IDEO RIK Les contractions : Différence entre versions

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Elle permet d'éviter des confusions assez rares, elle n'est donc pas nécessaire.
 
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Les nombres sont rapidements très longs en Dèyrik, c'est pourquoi leurs contractions est essentiel pour imaginer en utilisé des grands.
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Prenons : 11 453 > aastiaéaastaétastoééastiékast
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La première étape va être de retirer les "é" et les "ast" sauf le dernier que l'on ne retirera que si l'on est sur que son absence de cause pas d'ambiguité.
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On a alors : aiaaatoéikast. On en rentirera les "a" des 1 (ici les deux premiers > ''11'' 453) ce qui nous donne : iaatoéikast
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Les ambiguités son généralemet créées lorsque que des milliers ne sont pas suivit d'unité inférieur, ou bien que le nombre se termine par un 1 (aast). Ici ce n'est pas le cas, on peut donc penser qu'il n'y aura pas d'ambiguité et seulement garder : iaatoéik
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On peut tout de suite commencé appliquer les contractions habituelles (la contraction aa en a' est bien sur totalement impossible).On aura alors quelque chose comme : yaatwéyk qu'on pourra aussi retrouvé prononcé ya'atwéyk pour bien différencier les "a".
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aastiaéaastaétastoééastiékast : ya'atwéyk
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=='''Autres informations'''==
 
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Version actuelle en date du 3 janvier 2014 à 20:16

Les contractions en Dèyrik est un aspect primordiale pour comprendre et parler la langue. Il en existe plusieurs types et chacun d'entre eux sont très important dans toutes les parties de la langues.

Contraction de mot

Ce sont des mots qui se contractent de manière courante. L'exmple le plus important est "id" contraction de "idéta". Il y aussi "ko" pour "kohos" ou "sé" pour "séda", etc...

Contraction par idée

Cela consiste à se servir d'un complément comme verbe : Dokso ier a (Je suis stupide) : Idokso a

Pour éviter certaines confusions, il est préférable d'utiliser le complément sous forme d'adjectif : Idoksios a

Ou a utiliser des mots qui reprennent les idées tûs pour tout, Kayham pour un nom, Djanai pour un verbe, ces deux derniers peuvent également être utilisé quand on ne trouve pas ses mots, Kayham peut donc parfois prendre le sens de truc, et djanai prend quasi tout le temps le sens de "faire". Exemple : Kayham kidjanai a : Va faire le truc!

Contraction d'expression

L'exemple le plus connu et le plus utilisé c'est la contraction de idétaer a (c'est) : ider a : ida : da


Le "da" en question est tellement utilisé qu'on lui applique les temps. I dapa : C'était moi.

(Au passage, ce da et le Joker sont tellement utilisés que le clavier de la langue comporte une touche "da".)

La disparition du verbe être (èr) est très courante. Par exemple un "tier a" deviens presque tout le temps un "tya"

La contraction du -nis a en fait également partie et est très courante également aussi.


Et il existe d'autres nombreuses choses à savoir, encore une fois, c'est une langue instinctive, elle prend de nombreuses formes.

Contraction de nis et d'être :

nis + a/o/ø = na/no/nû

ièr + a/o/ø = ya/yo/yû

tyèr + a/o/ø = tya/tyo/tyû

roèr + a/o/ø = rwa/rwo/rwû

èrèr + a/o/ø = (è)la/(è)lo/(è)lû (la contraction de èr avec èr varient parfois)

loèr + a/o/ø = lwa/lwo/lwû

èsèr + a/o/ø = za/zo/zû


Contraction des voyelles

Beaucoup de voyelles connaissent des contractions très récurrentes :


I+voyelle = Y+voyelle

A + A = A'

Û/O+voyelle : W+voyelle

voyelle+S+voyelle d'un autre mot = voyelle(disparu disparu si é ou è)+Z+voyelle du mot = entraine fusion des mots.

Cette contraction est très particulière est peu utilisée. Exemple : Môdès ikénwa = Môdzikénwa


Contractions importantes

Ce n'est pas vraiment un type de contraction à part entière, juste une liste de contration à retenir car très très courante.

Les pronoms :

I = Aucune

Ti = T

Aro = Ro (On évite de l'utiliser car peut parfois porter confusion avec lo, lorsque que l'on roule les r, parfois prononcé rô pour permettre une utilisation plus importante, marche pour ra et rê.)

Cèr = Èr

Lo = Aucune

Arès = Ès

Verbe suffixe simple :

Vèyli = li

Kréi = réi

Démo = mo

Le DA.


Les contractables/Contraction suffixe

Voir les verbes contractés dans les mots filliens.


Contractions fortes

Les contractions fortes sont les contractions qui s'apprenenent par coeur et n'ont qu'une seule forme. Ce sont généralement des contractions d'expression, il n'y a que quelques exceptions.

Liste actuellement non-exhaustive :


ûd :

Contraction de Ui ... djyônd : Ui seda tyû djyônd i da (Si tu es là c'est mon fait.) Donnera : Seda tyû ûd i da

Oda/Ôda :

Contraction de Ond ... da : Ond seda yûlipa tikohosmopapa da (C'est parce que je voulais être ici que tu dû partir.) Donnera : Seda yûlipa tokohospapa oda


Principe de participation temporel

Le principe de participation est un principe permettant de sous entendre les temps et les sujets dans une phrase.


Il y en trois types :


La participation égalitaire :

Seda yûpa tyaprônpa a (Tu aurais dû être là où j'étais)

La valeur des temps étant la même un seul suffit :

Seda yûpa tyaprôn a / Seda yû tyaprônpa a

La vulgarisation de la participation se fait sur le point finale : Seda yû tyaprôn apa

La phrase pourrait aussi se dire "Iseda tyaprôn apa"

La vulgarisation finale donnerait : "Iseda tiprôn apa"

Puis dans l'argo on retrouverait : 'Ise' tiprôn apa" ou "Ise' tiprônpa' "


La participation commanditaire :

Pouvant prêté à confusion elle est à éviter. Elle permet de sous-entendre un temps :

Kasin tikarméapapa yapa (Je fus celui que tu avais cherché.)

Donnerais : "Kasin tikarméa yapa"

Evidemment, hors contexte c'est même complétement faux. Cette contraction est dans un cas contextuel. Où celui qui lis ou entend la phrase se doute de la participation.


La participation sujettaire :


La question du pourquoi est-ce une participation temporelle c'est simplement que les actions sont dans un même temps.

I tihatapôn ta tikenopôn o ond i tiloko a (Tu m'aidera puis me tuera car tu me hais.)

Tout d'abord on applque la participation égalitaire : 'I tihata ta tikeno opôn ond i tiloko a

Maintenant, avec la participation sujettaire, qui retire les sujets sous-entendus on obtient :

I tihata ta keno opôn ond loko a / I tihata ta kenopôn o ond loko a

Contracté on aura ensuite : "I tihata ta kenopôn ond lokwa"


L'attache voyelle-voyelle :

Lorsque un mot finissant par une voyelle et attaché à un mot commencant par une voyelle on peut rajouter un h.

C'est l'attache.

Elle permet d'éviter des confusions assez rares, elle n'est donc pas nécessaire.

Contractions des nombres

Les nombres sont rapidements très longs en Dèyrik, c'est pourquoi leurs contractions est essentiel pour imaginer en utilisé des grands.

Prenons : 11 453 > aastiaéaastaétastoééastiékast

La première étape va être de retirer les "é" et les "ast" sauf le dernier que l'on ne retirera que si l'on est sur que son absence de cause pas d'ambiguité.

On a alors : aiaaatoéikast. On en rentirera les "a" des 1 (ici les deux premiers > 11 453) ce qui nous donne : iaatoéikast

Les ambiguités son généralemet créées lorsque que des milliers ne sont pas suivit d'unité inférieur, ou bien que le nombre se termine par un 1 (aast). Ici ce n'est pas le cas, on peut donc penser qu'il n'y aura pas d'ambiguité et seulement garder : iaatoéik

On peut tout de suite commencé appliquer les contractions habituelles (la contraction aa en a' est bien sur totalement impossible).On aura alors quelque chose comme : yaatwéyk qu'on pourra aussi retrouvé prononcé ya'atwéyk pour bien différencier les "a".

On a alors :

aastiaéaastaétastoééastiékast : ya'atwéyk


Autres informations

Lors de l'accentuation, il faut s'assurer que l'accentuation autorise les contraction.

Les contractions les plus fortes sont généralement sudistes et sont assez vulgaires.

Exemple :

Èzwûd znopa' (qu'on pourra même pousser jusqu'à "Zwûd znopa'") = Èsso ûd èsaasnop aast a (forme déjà assez vulgaire de base) = S'ils ont torts c'est parce qu'ils ont seulement une (réponse).

Cette phrase est très vulgaire et très sudiste.

On ne contracte JAMAIS une voyelle derrière un h, c'est très vulgaire.