Syllabe : Différence entre versions

De Ideopedia
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::Le Z ne se prononce pas : il n'y a dont pas de coda.
 
::Le Z ne se prononce pas : il n'y a dont pas de coda.
  
Dans '''apparurent''' /a·pa·ʁyʁ/<ref>Cependant, on peut trouver, notamment en versification, un découpage laissant apparaître une quatrième syllabe, nécessaire pour le "comptage des pieds": /·pa·ʁy·ʁ(ə)/.</ref> on a trois syllabes:
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Dans '''apparurent''' /a·pa·ʁyʁ/<ref>Cependant, on peut trouver, notamment en versification, un découpage laissant apparaître une quatrième syllabe, nécessaire pour le "comptage des pieds": /·pa·ʁy·ʁ(ə)/.</ref> on a trois syllabes :
 
:/a/
 
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::Pas d'attaque: la syllabe commence directement par le noyau, seule lettre de la syllabe: A
 
::Pas d'attaque: la syllabe commence directement par le noyau, seule lettre de la syllabe: A
 
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::L'attaque est représentée par le son [p], dont l'ortographe est doublée (PP)<ref>Toutefois, certaines prononciations ampoulées font apparaître les deux P: /ap·pa/.</ref>
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::L'attaque est représentée par le son [p], dont l'orthographe est doublée (PP)<ref>Toutefois, certaines prononciations ampoulées font apparaître les deux P: /ap·pa/.</ref>
 
::Le noyau est représenté par le [a]: A
 
::Le noyau est représenté par le [a]: A
 
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L'aneuvien suit la même règle et quand le radical apparaît entièrement, sa (ou ses) syllabe(s) doi(ven)t en principe, rester intacte(s).
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L'aneuvien suit la même règle et quand le radical apparaît entièrement, sa (ou ses) syllabe(s) doi(ven)t en principe, rester intacte(s)<ref>Toutefois, cette règle est de moins en moins suivie au vu des difficultés rencontrées avec les conjugaisons de certains verbes.</ref>.
  
 
POT est le radical du verbe ''poten'' (pouvoir).
 
POT est le radical du verbe ''poten'' (pouvoir).
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La coda de la syllabe peut avoir une consonne supplémentaire, selon les besoins de la langue, que ceux-ci soient lexicaux : ''an<font color=green>t</font>'' (chose), ou grammaticaux : ''[[IDEO_ANV_Impératif|open<font color=green>t</font>]]''<ref>Au pluriel, le premier mot sera découpé comme suit : ''ant·e'' et le second ''op·en·te''</ref>. Pour schématiser, le radical peut avoir une lettre en plus, pas une lettre en moins.
 
La coda de la syllabe peut avoir une consonne supplémentaire, selon les besoins de la langue, que ceux-ci soient lexicaux : ''an<font color=green>t</font>'' (chose), ou grammaticaux : ''[[IDEO_ANV_Impératif|open<font color=green>t</font>]]''<ref>Au pluriel, le premier mot sera découpé comme suit : ''ant·e'' et le second ''op·en·te''</ref>. Pour schématiser, le radical peut avoir une lettre en plus, pas une lettre en moins.
  
:''Eg pùze'' /ɛg·pyz/<ref>dans ''eg pùze cyv'', on découpera de la manière suivante, pour respecter les radicaux : /ɛg·pyz·ə·ʦɪf/ L'attaque de la dernière syllabe étant une consonne affriquée: C.</ref>
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:''Eg pùze'' /ɛg·pyz/<ref>dans ''eg pùze ċyv'', on découpera de la manière suivante, pour respecter les radicaux : /ɛg·pyz·ə·t͡sɪf/ L'attaque de la dernière syllabe étant une consonne affriquée: C.</ref>
 
:''Ar dem hàlte'' /ɐʁ·dəm·ˈalt<font color=green>·ə</font>/.
 
:''Ar dem hàlte'' /ɐʁ·dəm·ˈalt<font color=green>·ə</font>/.
  
 
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==Liens==
 
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Version du 12 mai 2014 à 17:01

Une syllabe est un morceau de mot formé par l'union d'une consonne et d'une voyelle. Certaines syllabes particulières ne contiennent pas de consonne, d'autres pas de voyelle. Une syllabe peut se décomposer en trois éléments :

  • L'attaque : consonne(s) précédant le noyau
  • La rime, elle-même composée de :
    • Le noyau ou sommet de la syllabe: généralement une voyelle, une diphtongue ou une triphtongue ;
    • La coda : consonne(s) suivant le noyau.

Exemples

il s'agit, dien évidemmment, de syllabes dans le sens phonétique.

Dans parlez /paʁ·le/, on a deux syllabes:

/paʁ/ dont
l'attaque est le [p]: P
le noyau est le [a]: A
la coda est le [ʁ]: R
/le/ dont
l'attaque est le [l]: L
le noyau est le [e]: E
Le Z ne se prononce pas : il n'y a dont pas de coda.

Dans apparurent /a·pa·ʁyʁ/<ref>Cependant, on peut trouver, notamment en versification, un découpage laissant apparaître une quatrième syllabe, nécessaire pour le "comptage des pieds": /·pa·ʁy·ʁ(ə)/.</ref> on a trois syllabes :

/a/
Pas d'attaque: la syllabe commence directement par le noyau, seule lettre de la syllabe: A
/pa/
L'attaque est représentée par le son [p], dont l'orthographe est doublée (PP)<ref>Toutefois, certaines prononciations ampoulées font apparaître les deux P: /ap·pa/.</ref>
Le noyau est représenté par le [a]: A
/ʁyʁ/
/ʁ/ Le premier R est la consonne d'attaque
/y/ La voyelle [u] forme le noyau: U
/ʁ/ Le dernier R (coda) "ferme" la prononciation du mot ; ENT n'est pas prononcé.

La composition d'un mot en syllabes a également son importance lorsqu'il s'agit de le couper en deux lorsqu'on n'a pas la place de l'écrire en entier à la fin d'une ligne.

Idéolangues

Avataneuf.gif Aneuvien

L'aneuvien suit la même règle et quand le radical apparaît entièrement, sa (ou ses) syllabe(s) doi(ven)t en principe, rester intacte(s)<ref>Toutefois, cette règle est de moins en moins suivie au vu des difficultés rencontrées avec les conjugaisons de certains verbes.</ref>.

POT est le radical du verbe poten (pouvoir).

On a donc
pot·en (et non po·ten)
pot·na
pot·é·na (et non po·té·na).


La coda de la syllabe peut avoir une consonne supplémentaire, selon les besoins de la langue, que ceux-ci soient lexicaux : ant (chose), ou grammaticaux : opent<ref>Au pluriel, le premier mot sera découpé comme suit : ant·e et le second op·en·te</ref>. Pour schématiser, le radical peut avoir une lettre en plus, pas une lettre en moins.

Eg pùze /ɛg·pyz/<ref>dans eg pùze ċyv, on découpera de la manière suivante, pour respecter les radicaux : /ɛg·pyz·ə·t͡sɪf/ L'attaque de la dernière syllabe étant une consonne affriquée: C.</ref>
Ar dem hàlte /ɐʁ·dəm·ˈalt·ə/.

Elko.jpg Elko

À venir.

Liens



<references/>