Gabarit : Différence entre versions
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Le gabarit n'est certes pas la structure fondamentale de la langue aneuvienne, certes ; mais quelques rares gabarits apparaissent toutefois en tant que racines de mots aneuviens. Ces gabarits sont essentiellement des modules ''a priori'', sur lesquels viennent se greffer des voyelles. On notera : | Le gabarit n'est certes pas la structure fondamentale de la langue aneuvienne, certes ; mais quelques rares gabarits apparaissent toutefois en tant que racines de mots aneuviens. Ces gabarits sont essentiellement des modules ''a priori'', sur lesquels viennent se greffer des voyelles. On notera : | ||
:'''dxp''', un gabarit-[[Curiosités_lexicales#Les_mots-toupies|toupie]], la lettre centrale (X) symbolisant un nœud. | :'''dxp''', un gabarit-[[Curiosités_lexicales#Les_mots-toupies|toupie]], la lettre centrale (X) symbolisant un nœud. | ||
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Version actuelle en date du 1 août 2015 à 22:48
Un gabarit est une racine uniquement composée de consonnes. Les voyelles s'utilisent alors comme des affixes (préfixe, infixe, suffixe, circonfixe) permettant d'obtenir les mots avec des sens précis, le gabarit étant quant à lui, un concept général. Les gabarits sont présentés au moyen de la racine carrée : √.
Les langues utilisant de telles racines sont appelées Langues gabaritiques.
Lorsque le gabarit comprend 2 consonnes on parle de racine bilitère et lorsqu'il contient trois on parle de racine trilitère.
Sommaire
Idéolangues
Aneuvien
Le gabarit n'est certes pas la structure fondamentale de la langue aneuvienne, certes ; mais quelques rares gabarits apparaissent toutefois en tant que racines de mots aneuviens. Ces gabarits sont essentiellement des modules a priori, sur lesquels viennent se greffer des voyelles. On notera :
- dxp, un gabarit-toupie, la lettre centrale (X) symbolisant un nœud.
- trd, un gabarit non motivé, mais qui est la source de mots comme tard (sûr), terád (certain) ou drat (doute) .
D'autres en préparation.
Gelota
Le gelota, donc, possède (ou plutôt possèdera) son propre alphabet, nommé « becoĉa ». Il est composé de 25 consonnes (lettres) et de 8 points-voyelles. Cet alphabet respecte strictement le principe « une graphie = un phonème et un phonème = une graphie ».
Il existe une transcription officielle, présentée dans l’article principal. Parfois compliquée par des diacritiques, cette transcription met tout de même en place des biais pour en résoudre les problèmes (notamment informatiques).
IL s'agit donc d'un système d'écriture gabaritique. Par exemple, le nom même de la langue fonctionne sur ce système. Le sens est porté par les consonnes : GLT (idée générale de « langue » ou de « langage »), et les voyelles sont des marqueurs grammaticaux : e (nom), o (genre indéfini), a (nominatif singulier).
Kelep
Le kelep utilise des gabarits à 3 consonnes (racines trilitères). Ces gabarits sont obtenus par thétymologie.
Ex : √THN /tɛhɛn/ "science, intelligence de Athéna, déesse grecque de la science et de l'intelligence.