IDEO SPK Accent tonique : Différence entre versions
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Version du 13 février 2015 à 18:44
En sprakan, l'accent, qui consiste en l'intensification de la syllabe concernée, est porté naturellement par la première voyelle d'un mot isolé. Dans une phrase construite, il tombe dans tout les mots, et le jeu vocalique des voyelles longues et courtes est à respecter tel qu'il est transcrit. Il y'a deux exceptions à cette règle. Ces deux exceptions modifient et rigidifient ponctuellement l'ordre syntaxique normalement libre.
Sommaire
Exception du volitif II
La conjugaison d'un verbe au volitif II (impératif, subjonctif) est la forme -tët(ën) à toutes les personnes ainsi que l'accentuation de la première syllabe du verbe (et donc, la réduction de la voyelle si celle-ci était longue). La première rigidification de la syntaxe par le volitif II est la place du sujet par rapport au verbe : si l'on introduit une nuance d'ordre (impératif), il suivra immédiatement le verbe. Si en revanche l'on introduit une nuance de souhait (subjonctif), alors il le précédera immédiatement.
Toute autre forme serait incorrecte.
Pour un verbe simple
Par ailleurs, le verbe porteur de l'accent sera toujours en queue de préposition, quand il est au subjonctif, le pronom sujet sera amuït. Tout groupe sujet secondaire sera rejeté en tête de préposition, le verbe accentué appellera à sa suite tout adverbe qui arborera alors la plus simple terminaison adverbiale (-e), et l'objet sera intercalé entre le groupe verbal et le groupe sujet éventuel. Chaque groupe doit rester hermétique, et l'ordre rigide devient : VOS. Exemple :
(Ig vil,) Ak estët jeme apfalo kiar, Edvar. (je veux) tu manges[imp.] maintenant pomme tienne, Edvar. (J'aimerai que) tu manges ta pomme maintenant, Edvar.
Toute autre forme serait incorrecte.
pour un verbe à particule
Un verbe à particule, par exemple aofstandën est le verbe standën ((se) tenir debout) accompagné de la particule aof qui introduit l'idée d'un mouvement vers le haut et demande le cas second. Le nouveau verbe formé est un verbe à part entière, il ne forme plus qu'un seul bloc. Cependant, si c'est un verbe régulier, alors sa conjugaison est calqué sur le verbe originel (ici standën), et c'est alors la première voyelle de celui-ci qui portera l'accent, cela implique le rejet de la particule en tête de phrase, après le groupe sujet.