IDEO GTA Subordination : Différence entre versions

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:J’ai vu Gérard manger.
 
:J’ai vu Gérard manger.
 
:J’ai vu voyant, mange Gérard.
 
:J’ai vu voyant, mange Gérard.
:Najima najāma, manaĝi Tajeṙaṙ’[-ha]<ref>La marque du nominatif est facultative.</ref>.
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:Najima najāma, manaĝi Tajeṙaṙ’[-ha]<ref>La marque du nominatif est facultative, mais peut être utile ici pour ne pas comprendre « j’ai vu Gérard se faire manger ».</ref>.
  
 
== Propositions subordonnées introduites par un corrélatif ==
 
== Propositions subordonnées introduites par un corrélatif ==

Version du 20 juillet 2014 à 19:51

Article parent : IDEO GTA Grammaire

Il existe en gelota quatre manières de marquer la subordination (i. e. de débuter les propositions subordonnées)<ref>Le vocabulaire de la subordination en français est empruntée à cette page. Il est conseillé de la lire si vous n’êtes pas trop au clair avec les catégories utilisées.</ref>, en fonction du type de subordination.

Règles générales à propos des subordonnées

En gelota, il est exceptionnel d’avoir une proposition subordonnée rectrice, c’est-à-dire d’avoir une subordonnée de subordonnée, et il est strictement interdit à une subordonnée rectrice de régir une autre subordonnée rectrice (il est donc impossible à une proposition d’être subordonnée d’une subordonnée d’une subordonnée).

Propositions subordonnées utilisant un participe

Règle

Lorsque la proposition subordonnée décrit ou complète un verbe et n’est pas effaçable, il faut répéter le verbe recteur, mais en le mettant au participe. Le verbe subordonné pourra lui être à n’importe quel temps conjugué ; le temps choisi le sera en fonction de son rapport avec le verbe recteur :

Temps du verbe recteur Rapport du régi au recteur Temps du verbe régi
Temps du passé Antériorité Amplifiant
Simultanéité Présent
Postérité Futur
Temps du présent Antériorité Temps du passé
Simultanéité Présent
Postérité Futur
Temps du futur Antériorité Temps du passé
Simultanéité Présent
Postérité Amplifiant

Comparaison avec le français

En français, cette forme traduit trois types différents<ref>Sur quatre, on peut donc dire que la forme participiale traduit les propositions subordonnées complétives françaises, sauf exception.</ref> de proposition subordonnée complétive :

  • soit une « proposition conjonctive pure », marquée par « que » ;
  • soit une « proposition interrogative indirecte totale », introduite par « si ») ;
  • soit une « proposition infinitive ».

Exemples

Traduisant une proposition conjonctive pure :

Je dis que Gérard est grand.
Je dis disant, est-grand Gérard.
Galata galāta, gadali Tajeṙaṙ’.

Traduisant une proposition interrogative indirecte totale :

Je me demande si Gérard est grand.
Je demande à moi demandant, est-grand Gérard.
Damada bo damāda, gadali Tajeṙaṙ’.

Traduisant une proposition infinitive :

J’ai vu Gérard manger.
J’ai vu voyant, mange Gérard.
Najima najāma, manaĝi Tajeṙaṙ’[-ha]<ref>La marque du nominatif est facultative, mais peut être utile ici pour ne pas comprendre « j’ai vu Gérard se faire manger ».</ref>.

Propositions subordonnées introduites par un corrélatif

Propositions subordonnées utilisant un infinitif

Génitif absolu

Notes et références

<references />