Gäko : Différence entre versions

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{{IdéolangueFicheTechnique|idéolangue=Gäko
 
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Le '''Gäko''' est un système de cryptage créé en 2002 par Ziecken Azuris. Il se fonde sur la philosophie chinoise du Yin et du Yang. Ce code se base sur la polarité phonétique de chaque lettre.
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Le '''Gäko''' est une idéolangue créé en 1997 par [[utilisateur: ziecken |Ziecken Azuris]]. Il se base sur la numérologie et la philosophie du Yin et du Yang. Il s'agit du troisième projet linguistique du [[projet ELKO]].
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Le '''Gäko''' est une langue simple et originale ne comprenant que 14 symboles servant à la fois de consonnes et de voyelles. Le vocabulaire se forme à partir d'un nombre limité de concepts de base. C'est un principe dérivé de celui utilisé par l'[[Urque]] et par l'[[Elko]].
  
 
==Historique==
 
==Historique==
  
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Le '''Gäko''' est officiellement né en avril 2002. Son nom vient des premiers caractères de son alphabet : Gä et Ko.
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Le '''Gäko''' est officiellement né le 8 août 1997. Son nom vient des premiers caractères de son alphabet : Gä et Ka. La transformation de Gäka en Gäko  provient de l'[[elko]] où le suffixe "ko" signifie ''"langue"''. Le terme [[Gäka]] désigne son alphabet.
  
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==Phonologie==
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==Alphabet & prononciation==
  
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La prononciation du Gäko est très proche de celle de l'A.P.I.
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Le [[Gäko]] dispose d'un alphabet de 14 caractères appelés : "glyphes" qui selon la position (droite ou inversée) changent de prononciation : placés en bas il prennent une valeur de consonne, mais placés en haut il prennent une valeur de voyelle. Bien que disposant d'une écriture assez déroutante le [[Gäko]] dispose d'une prononciation ne posant pas de problèmes majeurs pour un francophone :
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*A se prononce comme le "a" de ''table''
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*Ä est un "a" long
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*AU se prononce comme le "aw" de ''nawak''
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*B se prononce comme le "b" de ''balle''
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*D se prononce comme le "d" de ''doigt''
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*E se prononce comme le "é" de ''dé''
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*Ë est un "e" long
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*EI se prononce comme le "eil" de ''réveil''
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*G se prononce comme le "g" de ''gare''
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*Gh se prononce comme le "r" de ''radis''
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*H se prononce comme le "ch" de ''chemin''
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*I se prononce comme le "i" de ''hibou''
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*IA se prononce comme le "ia" de ''cianure''
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*IÄ est un "ia" long
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*J se prononce comme le "y" de ''yaourt''
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*K se prononce comme le "k" de ''koala''
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*Kh se prononce comme le "ch" de ''nacht'' (allemand)
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*L se prononce comme le "l" de ''lune''
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*M se prononce comme le "m" de ''mer''
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*N se prononce comme le "n" de ''noix''
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*O se prononce comme le "o" de ''loterie''
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*Ö est un "o" long
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*P se prononce comme le "p" de ''petit''
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*R se prononce roulé
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*S se prononce comme le "s" de ''soleil''
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*T se prononce comme le "t" de ''table''
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*U se prononce comme le "ou" de ''tour''
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*w se prononce comme le "w" de ''watt''
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*Z se prononce comme le "z" de ''zeste''
  
 
==Morphologie==
 
==Morphologie==
  
−
Ce système de cryptage se caractérise par la substitution des lettres en fonction de leur prononciation.
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Plus un mot possède de symboles, plus il définit un concept précis. Ainsi les mots composés d'un seul symbole sont en général des petits mots outils très pratiques et ceux de plus de deux symboles sont des mots lexicaux.
  
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===Les consonnes===
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Le [[Gäko]] est une langue isolante, les mots sont donc placés les uns à côtés des autres sans aucune foreme de dérivation, de flexion, de déclinaison, ou d'accord.
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En '''Gäko''' il existe treize consonnes. Elles traduisent parfois plusieurs sons on parle alors de consonnes polysémiques. Elles ne sont pas nombreuse mais recquierent une certaine vigilance.
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B : cette consonne transcrit le son [p] de parchemin.
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D : cette consonne transcrit le son [t] de table.
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G : cette consonne transcrit le son [k] de calme, de képi ou de quille.
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H : cette consonne joue le rôle d’ensemble vide consonantique. On la distingue de son homologue vocalique « AU ».
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K : cette consonne transcrit le son [g] de gare .
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L : cette consonne transcrit le son [r] de barre.
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M : cette consonne transcrit le son [n] de nage .
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N : cette consonne transcrit le son fermé [m]de marée.
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P : cette consonne transcrit le son [ b] de barre.
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R : cette consonne transcrit le son [l] de lard.
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S : cette consonne transcrit le son [z] de zeste et le son [j] de jardin.
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T : cette consonne transcrit le son [d] de damier.
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Z : cette consonne transcrit le son [s] de salle et le son [ch] de chaque.
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===Les voyelles===
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En '''Gäko''' il existe huit consonnes. Cinq d’entre elles sont appelées voyelles simples, les trois restantes sont appelées voyelles complexes. Les voyelles complexes sont en fait celles qui sont surmontées de trémats.
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A : cette voyelle transcrit le son fermé [eu] de peu et le son ouvert [oeu] de soeur.
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Ä : cette voyelle transcrit le son [an] de banc.
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E : cette voyelle transcrit le son [o] fermé de pot et ouvert de pomme.
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Ë : cette voyelle transcrit le son [on] de bon.
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I : cette voyelle transcrit le son [ou] de clou et le son [ u] de tulipe.
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O : cette voyelle transcrit le son [é] de pétard et le son [è] de pelle.
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Ö : Cette voyelle transcrit le son [in] de pain, de pin, de brun.
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U : cette voyelle transcrit le son [i] de pile.
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===Les digrammes vocaliques===
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EI : ce digramme vocalique transcrit le son [a] de patte et de pâte.
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AU : ce digramme vocalique joue le rôle d’ensemble vide. On la distingue de son homologue consonantique « H ».
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IA : ce digramme vocalique transcrit le son [oi] de boïte.
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IÄ : ce digramme vocalique transcrit le son [oin] de pointe.
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===Les voyelles autonomes===
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On appelle « voyelles autonomes », les mots s’en utiliser l’ensemble vide consonantique « h ». Notez que les articles sont souvent omis.
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A : Cette voyelle est utilisée pour traduire tous les pronoms indéfinis ( un, une, des ).
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E : Cette voyelle est utilisée pour traduire tous les pronoms définis ( le, la, l’, les ).
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I : Cette voyelle est utilisée pour traduire la conjonction « ou ».
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O : Cette voyelle est utilisée pour traduire la conjonction « et ».
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U : Cette voyelle est utilisée pour traduire les pronom démonstratifs ( ce, cet, c’, cette, ces )
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==Grammaire==
 
==Grammaire==
  
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Le '''gäko''' ne possède pas de grammaire propre puisqu'il s'agit d'une transcription du français.
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Aucune donnée pour le moment
  
 
==Lexique==
 
==Lexique==
  
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Puisqu'il s'agit d'un système de cryptage et non d'une langue, on comprend que le vocabulaire est le même en français qu'en '''Gäko'''.
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Aucune donnée pour le moment
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==Textes==
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=== Exemple de texte ===
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'''Zukeir o bilnu''' (Jean de la Fontaine)
+
  
−
Zukeir ouä zädo di rodo,
+
==Chiffres et nombres==
−
za daulipei bel tobilpi
+
Voir aussi : [[noms de nombres en différentes idéolangues]]
−
Gä pus bi pami
+
−
Beissö zar nelze
+
−
Ta niz i ta polnuze
+
−
Or eirei gluo beinum
+
−
Zo pilnu zei piasum,
+
−
Rei bluä ta riu blodo
+
−
Gorga klö bil zipsuzdo
+
−
Sizgei zosë mipor.
+
−
« Sappi boualo, riu tuddor,
+
−
Eipä ri, bia teimuneir,
+
−
Ödolo o blözubeir. »
+
−
Bilnu mobbei blodas :
+
−
Zorrei zë niätaul tobe.
+
−
« Ga bosuoppi e dä ze ?
+
−
Tuddor hei zod häblödas.
+
−
Miuddo sil heiddi pomä
+
−
Sa zädo, mappi tobros.
+
−
Pi zäduo ? Sä ziu pelddos :
+
−
O puö täzo nödamä. »
+
  
−
'''La cigale et la fourmi''' (Jean de la fontaine)
+
Pour compter en '''Gäko''' il n'y a que dix chiffres à connaître. Les nombres se forment par simple juxtaposition : 10 = akinnou
  
−
"La Cigale, ayant chanté
+
* 0 = hau
−
Tout l'été,
+
* 1 = ka
−
Se trouva fort dépourvue
+
* 2 = gä
−
Quand la bise fut venue :
+
* 3 = te
−
Pas un seul petit morceau
+
* 4 = dë
−
De mouche ou de vermisseau.
+
* 5 = si
−
Elle alla crier famine
+
* 6 = zau
−
Chez la Fourmi sa voisine,
+
* 7 = lo
−
La priant de lui prêter
+
* 8 = rö
−
Quelque grain pour subsister
+
* 9 = bu
−
+
* 10 = pei
−
"Je vous paierai, lui dit-elle,
+
* 100 = mau
−
Avant l'Oût, foi d'animal,
+
* 1000 = nau
−
Intérêt et principal. "
+
−
La Fourmi n'est pas prêteuse :
+
−
+
−
Que faisiez-vous au temps chaud ?
+
−
+
−
+
−
Je chantais, ne vous déplaise.
+
−
- Vous chantiez ? j'en suis fort aise.
+
−
Eh bien! dansez maintenant."
+
  
 
==Idéomonde associé : Le Losda==
 
==Idéomonde associé : Le Losda==
  
−
Comme toutes les langues du [[projet ELKO]], le'''Gäko''' trouve sa place dans le Losda où celui-ci est une langue un système de cryptage.
+
Dans le [[Losda]], le '''Gäko''' est la langue d'un certain nombre de peuple de monstres (au premier sens du terme : du latin <font size=1>MONSTRO -ARE -AVI -ATVM</font>, pour "montrer"). Mais contrairement à ce que l'on pourrait penser. Les monstres n'y sont pas tous bêtes, moches et méchants. Il s'agit d'exclus, d'ermites, d'êtres possédant des spécificités uniques, des expériences, des golems.
  
 
== Site de référence==
 
== Site de référence==
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[[Catégorie:Elko]]
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[[Catégorie:ELKO (projet)]]
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[[Catégorie:Idéolangue]]
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[[Catégorie:Artistique]]
 +
[[Catégorie:A priori]]

Version actuelle en date du 14 juin 2022 à 11:33

  Gäko
Gäko 		 
Année de création 1997
Auteur Ziecken Azuris
Régulé par Académie elkanne
Nombre de locuteurs 1
Parlé en Losda
Idéomonde associé Losda
Catégorie Langue artistique
Typologie Langue a priori
Alphabet Alphabet latin, gäka
Lexique
Version
Codes de langue
ISO 639-1 —
ISO 639-2 —
ISO 639-3
Préfixe Idéopédia GAK_Préfixe

Le Gäko est une idéolangue créé en 1997 par Ziecken Azuris. Il se base sur la numérologie et la philosophie du Yin et du Yang. Il s'agit du troisième projet linguistique du projet ELKO.

Le Gäko est une langue simple et originale ne comprenant que 14 symboles servant à la fois de consonnes et de voyelles. Le vocabulaire se forme à partir d'un nombre limité de concepts de base. C'est un principe dérivé de celui utilisé par l'Urque et par l'Elko.

Historique

Le Gäko est officiellement né le 8 août 1997. Son nom vient des premiers caractères de son alphabet : Gä et Ka. La transformation de Gäka en Gäko provient de l'elko où le suffixe "ko" signifie "langue". Le terme Gäka désigne son alphabet.

Alphabet & prononciation

Le Gäko dispose d'un alphabet de 14 caractères appelés : "glyphes" qui selon la position (droite ou inversée) changent de prononciation : placés en bas il prennent une valeur de consonne, mais placés en haut il prennent une valeur de voyelle. Bien que disposant d'une écriture assez déroutante le Gäko dispose d'une prononciation ne posant pas de problèmes majeurs pour un francophone :

  • A se prononce comme le "a" de table
  • Ä est un "a" long
  • AU se prononce comme le "aw" de nawak
  • B se prononce comme le "b" de balle
  • D se prononce comme le "d" de doigt
  • E se prononce comme le "é" de dé
  • Ë est un "e" long
  • EI se prononce comme le "eil" de réveil
  • G se prononce comme le "g" de gare
  • Gh se prononce comme le "r" de radis
  • H se prononce comme le "ch" de chemin
  • I se prononce comme le "i" de hibou
  • IA se prononce comme le "ia" de cianure
  • IÄ est un "ia" long
  • J se prononce comme le "y" de yaourt
  • K se prononce comme le "k" de koala
  • Kh se prononce comme le "ch" de nacht (allemand)
  • L se prononce comme le "l" de lune
  • M se prononce comme le "m" de mer
  • N se prononce comme le "n" de noix
  • O se prononce comme le "o" de loterie
  • Ö est un "o" long
  • P se prononce comme le "p" de petit
  • R se prononce roulé
  • S se prononce comme le "s" de soleil
  • T se prononce comme le "t" de table
  • U se prononce comme le "ou" de tour
  • w se prononce comme le "w" de watt
  • Z se prononce comme le "z" de zeste

Morphologie

Plus un mot possède de symboles, plus il définit un concept précis. Ainsi les mots composés d'un seul symbole sont en général des petits mots outils très pratiques et ceux de plus de deux symboles sont des mots lexicaux.

Le Gäko est une langue isolante, les mots sont donc placés les uns à côtés des autres sans aucune foreme de dérivation, de flexion, de déclinaison, ou d'accord.

Grammaire

Aucune donnée pour le moment

Lexique

Aucune donnée pour le moment

Chiffres et nombres

Voir aussi : noms de nombres en différentes idéolangues

Pour compter en Gäko il n'y a que dix chiffres à connaître. Les nombres se forment par simple juxtaposition : 10 = akinnou

  • 0 = hau
  • 1 = ka
  • 2 = gä
  • 3 = te
  • 4 = dë
  • 5 = si
  • 6 = zau
  • 7 = lo
  • 8 = rö
  • 9 = bu
  • 10 = pei
  • 100 = mau
  • 1000 = nau

Idéomonde associé : Le Losda

Dans le Losda, le Gäko est la langue d'un certain nombre de peuple de monstres (au premier sens du terme : du latin MONSTRO -ARE -AVI -ATVM, pour "montrer"). Mais contrairement à ce que l'on pourrait penser. Les monstres n'y sont pas tous bêtes, moches et méchants. Il s'agit d'exclus, d'ermites, d'êtres possédant des spécificités uniques, des expériences, des golems.

Site de référence

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