de 0.

I 1 Th akrig.gif 4
P akrig.gif 2 Z akrig.gif 5
Kh akrig.gif 3 Bh akrig.gif 6
° 100 (36) - , 0 (utilisation
récente)

Textes

En français

4 versions d'un même texte :

AK Boustro Abjad.gif AK HBDG voysim.gif AK Boustro bhgd voyint.gif AK Spiralor abjad.gif

°<poem>La première est un boustrophédon en abjad La deuxième est une écriture descendante, à lire depuis la colonne de droite, avec des voyelles simplifiées La troisième est un boustrophédon "pleine voyelle" à lire à partrir du bas de la première colonne La quatrième est une écriture spiralée (carrée) centrifuge antihoraire en abjad.</poem>

Idéolangues

Avataneuf.gif Elko.jpg Plt.gif Emblme pandais.jpg Uropi.gif
AK Armstrong.gif AK Elko.gif AK PLT.gif AK THB.gif AK URO.gif

Le texte aneuvien est un boustrophédon exploitant le tableau intégral des voyelles.
Le texte elko est un texte à voyelles simplifiées se lisant de haut en bas à partir de la colonne de gauche.
Le texte psolat est une spirale centripète à sens horaire, à voyelles simplifiées.
L'écrit thub est dans ce paragraphe.
La transcriprion akrig uropi se lit de haut en bas et est la traduction des premiers vers d'un poème de Paul Verlaine qui fut le signal du débarquement allié en Normandie en 1944.



°Le voyage s'est-il bien passé?

<references/>