Raymond Queneau : Différence entre versions

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Raymond Queneau, né au Havre le 21 février [[1903]], fut un écrivain prolifique et également un créateur littéraire renommé. Tout d'abord membre du mouvement surréaliste, il en partit pour des questions de désaccord interne. Il fonda ensuite le mouvement [[Oulipo]] (entre autres avec [[Georges Pérec]]) puis fut satrape au Collège de Pataphysique (ou officiait également [[Boris Vian]]).
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Raymond Queneau, né au Havre le 21 février [[1903]], fut un écrivain prolifique et également un créateur littéraire renommé. Tout d'abord membre du mouvement surréaliste, il en partit pour des questions de désaccord interne. Il fonda ensuite le mouvement [[Oulipo]] (entre autres avec [[Georges Pérec]]) puis fut satrape au Collège de Pataphysique (officiait également [[Boris Vian]]).
  
 
Il fut un défenseur d'une orthographe simplifiée, très proche de la [[phonétique]], qu'il utilisa entre autre dans '''Zazie dans le métro''' (<code>Ltipstu</code> pour "le type se tut").
 
Il fut un défenseur d'une orthographe simplifiée, très proche de la [[phonétique]], qu'il utilisa entre autre dans '''Zazie dans le métro''' (<code>Ltipstu</code> pour "le type se tut").

Version du 29 avril 2015 à 13:04

Raymond Queneau, né au Havre le 21 février 1903, fut un écrivain prolifique et également un créateur littéraire renommé. Tout d'abord membre du mouvement surréaliste, il en partit pour des questions de désaccord interne. Il fonda ensuite le mouvement Oulipo (entre autres avec Georges Pérec) puis fut satrape au Collège de Pataphysique (où officiait également Boris Vian).

Il fut un défenseur d'une orthographe simplifiée, très proche de la phonétique, qu'il utilisa entre autre dans Zazie dans le métro (Ltipstu pour "le type se tut").

Son autre œuvre la plus connue n'est pas un roman, mais une histoire courte racontant entre autre un différend entre deux usagers d'un autobus, écrite quatre-vingt-dix-neuf fois de manière différente  : Exercices de style.

Entre autres œuvres, il fit notamment la traduction de Peter Ibbetson (George Du Maurier).

Il s'éteignit en 1976 à Paris. Une station de métro, entre Bobigny et Pantin, porte son nom.