Uazei Eig·o : Différence entre versions
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* '''·az sens de conception de l’esprit''' | * '''·az sens de conception de l’esprit''' |
Version du 27 novembre 2018 à 20:09
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Année de création | 2018 | |||
Auteur | bakou | |||
Régulé par | ||||
Nombre de locuteurs | ||||
Parlé en | ||||
Idéomonde associé | ||||
Catégorie | Langue expérimentale | |||
Typologie | Langue a priori | |||
Alphabet | Latin | |||
Lexique | ||||
Version | ||||
Codes de langue | ||||
ISO 639-1 | — | |||
ISO 639-2 | — | |||
ISO 639-3 | ||||
Préfixe Idéopédia | IDEO_UAZ |
Le Uazei Eig·o est une idéolangue créée en 2018 par bakou.
Sommaire
- 1 Historique.
- 2 Alphabet & prononciation.
- 3 Syllabes.
- 4 Morphologie.
- 5 Les pronoms (VCCV).
- 6 Les nombres grammaticaux.
- 7 Macronisation: sens privative, et antagoniste.
- 8 Les «mots nuancés».
- 9 Le sens de «de nouveau».
- 10 Conjugaison.
- 11 Le préfixe Akt- 1) seul ou 2) lié (instrumental).
- 12 Cas possessif.
- 13 Le préfixe «Yt-» 1) seul 2) lié (locatif) 3) le mouvement.
- 14 Préfixe cis- / trans- et le Prolatif.
- 15 L’objectif.
- 16 Le causal.
- 17 La conséquence le conséquentiel.
- 18 Les comparatifs.
- 19 Liens
- 20 Notes
Historique.
Les prémisses de la langue ont été présentées sur L'Atelier le 1 juillet 2018.
Alphabet & prononciation.
L'Uazei eig·o utilise l'alphabet latin. Il compte 24 lettres (18 consonnes et 6 voyelles) :
Majuscule | Minuscule | Prononc. API | Équiv. Français |
---|---|---|---|
A | a | /a/ | a |
B | b | /b/ | b |
Bʰ | bʰ | /bʰ/ | |
D | d | /d/ | d |
E | e | /e/ | é |
F | f | /f/ | f |
G | g | /g/ | g |
H | h | /h/ | |
I | i | /i/ | i |
J | j | /j/ | y |
K | k | /k/ | c, k |
Kʰ | kʰ | /kʰ/ | |
L | l | /l/ | l |
Lʰ | lʰ | /lʰ/ | |
M | M | /m/ | m |
N | n | /n/ | n |
O | o | /ɔ/ | o |
P | p | /p/ | p |
Pʰ | pʰ | /pʰ/ | |
T | t | /t/ | t |
Tʰ | tʰ | /tʰ/ | |
U | u | /u/ | ou |
V | v | /v/ | v |
Y | y | /y/ | u |
Z | z | /z/ | z |
En début du mot, le H est toujours aspiré comme dans le mot japonais Hiragana. Dans cette configuration, il se trouve toujours avant une voyelle. Lorsqu’il est à l’intérieur d’un mot, il peut seulement suivre les lettres B, P, K, T, L. Dans cette situation les lettres doivent être prononcées dans une aspiration d’air.
Dans certain cas, les voyelles sont en mesure de porter des signes diacritiques.
Lorsque 2 lettres identiques se suivent, il est plus commode de les remplacer par leur forme barre. Si la compréhension de la phrase est réduite par ce changement il est préférable de conserver les 2 lettres à la suite.
A l’écrit, il est possible d’utiliser le point souscrit sur la dernière lettre des préfixes et la première des suffixes des cas grammaticaux. Ceci n’est rien d’autre qu’un repère visuel, il ne modifie pas la sonorité de la lettre. De plus il est facultatif. Lorsque la lettre est épelée, le point souscrit se nomme sous point par exemple ḷ se dit «l sous point».
Syllabes.
- Monogramme.
- Y, I, E, A, O, U, H (uniquement en début de nom).
- Z, M, T, G. (uniquement en début d’adjectif).
- Digramme.
- Yi, Ye, Ya, Yo, Yu, Yf, Yz, Yv, Yn, Ym, Yt, Yth, Yp, Yph, Yk, ykh, Yd, Yb, Ybh, Yg, Yl, Yj
- Ie, Ia, Io, Iu, If, Iz, Iv, In, Im, It, Ith, Ip, Iph, Ik, Ikh, Id, Ib, Ibh, Ig, Il, Ij
- Ai, Ao, Au, Af, Az, Av, An, Am, At, Ath, Ap, Aph, Ak, Akh, Ad, Ab, Abh, Ag, Al, Aj
- Ei, Ea, Eo, Eu, Ef, Ez, Ev, En, Em, Et, Eth, Ep, Eph, Ek, Ekh, Ed, Eb, Ebh, Eg, El, Elh
- Oy, Oi, Oe, Oa, Ou, Of, Oz, Ov, On, Om, Ot, Oth, Op, Oph, Ok, Okh, Od, Ob, Obh, Og, Ol, Oj
- Uy, Ui, Ua, Uo, Uf, Uz, Uv, Un, Um, Ut, Uth, Up, Uph, Uk, Ukh, Ud, Ub, Ubh, Ug, Ul, Uj
- Fy, Fi, Fe, Fa, Fo, Fu, f̄, Fz, Ft, F’g, Fl, Fj
- Hy, Hi, He, Ha, Ho, Hu
- Zy, Zi, Ze, Za, Zo, Zu, z̄, Zv, Zn, Zm, Zk, Zd, Zb, Z’g, Zl, Zj
- Vy, Vi, Ve, Va, Vo, Vu, v̄, vn, Vm, V’g, Vl, Vj
- Ny, Ni, Ne, Na, No, Nu, n̄, nt, n’b, nf, N’g, nl, Nj
- My, Mi, Me, Ma, Mo, Mu, Mz, m̄, Mt, Mk, mp, M’g, Mj
- Ty, Ti, Te, Ta, To, Tu, Tf, Tz, t̄, T’g, Tl, Tj
- Thu, Thi, The, Tha, Tho, Thu, Thj
- Py, Pi, Pe, Pa, Po, Pu, Pf, Pz, Pn, Pt, p̄, P’g, Pl, Pj
- Phy, Phi, Pha, Phe, Pho, Phu, Phj
- Ky, Ki, Ke, Ka, Ko, Ku, Kf, Kz, Kv, Kn, Km, Kt, k̄, K’g, Kl, Kj
- Khy, Khi, Khe, Kha, Khu, Khj
- Dy, Di, De, Da, Do, Du, Dz, D’n, Dm, Dk, d̄, D’g, Dj
- By, Bi, Be, Ba, Bo, Bu, Bz, B’m, b̄, B’g, Bl, Bj
- Bhy, Bhi, Bhe, Bhh, Bho, Bhu, Bhj
- Gy, Gi, Ge, Ga, Go, Gu, Gz, G’n, G’m, ḡ ou g’, Gl, Gj
- Ly, Li, Le, La, Lo, Lu, Lh, Lf, lz, ln, lt, lk, l̄, l’g, ld, Lb, Lj
- Lhy, Lhi, Lhe, Lha, Lho, Lhu
- Ju, Ji, Je, Ja, Jo, Ju, j’g (uniquement en fin de mot)
les consonne ne peuvent pas avoir de doubles macrons, 3 consonnes identiques (ou la même consonne à côté de sa consonne au macron) ne peuvent pas se suivent.
L'apostrophe entre deux lettres imposent un léger temps d’arrêt.
Les trigrammes doivent respecter les réspecter les digrammes.
Morphologie.
- Les noms (V...C).
Un nom (substantif) est une succession de syllabe.
- La formation du lexique découle des noms.
- Ils commencent toujours par une voyelle sans diacritiques ou par un H.
- Ils finissent toujours par une consonne, sauf H et J (à l’exception du mot outil).
- La consonne finale ne peut pas porter de macron.
Il n‘y a pas de genre grammatical. Toutefois, il est possible de préciser si le nom se rapporte à un élément femelle ou mâle.
- Pour féminiser, le suffixe -eg est ajouté. Uvzoladeg => une sourie femelle, Odomeg' => Organes génitaux féminins.
- Pour masculiniser, le suffixe -ig est ajouté. Uvzoladig => une sourie mâle, Odomig' => Organes génitaux Mâles.
- Les verbes (V...CEI) ou (VTV...CVZEI).
- Un verbe à l’infinitif se forme à partir du nom en ajoutent le suffixe «-ei».
- Les verbes auxiliaires, et le verbe être n'existe pas !
Lorsqu'un verbe est inclue dans une structure grammaticale, l'ordre des éléments à agglutiner est le suivant :
- Préfixe du cas + marqueur temporel + Nom + marqueur temporel + j̄ + ei / e.
- ou marqueur temporel + Nom + suffixe du cas + marqueur temporel + j̄ + ei / e.
- Les adjectifs (CV...VC).
Un adjectif est une succession de syllabe, il commence par une consonne et fini par une voyelle.
- Ils sont toujours en épithète avec le nom et sont invariables en genre et en nombre.
- Ils peuvent être placés soit avant si l’information qu’il contient est plus important que le nom ou dans le cas d’une association exotique provoquant la surprise de l’orateur.
- Soit après, si son information est moins importante que le nom ou que c’est le résultat attendu.
Pour former un adjectif à partir d’un nom il faut:
- Ajouter le préfixe g- si il commence par E ou O.
- Ajouter le préfixe m- si il commence par Y ou U.
- Ajouter le préfixe z- si il commence par A ou I.
- Ajouter le préfixe t- si il commence par H avec TH => Th.
- Ajouter le suffixe -e si il finit par L, D, T ou P.
- Ajouter le suffixe -o si il finit par K, G, F ou N.
- Ajouter le suffixe -i si il finit par Z, V, M, ou B.
- Les particules (V...V).
Une particule est un mot qui commence et finit par une voyelle. Elles sont au nombre de 4:
- Etoua indique une question.
- Eno indique que le nom qui suit est un nom propre ayant des lettres ou sonorités n’appartenant pas au Uazei Eig·o. Lorsque que plusieurs se suivent il est possible de les placer entre «‘». Eno ‘Bob Moran’.
- One que le mot qui suit est mot autre qu’un nom propre ayant des lettres ou sonorités n’appartenant pas au Uazei Eig·o. Lorsque que plusieurs se suivent il est possible de les placer entre «‘». One ‘Rue de la fond’.
- Yd'ne ... En'by en début et fin de propos permettent de considérer l’ensemble comme une hypothèse.
- Les connecteurs (CV).
Un connecteur est un mot de 2 lettres qui commence par une consonne et fini par une voyelle. Elles sont au nombre de 6:
- Jo indique un lien entre deux nombres.
- Ko indique un lien entre une quantité numérique et un mot.
- Ta et Za permettent de créer les structures de choix.
- Zo permet de lier deux parties de phrase en faisant appel à deux idées différentes.
- Lo indique la simultanéité de 2 actions / évènements.
- Les déterminatifs (·...).
Les déterminatifs sont de petit ensemble de lettre qui font référence à un domaine particulier. Ce ne sont pas des adjectifs et ils ne peuvent pas être employé seuls, ils doivent être liés à un «mot porteur».
À l’oral, ils sont prononcés à la fin du mot, après un temps un coup de glotte /ʔ/. À l’écrit, ils sont séparés du «mot porteur» par un point médian «·».
Ils sont assez polyvalents:
- Ils permettent d’effectuer un déplacement sémantique d’un mot appartenant à un domaine mais qui est en mesure de refléter une notion analogue, ou présentant des points communs, dans le domaine cible.
Par exemple: Alīopek signifie la langue au sens d’organe. Alīopek·ovn une langue de lave, Alīopek·yt un langage écrit.
- Ils permettent de fractionner le mot porteur en domaines d’intérêt.
Par exemple: Ovōaz le cerveau au sens d’organe, Ovōaz·oiz le cerveau d’un point vue purement musculaire, Ovōaz·oiz La biochimie du cerveau, Ovōaz·oil la microbiologie du cerveau.
- Ils permettent d’élargir le sens du mot porteur en considérant son implication dans un domaine plus vaste que sa définition initiale.
Par exemple: Eig l’Humain en tant qu’être vivant. Eig·o L’Humain inscrit dans l’ensemble des sciences.
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- ·yli Invocation
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- ·ab sens symbolique
- ·az sens de conception de l’esprit
- ...
- La ponctuation.
- Une phrase déclarative commence par une majuscule et se termine par un point.
- Un soupir permet de marquer un temps de pose avec une durée variable mais inférieur au point.
- Une question commence par * Etoua finit par *.
- Une phrase sous l’effet de la surprise commence par // et une majuscule, puis finit par //.
- Une question sous l’effet de la surprise commence par // élément de surprise et finit par etoua*. Cette structure reflet le double signe de ponctuation «!?» d’une phrase interro-exclamative.
- Pour mimer le double signe de ponctuation «?!», l’inverse est possible. Il faut commence par *Etoua et finir par //.
- Construction des phrases.
Le Uazei eig·o est une langue positionnelle, l’ordre des mots ou de la structure grammaticale reflète son importance dans le discours. Plus l’information véhiculer par l’ensemble grammaticale est pertinente, plus il se trouvera au début de la phrase.
- Cette règle de position s’applique seulement au niveau de la phrase.
- Cette règle s’applique aux phrases déclaratives.
Par exemple:
- «Je suis ravi» répond parfaitement à la question qui est ravi?
- Pour la question, comment es-tu? «Ravi suis je.» Construction classique car la question s’adresse directement à moi donc le «je» ai à la fin. Un effet d’insistance (ou d’égocentrisme) peut se traduire par la structure «Ravi je suis.».
Dans le cas classique le «je» peut être omis. La question étant «directe» il n’apporte rien !
- Pour porter l’attention sur le verbe, il suffit de: «suis ravi je» construction classique pour une question directe, avec possibilité d‘omettre le «je». Par insistance sur le «je» «suis je ravi».
- Pour les phrases plus longues possédant des compléments du nom ou du verbe ou pour des phrases complexes, les prépositions sont ordonnées dans l’ordre d’importance.
- Lorsque la phrase est soumise à la spontanéité, c’est-à-dire un moment de stress ou de surprise, l’ordre mettra surtout en évidence la chose ayant créé la surprise.
Les pronoms (VCCV).
En Uazei eig·o les pronoms sont composés de deux syllabes et ont un fonctionnement assez singulier:
- Ils fonctionnent toujours pas réflexion comme dans «je me lave», «je te tiens». Toutefois le sens est plus proche de la construction «moi par rapport à moi, à toi, de toi à moi.» et de «toi vis-à-vis de moi»….
- Toutefois, là cette réflexion n’empêche pas leurs emplois dans les structures classiques «je» «tu»…
Voici la liste des premiers:
- Imba, moi de moi-même (narrateur).
- S’utilise lors d’une autoévaluation du narrateur ou d’une action entreprise par le narrateur pour lui-même, il est quasi équivalant au «je me… pour moi» français.
- L’emploi de ce pronom est malvenu au cours d’un débat d’idée, en effet il donne l’impression (volontaire ou non que le narrateur se place avec ses connaissances comme point de référence). Au cours d’un débat Imto Imby et Imka sont à privilégiés.
- Imza, moi pour l’auditoire ou de moi à l’auditoire.
- S’utilise comme le «je te» et «je vous» «je me … pour toi» du français.
- Il permet aussi au narrateur d’initier un lien avec un auditoire particulier et privilégier, lorsque le narrateur interpelle directement l’auditeur, ou lorsqu’une action est entreprise par le narrateur pour l’auditoire (discours politique).
- Le passage au pluriel imza’g, permet d’obtenir le sens de moi et toi ou moi avec toi. Ceci représente le «nous nous», «nous nous … pour nous» du français.
- Ukza, toi de toi-même, toi pour toi-même (l’auditeur privilégier sur lui-même).
- Il s’utilise lors d’une autoévaluation de l’auditoire ou lorsqu’une action est entreprise par l’auditoire pour lui-même.
- Ainsi que comme les «tu te» «tu te … pour toi» ou «vous vous» du français.
- Ukba, l’auditoire (unique ou collectif) vis-à-vis de narrateur, toi à moi.
- Au cours d’un dialogue initié par le narrateur, il s’utilise comme le réciproque de Imza, c’est-à-dire que c’est ce pronom que l’auditoire (ou celui qui n’a pas lancer la discussion) utilisera pour répondre au narrateur.
- Son emploi est favorable lorsqu’une action est entreprise par l’auditoire pour le narrateur.
- Il peut aussi mimer les «tu te», «tu te … pour moi» et «vous me» du français.
- Au cours d’un débat Ukto Ukby et Uka offriront plus de subtilité à l’auditoire et seront mieux perçus sont à privilégiés.
- Il permet aussi de remplacer la tournure «à ta place je», «à ta place nous».
Ces pronoms restent simples d’usage car proche du français et assez intuitif. Ils s’utilisent principalement à l’oral. Les suivants présentent la particularité d’être lié à un «système». C’est-à-dire à un ensemble fini d’élément (composante(s)) présent dans un espace spatialement et temporellement borné. Attention borné ne veut pas dire clos, des échanges avec l’extérieur sont envisageables. Les éléments peuvent être d’ordre physique et/ou des évènements, par exemple une souris de laboratoire et ses réactions suite à un traitement. Il peut se résoudre à un seul élément isolé.
- Un système peut-être libre, comme dans le cas des descriptions, il est possible de se focalisé sur une partie de l’ensemble.
Ou bien imposé, par exemple lors d’une question : Demain je serais à la fête d’Alice, et toi ? Ici, le système est la fête d’Alice de demain.
- Le système est toujours suffisant pour décrire ce que l’on souhaite et s’il est difficile à identifier il est toujours possible de prendre l’intégralité de l’univers connu et inconnu comme support.
- Son fonctionnement ressemble aux poupées gigognes.
Voyez ; la situation est la suivante : vous êtes en voiture et là vous avez faim. Premier système vous pouvez aller manger chez vous, à l’extérieur ou ne pas manger. Le choix est fait vous allez chez vous deuxième système. Arrivez chez vous, vous avez le choix entre les placards de la cuisine, le frigo ou les placards du salon troisième système. Direction le frigo et son contenu quatrième système. Vous choisissez une pomme cinquièmes et dernier système. Bon appétit !
Voici la liste des derniers pronoms:
- Ylto, le système à (ou pour) lui-même.
- Il permet d’indiquer qu’une action est entreprise par le système pour lui-même, il est semblable au «il / elle se … pour lui / elle) avec une notion de totalité du sujet.
- Il permet de parler d’une évolution globale du système en fonction du temps ou suite à un changement quelconque.
- Il peut être utile lorsque le système est un individu et que l’on souhaite utiliser les tournures du type «dans sa tête à lui, il se pense …».
- Ylba, le système par rapport au (ou pour) narrateur.
- Il permet d’indiquer qu’une action est entreprise par le système pour le narrateur.
- Il peut être utilisé comme le «Il / elle me» « il / elle se … pour moi» dans ce cas c’est l’intégralité du système qui est pris en compte (≠ olba qui considère seulement une ou plusieurs parties du système).
- Ylza, le système par rapport à (ou pour) l’auditoire.
- Il permet d’indiquer qu’une action est entreprise par le système pour l’auditoire.
- Il peut être utilisé comme les «Il / elle se … pour toi», «Il / elle te» dans ce cas c’est l’intégralité du système qui est pris en compte (≠ olza qui considère seulement une ou plusieurs parties du système).
- Ylby, le système par rapport à (ou pour) une partie de lui-même.
- Il permet d’indiquer qu’une action est entreprise par le système pour une ou plusieurs de ses parties, c’est un peu le «Il / elle se … pour lui / elle / eux» avec une notion du partitionnement du sujet.
- Il permet de décrire les interactions globales crées (ou imposée) par le système sur ses sous-éléments.
- Ylka, le système par rapport à (ou pour) ce qui est en dehors de lui.
- Il permet d’indiquer qu’une action est entreprise par le système pour ce qui considérer comme n’appartenant pas au système.
- Il peut aussi faire le rôle de «la main tendue» politique, de l’altruisme et la volonté d’intégration parraine. Cet emploi est enviable seulement quand le narrateur est un observateur neutre ayant de lien ni avec le système ni les autres.
- Il est utilisable dans les paragraphes d’ouvertures à la fin d’une étude ou d’un argumentaire afin de proposer de façon neutre ou passive de nouveaux champs d’investigations favorable au système. Dans ce contexte, il est possible d’utiliser la forme pluriel Ylka’g qui serai un «nous de modestie» représente le groupe et / ou l’équipe.
- Olby, une ou plusieurs parties du système par rapport à (ou pour) elle-même où à une autre.
- Il permet d’indiquer qu’une action est entreprise par une ou plusieurs parties du système soit pour elle-même soit par une ou plusieurs autres parties, et / ou pour décrire l’interaction entre deux parties du système qui sont en lien.
- Il s’utilise comme le «il se», «elle se»… singulier ou pluriel.
- Il permet de parler de l’évolution d’une ou plusieurs parties du système en fonction du temps ou suite à un changement quelconque en regardant seulement l’effet local.
- Olba, une ou plusieurs parties du système par rapport (ou pour) au narrateur.
- Il permet d’indiquer qu’une action est entreprise par une ou plusieurs parties du système pour le narrateur, c’est un écho de la structure française, «il / elle me», « il / elle se … pour moi» au singulier ou au pluriel. Dans ce cas c’est une ou plusieurs parties du système qui sont prises en compte (≠ Ylba qui considère l’intégralité du système).
- Olza, une ou plusieurs parties du système par rapport (ou pour) à l’auditoire.
- Il permet d’indiquer qu’une action est entreprise par une ou plusieurs parties du système pour l’auditoire, c’est un écho de la structure française, le «il /elle te», «il /elle se … pour toi / vous»… singulier ou pluriel. Dans ce cas c’est une ou plusieurs parties du système qui sont prises en compte (≠ Ylza qui considère l’intégralité du système).
- Olto, une ou plusieurs parties du système par rapport (ou pour) au système.
- Il permet d’indiquer qu’une action est entreprise par une ou plusieurs parties du système pour le système. C’est un écho de la structure française, le «il /elle le», «il /elle se … pour lui / elle» mais avec cette idée d’englober tout le système.
- Il permet de parler de l’évolution d’une ou plusieurs parties du système en fonction du temps ou suite à un changement quelconque et d’évaluer son effet sur la totalité du système.
- Olka, une ou plusieurs parties du système par rapport à (ou pour) ce qui est en dehors du système.
- Il permet d’indiquer qu’une action est entreprise par un ou plusieurs éléments du système pour ce qui est considérer comme n’appartenant pas au système.
- Il peut aussi tenir le rôle de «la main tendue» d’un groupe à l’intérieur du système vis-à-vis de l’extérieur. Cet emploi est enviable seulement quand le narrateur est un observateur neutre ayant de lien ni avec le système ni un des parties ni les autres.
- Il est utilisable dans les paragraphes d’ouvertures à la fin d’une étude ou d’un argumentaire afin de proposer de façon neutre ou passive de nouveaux champs d’investigations favorable à un ou plusieurs éléments du système. Dans ce contexte, il est possible d’utiliser la forme pluriel Olka’g qui serai un «nous de modestie» représente le groupe et / ou l’équipe.
- Azka, ce qui est en dehors du système par rapport à (ou pour) eux même.
- Il permet d’indiquer qu’une action est entreprise par un élément extérieur au système pour lui-même ou eux même.
- Il est utilisable dans les contextes qui font appels à des entités hypothétiques ou extérieurs au système qui s’autoanalysent. Il est semblable aux «il se / elle se», «il / elle se … pour lui / elle)» singulier ou pluriels avec une notion d’extériorité au sujet.
- Azba, ce qui est en dehors du système par rapport au (ou pour) narrateur.
- Il permet d’indiquer qu’une action est entreprise par un élément extérieur au système pour le narrateur.
- Il est utilisable dans les contextes qui font appels à des entités hypothétiques ou extérieurs au système parlent du narrateur, comme par exemple le mot «autre» dans l’expression «que vont penser les autres (de moi)» dans laquelle «… des autres (sur moi)» est Azba.
- Il est utilisable lorsque dans le contexte, le narrateur est profondément isolé (physiquement et / ou mentalement), comme par exemple dans l’expression «seul contre tous», «tous» sera Azba. Cet emploi permet aussi d’amplifier et d’exiger l’effet.
- Az̄a, ce qui est en dehors du système par rapport à (ou pour) l’auditeur.
- Il permet d’indiquer qu’une action est entreprise par un élément extérieur au système pour l’auditoire.
- Il est utilisable dans les contextes qui font appels à des entités hypothétiques ou extérieurs au système parlent du l’auditoire, comme par exemple le mot «autre» dans l’expression «que vont penser les autres (de toi / vous)» dans laquelle «… des autres (sur toi)» est Az̄a.
- Il est utilisable lorsque dans le contexte, l’auditoire est profondément isolé (physiquement et / ou mentalement), comme par exemple dans l’expression «tu es / vous êtes seul contre tous», «tous» sera Az̄a. Cet emploi permet aussi d’amplifier et d’exiger l’effet.
- Azto, ce qui est en dehors du système par rapport au (ou pour) système.
- Il permet d’indiquer qu’une action est entreprise par un élément extérieur au système pour le Système.
- Il est utilisable dans les contextes qui font appels à des entités hypothétiques ou extérieurs au système parlent du système, comme par exemple le mot «autre» dans l’expression «que vont penser les autres (de nous / de lui/ elle)», avec une notion de totalité du système, dans laquelle «… des autres (de nous / de lui/ elle)» est Azto.
- Il peut aussi faire le rôle de «la main tendue» politique, de la volonté d’intégration parraine des autre vis-à-vis d’un groupe. Cet emploi est applicable seulement quand le «ce qui est en dehors de système» proposant cette ouverture, toutefois celui qui relate les faits peut ou peut ne pas appartenir au système. C’est le réciproque de Ylka.
- Il est utilisable lorsque dans le contexte, le système est profondément isolé (physiquement et / ou mentalement), comme par exemple dans l’expression «nous / il / elle est seul contre tous», «tous» sera Azto. Cet emploi permet aussi d’amplifier et d’exiger l’effet.
Il est utilisable dans les paragraphes d’ouvertures à la fin d’une étude ou d’un argumentaire afin de donner le point de vue des réfractaires au système. Dans ce sens, il s’oppose à Uk̄a.
- Lorsqu’un système est considéré sans «extérieurs», comme lorsque en science, on parle d’un système isolé (adiabatique et fermé / ou plus largement qui n’échange pas avec l’extérieur), Azto (ainsi que Azby) ne peut pas être employé. C’est le seul cas ou son emploi est inopérant.
- Azby ce qui est en dehors du système par rapport à (ou pour) une partie du système.
- Il permet d’indiquer qu’une action est entreprise par un élément extérieur au système pour un ou plusieurs éléments du système.
- Il est utilisable dans les contextes qui font appels à des entités hypothétiques ou extérieurs au système parlent du système, comme par exemple le mot «autre» dans l’expression «que vont penser les autres (de lui/ elle)» dans laquelle, avec une notion de partitionnement du système, «… des autres (de nous / de lui/ elle)» est Azby.
- Il peut aussi faire le rôle de «la main tendue» politique, de la volonté d’intégration parraine des autres vis-à-vis d’une ou plusieurs éléments du groupe. Cet emploi est applicable seulement quand le «ce qui est en dehors de système» proposant cette ouverture, toutefois celui qui relate les faits peut ou peut ne pas appartenir au système. C’est le réciproque de Olka.
- Il est utilisable lorsque dans le contexte, une ou plusieurs parties du système sont profondément isolé (physiquement et / ou mentalement), comme par exemple dans l’expression « il / elle (s. p.) est seul contre tous», «tous» sera Azby. Cet emploi permet aussi d’amplifier et / ou d’exiger l’effet.
- Il est utilisable dans les paragraphes d’ouvertures à la fin d’une étude ou d’un argumentaire afin de donner le point de vue des réfractaires à une partie du système. Dans ce sens, il s’oppose à Uk̄a’ḡ.
- Lorsqu’un système est considéré sans «extérieurs», ceci implique aussi que c’est parties sont isolés, Azby (ainsi que Azto) ne peut pas être employé. C’est le seul cas ou son emploi est inopérant.
- Imto, le narrateur par rapport (ou pour) au système, l’un des plus utilisé lorsque le narrateur parle. Si le système n’est pas connu son emploi mime l’expression «moi en général» ou «Je par rapport au grand tout».
- Il s’utilise à chaque fois que le narrateur parle d’un sujet qui est automatiquement considérer comme le système autour duquel tourne la discussion.
- Il permet d’indiquer qu’une action est entreprise par le narrateur pour le système. Il fait un écho au «je le / la», «Je me … pour lui / elle» français avec une notion d’intégralité de la situation (≠Imby qui considère qu’une ou plusieurs partie du système.)
- Il permet aussi de répondre à une question en liant le narrateur au système, ce qui n’est pas le cas de Imza.
Par exemple vas-tu as la fête demain ? J’y serai, ici «J’» sera Imto.
- Imby, le narrateur par (ou pour) rapport à un ou plusieurs éléments du système.
- Il permet d’indiquer qu’une action est entreprise par le narrateur pour un ou plusieurs éléments du système.
- Il s’utilise comme le «je le / la» et le «je les» «Je me … pour lui / elle / les» du Français mais en considérant une fraction du système (≠Imto qui considère l’intégralité du système).
- Il permet de se focaliser sur une partie de l’ensemble sans réduire pour autant le système initial. Par exemple vas-tu as la fête demain ? Oui, mais je ne serai pas à l’heure, ici «Je» serai Imby.
- Imka, le narrateur par rapports à (ou pour) ce qui est en dehors du système.
- Il permet d’indiquer qu’une action est entreprise par le narrateur pour ce qui en dehors du système.
- Il permet de prendre en considération un évènement extérieur par rapport à une demande, par exemple vas-tu à la fête demain ? Non j’ai poney, ici «Je» serai Imka.
- Il peut aussi faire le rôle de «la main tendue» politique, de l’altruisme et la volonté d’intégration parraine. Cet emploi est applicable seulement quand le narrateur appartient au système proposant cette ouverture en vers les autres. La marque du partitif, Imka’ḡ permet d’indiquer que le narrateur appartient à une partie du système.
- Il est utilisable dans les paragraphes d’ouvertures à la fin d’une étude ou d’un argumentaire afin de proposer de façon impliqué ou active de nouveaux champs d’investigations favorable au système. Avec la marque du partitif, Imka’ḡ sert à proposer de façon impliqué ou active de nouveaux champs d’investigations favorable à un ou plusieurs éléments du système.
- Ukto, l’auditeur par rapport (ou pour) au système.
- Il permet d’indiquer qu’une action est entreprise par l’auditoire pour le système. Si le système n’est pas connu son emploi mime l’expression «toi en général» ou «tu par rapport au grand tout».
- Il peut être utilisé comme le «Tu le / la», «tu te … pour lui» dans ce cas c’est l’intégralité du système qui est pris en compte, (≠Ukby qui considère qu’une ou plusieurs partie du système.)
- Il permet aussi de poser des questions à l’auditoire en le liant (ou avec une grande envie de le lier) au système, ce qui n’est pas le cas de Ukba. Par exemple : vas-tu as la fête demain ? ici «Tu» peut être Ukba si on souhaite fortement qu’il participe.
- Ukby, l’auditeur par rapport par rapport à (ou pour) une partie du système.
- Il permet d’indiquer qu’une action est entreprise par l’auditoire pour un ou plusieurs éléments du système.
- Il peut être utilisé comme le «Tu le / la / les», «tu te … pour lui/ elle / eux» dans ce cas c’est un ou plusieurs élément du système qui sont pris en compte, (≠Ukto qui considère tout le système.)
- Il permet aussi de poser des questions à l’auditoire en le liant (ou avec une grande envie de le lier) à une partie du système, ce qui n’est pas le cas de Ukba. Par exemple vas-tu as la fête demain entre 8h et 10h ? ici «Tu» peut être Ukby si on souhaite fortement qu’il participe dans cette tranche horaire.
- Uk̄a, l’auditeur par rapport par rapport à (ou pour) ce qui est en dehors du système.
- Il permet d’indiquer qu’une action est entreprise par l’auditoire pour ceux qui sont à l’extérieur du système.
- Il peut être utilisé comme le «Tu le / la», «tu te … pour lui» dans ce cas c’est ce qui se trouve en dehors du système qui est pris en compte.
- Il est utilisable dans les paragraphes d’ouvertures à la fin d’une étude ou d’un argumentaire afin de donner le point de vue d’autres personnes favorables du système. Avec la marque du partitif, Uk̄a’ḡ sert à donner le point vue d’autres personnes favorables à une ou plusieurs parties du système. Dans ce sens, il s’oppose à Azto et Azby.
Les nombres grammaticaux.
- Le singulier.
L’ensemble des noms présentés dans le tableau sont au singulier. Il n’y a pas de déterminant comme en français, mais il est possible de dire «fyf̄ ko» pour indiquer qu’il y a qu’un seul élément. Dans le cas général, son emploi est assez rare. Le singulier sert à parler de l’élément en général.
- Le singulatif.
Pour parler d’un élément en particulier «cet arbre», il faut employer le singulatif qui est caractérisé par le suffixe «-an̄». Cet arbre sera donc ithykan̄. Le singulatif peut aussi être employé au pluriel. Dans ce cas, il servira à parler d’un ensemble précis d’élément de même nature. Par exemple ces arbres => Ithykan̄’g. Il est toujours possible de l’employé avec d’autre structure.
2.1) Il permet aussi d’obtenir les structures du type c’est + quelque chose. Dans ce cas le suffixe «-an̄» est toujours, après «-j̄» qui est facultatif, et avant e /ei. «c’est + adjectif». La structure à employer est «marqueur temporel + (préfixe) + adjectif + marqueur temporel + (j̄) + an̄ + e / ei». Par exemple: C’est jaune. => itmꜽkoizan̄e
2.2.) «c’est + ce + nom». La structure à employer est «marqueur temporel + (préfixe) + nom + an̄ + marqueur temporel + (j̄) + an̄ + e / ei». Par exemple: C’est ce jaune. => itꜽkan̄izan̄e.
2.3) «c’est + lieu». La structure à employer est «marqueur temporel + (préfixe) + lieu + marqueur temporel + (j̄) + an̄ + e / ei». Par exemple: C’est à Paris. => it eno Parisizan̄e. C’était dans la chambre => atỵtythulīpazazj̄an̄e
- ’g marque du pluriel et notion d’ensemble.
1) Un nom s’accorde en nombre uniquement dans le cas où il faut décrire plusieurs éléments identiques qui constituant un ensemble, (un groupe, un lot ou une collection) pour lequel le nombre d’élément individuel n’est pas important. La marque «’g» se place à la fin d’un nom, il n’y a pas de déterminant. Par exemple: un lot de livre ou des livres => Opazn’g. Un banc de poisson ou les poissons => Hag’mul’g. Lorsque la dernière lettre du mot est un «g», il est possible à l’écrit de noter seulement l’apostrophe ’. Toutefois à l’oral la suite ’g’g (gué gué) devra être entendue.
2) Dans certain cas idiomatique, l’utilisation du «’g» collectif s’applique pour créer un nouveau nom au singulier représentant une entité collective de l’élément de base. Par exemple la forêt => Ithyk’g. Cette forêt => Ithyk’gan̄. Pour ne pas confondre des arbres avec une forêt, les singuliers formés par le ‘g collectif sont précédés ou suivit de «fyf̄ ko». 1 forêt => Fyf̄ ko ithyk’g. Leur pluriel est classique. Dans les structures 3, 4 et 6, ils conservent bien évidement leur «’g».
3) Si il est nécessaire de préciser le nombre d’élément dans le groupe, la tournure suivante sera adopté: « nombre + ko + nom ». C’est aussi la structure des phrases du type «trois hommes». La marque du pluriel ‘g est abrogée car le nombre porte déjà la notion de pluralité. Par exemple: un lot de 7 livres ou 7 livres => Pyf̄ ko opazn. Ce banc de 3 poissons ou ces 3 poissons => Vyf̄ ko hag’mulan̄.
4) Si c’est une unité qui est à préciser, la tournure suivante sera adoptée: « nombre + (préfixe unité ko suffixe numérique) + nom». Le préfixe de l’unité est obtenu en supprimant la consonne du nom, on obtient ainsi l’unité du système international. Pour obtenir les multiples de l’unité internationale formée par multiple de 10 (hecto, kilo, Exa..), il faut ajouter le suffixe numérique concerné après le «o» de «ko» Par exemple 100g de poisson. => Fyz eniko hag’mul. 3 km => 3 + distance ko v + longueur. => Vyf̄ apedekov elidz̄ut. Attention dans le cas des suffixes numériques «-o» et «-ō», à l’écrit ils seront indiqués en toute lettres «-koo» et «-koō» et à l’oral ils se prononceront en deux syllabes distinctes [ko.o] et [ko.o:].
- Pour obtenir les sous-multiples de l’unité internationale formés par multiple de 10 (centi-, mili-, pico-..), il faut changer le «O» de ko en «œ» puis ajouter le suffixe numérique concerné. 3 pm curviligne. => 3 + distance kœ b + courbe => Vyf̄ apedekœb œv̄oz.
5) Lorsque l’on souhaite partitionner un groupe en deux sous-groupes, il faut utiliser la tournure suivante si:
- Le nombre d’élément du groupe est inconnu: «Fraction + ko + nom». 2/3 du banc de poisson ou 2/3 des poissons => Zyf̄ ’vyf̄ ’ḡ ko hag’mul.
- Le nombre d’élément du groupe est connu. «Fraction ko nombre’ḡ + nom». à noter l’allégement d’un ko. 2/3 du banc de 8 poissons => Zyf̄ ’vyf̄ ko kyf̄ ’ḡ hag’mul.
- Plus généralement, lorsque l’on souhaite parler d’une partie d’un tout on utilisera la marque «’ḡ».
6) Lorsque l’on souhaite parler de quelque chose comme «2 groupes de 3 hommes», il existe deux solutions: - Soit la tournure «à ordre mobile» composée de {nombre 1; ko; azn’g; nombre 2; éléments}. A noté l’allégement d’un «ko». Les règles sont les mêmes que pour la phrase:
- L’ordre reflet l’importance de l’information.
- Comme pour les adjectifs, les nombres restent à coté de leur nom réfèrent.
- Facultatif. Pour une bonne démarcation, «ko» reste au centre des deux sous-groupes de la structure. Zyf̄ azn’g ko vyf̄ eig. Azn’g zyf̄ ko eig vyf̄. …. Vyt eig ko zyf̄ azn’g. Eig vyf̄ ko azn’g zyf̄. … Eig vyf̄ zyf̄ azn’g ko. Zyf̄ azn’g eig vyf̄ ko …. => 2 groupes de 3 hommes.
- Soit la seconde tournure à ordre fixe «(yt + nombre 1) + azn’gj̄ + nombre 2 + ko + éléments» ou «nombre 2 + ko + éléments + (yt + nombre 1) + azn’gj̄» plus proche d’un locatif «3 hommes dans 2 groupes» et de «dans 2 groupes 3 hommes». 3 hommes dans 2 groupes => Vyf̄ ko eig ytzyf̄ azn’gj̄, Dans 2 groupes 3 hommes => Ytzyf̄ azn’gj̄ vyf̄ ko eig. La structure du locatif est développée plus loin.
Macronisation: sens privative, et antagoniste.
1) Lorsque l’on souhaite donner un sens privatif «sans» ou «Il n’y a pas de» à quelque chose. La voyelle initiale devient long à l’orale et obtient un macron à l’écrit. Attention dans le second, cas il faut préciser le verbe.
- «Akev» signifie «le noyau», Ākev «sans le / Ø noyau».
Si dans le nom une des voyelles portes déjà un macron celui-ci disparait et la lettre devient courte à l’oral.
- «Okhȳn» signifie «ballon» «Ōkhyn» «sans le / Ø ballon».
- Une cellule sans le / Ø noyau => Ākev emjav. Ou Emjav ākev.
- Jouer sans le / Ø ballon». => Ōkhyn emjapei.
2) Cette règle s’applique aussi à tous les autres types de mot (adjectif, nom propre, pronom…). Il faut être vigilant sur le «le quoi ?» porte la négation. La perte du macron s’applique seulement sur les voyelles du nom ! Aucunes des consonnes ne perdra son macron.
- Alice aime les gâteaux sans chocolat => Eno Alice itin’gynize t̄h̄eobomat aib̄im’g.
- Alice déteste les gâteaux au chocolat. => Eno Alice itꭐn’gynize theobomat aib̄im’g.
- Alice n’aime pas les gâteaux au chocolat. => Eno Alice ītin’gynize theobomate aib̄im’g.
- Alice ne déteste pas les gâteaux sans chocolat. => Eno Alice ītꭐn’gynize t̄h̄eobomat aib̄im’g.
- Alice mange sans Bob. (Là maintenant) => Eno Alice iteb’motholizei B̄ob.
3) Le Uazei Eig·o est une langue «positive». Elle contient dans son vocabulaire «propre», c’est-à-dire hors mot d’emprunt, que des noms avec des connotations positivités ou bonne. Pour former les mots «négatifs», le procéder de la double macronisation est utilisé: La double macronisation permet de former des mots avec des sens antagonistes. L’antagonisme peut être de différent type:
- Le type direct, c’est-à-dire que l’opposition coule de source en français comme: Dureté / Mollesse ; Paix / Guerre, Haut / Bas, Devant / Derrière.
- Le type subtil, le lien est fait par l’intermédiaire de connaissance du socle commun: Violet / Jaune (couleur complémentaire).
- Le type lié à l’un des deux premier type: Ciel / Terre (lié à haut / bas), Dos / Ventre (lier à devant / derrière), Diamant / Onyx (lié à blanc noir).
- Les liens complexes ou idiomatiques, les liens complexes reviennent généralement à être de bon sens en vue des autres règles sans pour autant être admissible par tous.
Par exemple: Manger c’est faire entrer de la nourriture par la bouche, Régurgiter c’est faire sortir de la nourriture par la bouche. Au lieu de s’allonger encore, la voyelle initiale diphtongue à l’oral, à l’écrit soit elle obtient 2 macrons superposés soit elle s’écrit sous sa forme de ligature:
- «Yuz» signifie «la clarté» => «Ȳuz» signifie «sans la / Ø clarté» => Ꜽuz «l’obscurité».
Quand l’une des voyelles du nom possède déjà un macron, elle le conserve suite à une double macronisation.
- «Uzōj» signifie «le silence» => «Ūzoj» signifie «sans le / Ø silence» => «ᵫzōj» signifie «le bruit».
4) Afin, la triple micronisation permet d’atteindre le sens privatif des mots antagonistes formés par double macronisation. La voyelle initiale voit sa diphtongue s’allongée à l’oral. À l’écrit, soit elle obtient 3 macrons superposés soit la ligature obtient un macron.
- «Yuz» signifie «la clarté» => «Ȳuz» signifie «sans la / Ø clarté» => Ꜽuz «l’obscurité» => "Ꜽ barre"uz «sans l’/ Ø obscurité».
Quand l’une des voyelles du nom possède déjà un macron, elle le perd suite à une triple macronisation.
- «Uzōj» signifie «le silence» => «Ūzoj» signifie «sans le / Ø silence» => «ᵫzōj» signifie «le bruit»=> "ᵫ barre"zoj «sans le / Ø bruit».
Les «mots nuancés».
1) Intensif, les «préfixes d’intensité» : Amplification et Atténuation. Il est possible de nuancer la force du sens d’un mot. Il existe 6 degrés de significations. La procédure est simple:
- Pour un nom, il suffit d’ajouter le préfixe souhaité.
- Pour un adjectif, il faut ajouter le préfixe souhaité au nom, puis adjectiver le tout avec la procédure classique.
- Pour un verbe, il faut ajouter le préfixe souhaité au nom.
Puis, si le verbe est à l’infinitif il faut ajouter le suffixe «-ei». S’il est «conjugué», il faut ajouter les marqueurs temporels autour du groupe «suffixe + nom» puis en fonction du temps «ei» ou «e».
Le mot ainsi formé n’a pas besoin de traduction «réel» pour exister, il représente simplement des nuances d’intensité. Un peu comme la gamme: crue, bleu, saignant, à point, cuit, grillé, brulé, calciné, carbonisé. Ou bien le jeu de préfixe «Super-» «Hyper-» «Mega-» « «Supera-»… Un «mot à intensité» se comporte exactement comme sa forme classique.
Les suffixes sont les suivants. La (consonne) est celle à utiliser pour l’adjectivation:
- (z)ab- pour marquer une amplification absolu.
- (z)imot- pour marquer une amplification forte (+75% d’intensité).
- (m)yb- pour marquer une amplification intermédiaire (+50% d’intensité).
- (g)ep- pour marquer au amplification faible (+25% d’intensité).
- La forme neutre.
- (g)ꭡp- pour marquer une atténuation faible (-25% d’intensité).
- (m)ꜽb- pour marquer une atténuation intermédiaire (-50% d’intensité).
- (z)ꭐmot- pour marquer une atténuation forte (-75% d’intensité).
- (z)æb- pour marquer une atténuation absolue.
La macronisation avec les degrés de signification. Bien qu’elle reste classique, la macronisation peut être à de multiple endroit: Dans le cas des noms.
- En double sur la voyelle du nom pour attendre le sens antagoniste du nom. imotœz̄ut.
- En simple sur la voyelle du préfixe d’amplification pour obtenir le sens privatif. īmotoz̄ut.
- En simple sur la diphtongue du préfixe d’atténuation pour obtenir le sens privatif. motoz̄ut.
- En mixant les deux pour attendre le sens privatif du nom antagoniste. īmotœz̄ut.
Le cas des adjectifs.
- En double sur la voyelle du nom pour attendre le sens antagoniste de l’adjectif. zimotœz̄ute.
- En simple sur la consonne du préfixe d’amplification pour obtenir le sens privatif. z̄imotoz̄ute.
- En simple sur la consonne du préfixe d’atténuation pour obtenir le sens privatif. z̄ꭐmotoz̄ute.
- En mixant les deux pour attendre le sens privatif de l’adjectif antagoniste. z̄imotœz̄ute.
Le cas des verbes.
- En double sur la voyelle du nom pour attendre le sens antagoniste du verbe. imotœz̄utei / itimotœz̄utizei.
- En simple sur la voyelle du préfixe d’amplification (infinitif) ou sur la voyelle du marqueur temporel (conjuguer) pour obtenir le sens privatif. īmotoz̄utei / ītimotoz̄utizei.
- En simple sur la diphtongue du préfixe d’atténuation (infinitif) ou sur la voyelle du marqueur temporel (conjuguer) pour obtenir le sens privatif. motoz̄utei / ītꭐmotoz̄utize.
- En mixant les deux pour attendre le sens privatif du verbe antagoniste. īmotœz̄utei / ītimotœz̄utize.
- 2) Les «suffixes de connotation » : Honorifique et Dégradant.
1) Onōphazil est le terme pour l’honneur, le suffixe «-azil» permet de donné un côté honorifique à un terme. Le sens péjoratif est obtenu par double macronisation du «a» du suffixe honorifique «-æzil». Pour former les adjectifs «honorés / péjorés», l’adjectivation survient après l’accolement du suffixe. Ils ne doivent pas être confondus avec les «préfixes d’intensité» qui apportent simplement une notion d’intensité sans connoter le mot:
- Le sens honorifique, offre un aspect honorable, respectueux vis-à-vis de terme au quel il est lié. Comme le mot saint dans Saint Graal ou Grand comme dans les expressions «une Grande Femme», ou les particules San et Sama du japonais.
Il permet aussi d’obtenir le nom des lieux mythiques. Ces noms dépendront fortement de la vision de chacun, toutefois il faut bien penser à utiliser le préfixe honorifique, ceci évite les confusions.
- Le Paradis => Ytaiganzazil (arbitraire le lieu Saint des Anges) ou simplement Ꜽtæk̄olazil (le lieu saint antagoniste de l’Enfer, peu probable).
- L’Enfer => Ytæk̄olazil (arbitraire le lieu Saint de la cruauté) ou simplement Ꜽtaiganzazil (le lieu saint antagoniste du Paradis)…
- Le sens péjoratif quant à lui apporte un aspect déshonorable, dégradant et/ou injurieux. A l’image des insultes en Français ou des suffixes du type de «-asse», «-âtre»…
1) Il permet aussi d’atteindre des mots d’argot comme: Con => Odomegæzil, Cramer => Etlikavæzilei, Papelard => Akthynzilæzil… Sous cette forme, uniquement suffixé le «mot connoté» suit les mêmes règles que le mot neutre.
2) Un «mot connoté» peut aussi recevoir un «préfixe d’intensité». Ceci va permettre, d’obtenir les expressions du type: «le très saint et respecté…», «le très honorable … », ou de graduer la désobligeance d’un propos. Dans ce cas, la macronisation suit les «règles» des «mots à intensité».
3) Dans les formules de politesse, le terme principal porte le suffixe «-azil».
- Bonjour => Gepe okheilokazil.
- Au revoir => Odainogālazilei.
- Monsieur / Madame => Igazil / Egazil.
- « Vous de politesse » => Ukbāzil.
- 3) Le suffixe d’emphase.
Le suffixe d’emphase permet de mettre en relief le «mot porteur» dans une phrase, c'est-à-dire de le mettre en valeur, d'insister dessus. Aladim signifie «emphase», le suffixe d’emphase est «-adim». Il permet d’obtenir des expressions figées du type:
- ne serait-ce que => même si il ne s'agit pas non-globalement de => ātœdykujevazadime.
- N’est autre que => n’est pas diffèrent de => ītꭡlakizadime.
Le sens de «de nouveau».
Lorsque l’on souhaite insister sur le fait que quelque chose à déjà été fait et qu’il faut le faire de nouveau, comme pour les mots «rechercher» => chercher encore. Ou «boire encore», ou «parfaire» => faire de nouveau. Il est possible d’utiliser une gamme de suffixe au nom permettant d’attendre plusieurs nuances.
Lorsque l’action est:
- à faire de nouveau => nom + ogāl
- à refaire une, deux …. x fois => nom + ofyf̄ (-ozyf̄...)
- refaire jusqu’à => nom + ontil.
- refaire périodiquement. => nom + ob̄og.
Par exemple:
- Recommencer. => Akinogālei.
- Prendre 2 fois. => Idan’gozyf̄ei.
- Compter jusqu’à 30. => Hilbetontilei vyf.
Conjugaison.
Il existe deux modes, le général et l’actuel:
- Le mode actuel traduit l’action qui est en cours de déroulement. Elle est généralement liée aux termes «en ce moment même» ou «la tout de suite». Il s’applique donc qu’au présent.
Il se forme avec la construction «it + nom du verbe + iz + ei».
Le mode général s’utilise dans les autres situations. Il existe 9 temps Généraux :
- Le passé général marque toutes les actions passées et terminés dans le passée. Attention le «je viens de» rentre aussi dans ce cas. En effet quand l’action est dite elle est déjà finit.
Il se forme avec la construction «at + nom du verbe + az + e».
- Le présent général marque les vérités générales. Il se forme avec la construction «it + nom du verbe + iz + e».
- Le futur général marque les actions qui seront mené plus tard. «ot + nom du verbe + oz + e».
Voici les temps qui lié des évènements avec une continuation temporelle :
- Le passé-présent général marque toutes les actions entreprises dans le passées qui sont toujours en cours actuellement ou des actions datées terminées qui ont un effet actuellement. Il se forme avec la construction «at + nom du verbe + iz + e».
- Le présent-futur général marque toutes les actions en cours actuellement et qui s’achèveront plus tard ou des actions présentes qui aurons un effet dans le futur. Il se forme avec la construction «it + nom du verbe + oz + e».
- Le passé-futur général marque toutes les actions entreprises dans le passées qui s’achèveront plus tard ou des actions datées terminées qui auront un effet dans le futur. Il se forme avec la construction «at + nom du verbe + oz + e».
- Le futur-présent général marque une action qui doit se finir dans le futur avec des effets sur le présent. Par exemple un retard dans une construction, un chantier sur le long terme qui crée des emplois.
L’autre cas plus S-F représentent des actions entreprises dans le futur avec des effets sur le présente. Comme un voyage dans le temps futur vers le présent. «ot + nom du verbe + iz + e».
- Le futur-passé général marque une action qui doit se finir dans le futur avec des effets sur le passé. Par exemple un retard dans une construction qui a eu un effet sur la santé publique, un chantier sur le long terme qui avait créé des emplois.
L’autre cas plus S-F représentent des actions entreprises dans le futur avec des effets sur le passé. Comme un voyage dans le temps futur vers le passé. «ot + nom du verbe + az + e».
- La simultanéité.
Le connecteur «lo» indique la simultanéité de deux choses.
- Manger et boire. => Ikʰatābei eb’motʰolei.
- Manger et boire en même temps. => Ikʰatābei lo eb’motʰolei.
Lorsque deux actions se produisent en même temps, comme dans la phrase «Il était en train de téléphoner quand il a eu l'accident», ou l’une à la suite de l’autre dans un temps très bref, comme «En la voyant, j’ai crié salut !», il faut faire appel à la structure de simultanéité.
Il y a 3 étapes à prendre en considération.
- Détecter le temps de l’énoncé.
- Voir si il y des implications entre les verbes (Cause / Conséquence …). Ceci permet de mettre en place les préfixes et les suffixes des cas grammaticaux, avec possibilité de ne pas en avoir.
- Monter la structure:
Si il y une (Cause / Conséquence …): «marqueur temporel + nom du verbe de cause + (azamj̄) + lo + (el) + nom du verbe de conséquence + marqueur temporel + (j̄) + ei »
Si il n’y en a pas «marqueur temporel + (Préfixe) + nom du verbe 1 + (suffixe) + lo + (Préfixe) + nom du verbe 2 + (suffixe) + marqueur temporel + (j̄) + ei »
Par exemple - Il était en train de téléphoner quand il a eu l'accident. => Il téléphone quand accidentait => Atenthalạzamj̄loeḷħazēganazj̄ei imto.
- Il marche en chantant => Il chanson en marche. => Itolypikloanādizei imto.
Le préfixe Akt- 1) seul ou 2) lié (instrumental).
1) Lorsqu’il est employé seul, le suffixe «Akt-» («Ạkt-» à l’écrit) à deux utilisations très proches. Il permet soit: - Dans un premier temps, de créer les noms d’agent (forme active), c’est-à-dire de «ceux qui font ou apporte activement quelque chose» par exemple un bâtisseur, un pêcheur, ou bien d’un inanimé qui donne des choses comme un arbre fruitier, un distributeur. Pour ce faire, il faut regarder le verbe lier au nom, puis ajouter le suffixe Akt- au nom concerné.
- Cas des êtres animés.
Un bâtisseur => celui qui construit => Aktabilon ou Aktazvof. Le pêcheur => celui qui pêche => Akthag’mul. Un lecteur => celui qui lit => Aktopazn.
Dans le cas des acteurs humains. Cette forme ne donne aucune indication sur le sexe des acteurs. Aktuaz peut-être un narrateur ou une narratrice. Si cette précision veut être apportée il faut:
- Pour féminisé, ajouter le suffixe -eg pour les femmes / ou femelles. Aktuazeg est une narratrice.
- Pour masculinisé, ajouter le suffixe -ig pour les hommes / ou mâles. Aktuazig est un narrateur.
- Cas des inanimés.
Il fonctionne comme l’autre mais présente quelques fois le besoin d’ajouter quelques précisions. L’arbre fruitier => l’arbre qui donne des fruits => Akthyznok. Il important de noter que Akthyznok peut très bien faire référence à un arbre fruitier mais aussi à un maraîcher. Si il est nécessaire des faire la différence, il y deux solutions:
- Il est possible d’indiquer le sexe du maraîcher par -eg ou -ig.
- Si le sexe ne veut ou ne peut pas être indiqué, il est possible d’utiliser un déterminatif: ·oiz du domaine de la biologie animale. Akthyznok·oiz pour le maraîcher homme ou femme. ·oid du domaine de la biologie végétale. Akthyznok·oid pour l’arbre fruitier.
- Celui qui reçoit l’action.
Une action peut aussi être reçue (ou subit), dans ce cas la personne est le bénéficiaire de l’action (forme passive). Dans ce cas, le préfixe «Akt-» subira une double macronisation pour former «Ækt-» («Æ̣kt-» à l’écrit) avec le sens de «celui qui reçoit…». La créature => celui qui reçoit la création => Æktazimov. Le Possédé => celui qui reçoit la possession => Æktyn.
- Dans un second temps ils permettent de créer le mot-phrase: «qui a fait quoi», « qui a subit quoi», d’identifier une personne par une action qu’elle est en train de faire, qu’elle va subir.... Comme dans les structures françaises du type: «celui qui fait…», «qui a fait…», «fait …» «celui qui a subit…»... Exemple
- Bob ?! C’est celui qui distille «là maintenant» => //Bob etoua* Aktitophōlizei.
- Bob sera celui qui cuisinera. => Bob aktotizjovoze.
- Luk c’était fait battre. => Luk æktatꜽaltakaze.
- Pour les tournures négatives «celui qui ne fera pas…», «qui n’a pas fait…». La macronisation se passera sur le «a» du préfixe «akt-» ou sur le «æ» de «ækt-». ( «ạ̄kt-» à l’écrit) Luk n’est pas celui qui cuisine (là maintenant) => Luk āktitizjovizei. Luk n’est pas celui qui se fera câliner. Luk ǣktotyaltakoze. Dans cette utilisation il faut bien penser à indiquer le marqueur temporel approprié avec la construction d’un verbe. De plus, si le nom possède des macrons sur des voyelles, il faut les supprimer.
2) Lorsque le préfixe «Akt-» («Ạkt-» à l’écrit) est employé conjointement avec le suffixe «-j̄», il indique le cas l’instrumental et le génitif-instrumental. L’instrumental marque le fait qu’une action est accomplie par l’intermédiaire de «quelque chose», se «quelque chose» répond ainsi au cas grammaticale de l’instrumental. En français, il est souvent annoncé par les mots «avec», «à l’aide de», «au moyen de», «par», «au». En Uazei Eig·o, il mime la construction précédente, avec l’ajout du suffixe «-j̄» ainsi «Akt-nom-j̄». Par exemple:
- Le peintre peint avec un pinceau => Ạktodaobj̄ aktodaob itodaobize.
- Le peintre peint avec ces pinceaux => Ạktodaoban̄’gj̄ aktodaob itodaobize. Dans le cas où l’instrument est un groupe de mot, la structure reste la même et se répartie sur le premier et le dernier mot de l’ensemble. Le premier mot prend le préfixe «Akt-» et le dernier le suffixe «-j̄».
- Le peintre peint avec le pinceau à poile dur => Ạktodaob gophyl’g adz̄olej̄ aktodaobig itodaobize.
- La peintre peint avec le pinceau de l’apprenti. => Ạktibhud’nig yn odaobj̄ aktodaobe itodaobize. Attention ! L’instrumentale ne sert que pour définir l’objet utiliser pour faire quelque chose. Si le peintre peint sans pinceau, l’instrumentale ne s’applique pas, il faut revenir à la structure privative.
- Le peintre peint sans pinceau : aktodaobig ōdaob itodaobize. Par contre
- Le peintre ne peint pas avec le pinceau : ītodaboize aktodaobig ạktodaobj̄.
3) Dans le cas exotique du mot «acteur» qui découle du mot «action» qui est Aktavyz (et des autres qui commenceraient par akt). Il existe trois solutions:
- Le respect de la règle naturelle en ajoutant le préfixe Akt-. L’acteur => Aktaktavyz.
- L’emploi de suffixe qui permette de précisé le sexe d’un être sexué «-ig» et «-eg» sur le mot Aktavyz sans le préfixe «akt-». L’acteur => Aktavyzig ; l’actrice => Aktavyzeg.
- Si le sexe ne souhaite pas ou ne peut pas être d’déterminer, il est possible d’employer le déterminatif du domaine de la biologie animal ·oiz sans le préfixe «akt-». L’acteur => Aktavyz·oiz. Mais dans ce cas, l’acteur peu aussi très bien être un chat !
Cas possessif.
1) Lorsque qu’une chose appartient à quelqu’un ou quelque chose. La «chose» est le possédé et le «quelque chose» est le possédant. En Français la possession est souvent annoncée par «de». Par exemple le flanc de la montagne, le fils de Paul... En Ueza Eig·o la structure est du type «Possédant yn Possédé» soit une tournure du type «de … le / la …» Le flanc de la montagne. => De la montagne le flanc => Oz̄ad’z yn hujov. L’ombre de cette planète tellurique. => De cette planète tellurique l’ombre. => Ailokan̄·ovn yn œkhyuz.
1.1) Lorsque plusieurs structures possessives s’imbriquent, il faut partir de la plus intriquée pour aller jusqu’à la principale. La reconstruction totale du cerveau gravement malade du petit frère du fils le plus âgé au grand Louis est peu concluante. => Eno Louis yn zimotymog’nyzi œman̄izig yn mymogo elakoman̄izyfig yn tħabituzœnlujevi ovōaz yn zabhȳle abilonogāl atazukazei zꭐmotꜽbuvi.
2) Pour les adjectifs possessifs « mon, ma, mes … » qui sont des « à je, à tu… », il est possible soit: - D’utiliser la structure classique en utilisant « Imba, Ukza … » comme possédant.
- Mes livres => A je les livres => Imba yn opazn’g.
- D’utiliser la forme contractée «yn + pronom personnel» à côté du possédé. Cette structure est favorisée lorsqu’il commence à y avoir beaucoup de mot dans une phrase. Mes livres. => Opazn’g ynimba. ou Ynimba opazn’g.
3) Il est possible que dans certain cas, les structures possessives soit sous l’effet de l’adjectivation, comme dans la phrase: Personne ne fera cet effort à la place de l'apprenant. => Ækhegezam ōtukavamoze ꜽladan̄ zaktibhud’n yn aktaektavōte·aj̄.
4) Pour les phrases du type «… est à ....» «C’est le … de…» La structure «Marqueur temporel + possédant yn Possédé + Marqueur temporel + ei / e » est utilisée. Par exemple: Ce livre est à moi => Itopaznan̄ ynimbaize, ou Itynimba opaznan̄ize. Le livre appartenait à Paul. => Atpaul yn opaznaze. (Sous réserve que la possession physique et morale soit pour le même temps) L’ombre sera celle de Mercure. => Otfailokyf̄ yn œkhyuzoze.
5) Il est possible de former la structure imbriquée suivante: «Marqueur temporel + possédant + (Marqueur temporel + yn + Marqueur temporel + ei / e) Possédé + Marqueur temporel + ei / e » est utilisée. Celle-ci permet de distinguer la possession physique de la possession «morale». Ce qui n’est pas le cas de la situation du dessus ou les deux sont acquises. La possession physique est portée par les marqueurs temporels de l’extrémité de l’expression (rouge). La possession «morale» est portée par les marqueurs temporels proches de «yn». Le livre est à Paul et il l’aura demain. => Otpaul itynize opaznoze otokheiloz.
- Possessif et macronisation.
En fonction de la place du macron, une (ou plusieurs) information(s) va (vont) être niée(s). La première forme est directement applicable sur la structure possessive de base et représente le sens classique de «sans le…», dans ce cas le macron est sur le possédé. - Sans le livre de Paul => Paul yn ōpazn. Les autres sont possibles seulement par l’intermédiaire de la structure complète «Marqueur temporel + possédant yn Possédé + Marqueur temporel + ei / e». Ainsi, si le macron est:
- Sur le marqueur temporel lié au possédant, c’est la possession physique qui est remise en cause. Paul n’a pas le livre (maintenant). => Ītpaul yn opaznizei.
- Sur le «y» de «yn» c’est la possession «morale» qui est remise en cause.
- Le livre ne sera pas à Paul => Otpaul ȳn opaznoze.
- Il est possible de mixer les macrons pour atteindre des négations mixtes.
- Sans le livre que Paul n’a pas (maintenant). => Ītpaul yn ōpaznizei.
- Sans le livre qui n’est pas à Paul (en général). => Itpaul ȳn ōpaznize.
- Le livre qui n‘est et n’a pas Paul (maintenant). => Ītpaul ȳn opaznizei.
- Sans le livre qui n‘est et n’a pas Paul (maintenant). => Ītpaul ȳn ōpaznizei. (Sous réserve que la possession physique et morale soit pour le même temps).
- Sans le livre que Paul n’a pas (maintenant) et qui ne sera pas à Paul. => Ītpaul ōtynoze ōpaznizei.
- Sans le livre que Paul n’a pas (maintenant) et qui sera à Paul. => Ītpaul otynoze ōpaznizei. …
6) Lorsque dans la structure de type «Possédant yn Possédé», le «Y» de yn prend la double macronisation et devient «ꜽn» on obtient la structure indiquant la «dépossession», comme la perte ou le vol... Toutes les règles sont les mêmes.
Le préfixe «Yt-» 1) seul 2) lié (locatif) 3) le mouvement.
1) Lorsqu’il est employé seul, le préfixe «Yt-» (ou «Ỵt-» à l’écrit) permet de former le nom des lieux «où on fait quelque chose». Par exemple une distillerie, une chambre. Pour ce faire, il faut regarder le verbe lier au nom, puis ajouter le préfixe Yt- au nom concerné.
- La distillerie => Ytophōl.
- La cuisine => Ytizjov.
- La chambre => Ythulīpaz.
Dans certain cas il possible de considérer directement le nom, sans se préoccuper du verbe.
- Un bordel => Ytan̄en (argot).
- Un ossuaire => Ythukez̄ol.
Il peut être combiné au singulatif «-an̄» ce qui permet de dire «cette distillerie» => Ytophōlan̄.
Attention, suivant le contexte, il est possible que Yt + nom soit simplement un lieu où l’on fait quelque chose sans être le lieu «attitré» par exemple Ythulīpaz peut être simplement être le lieu où l’on dort sans être une chambre. Le déterminatif«·a» lié au domaine de l’abstrait permettra d’indiquer cette nuance.
2) Lorsqu’il est employé avec le suffixe «-j̄», il permet de créer la tournure du locatif. Attention, le lieu peut soit être un endroit bien définit où il est possible de rentrer physiquement comme des bâtiments, des villes, des rues, des objets… Soit des lieux plus «imagés» qui sont le fruit d’une appartenance à un groupe ou une activité collective.
Il faut commencer par déterminer, soit le lieu: - Où se trouve ce que l’on souhaite décrire. - Où se produit l’action ou l’évènement à décrire. Une fois le lieu définit, il reste à définir la temporalité et la périodicité de l’évènement: - La position est sans récurrence. - La position est récurrente, régulière, généralement ou souvent.
2.1) Pour les positions sans récurrence: La tournure sera «yt + nom + j̄»
- Dans la maison. => Ỵtabilonj̄.
- Dans cette maison. => Ỵtabilonan̄j̄.
- Dans l’ombre de la planète. => Ỵtailok yn œkhyuzj̄.
La marque «-an̄» du singulatif se placée sur le nom. Cette forme est utilisée pour répondre rapidement à la question du type «Où se trouve… ?» et que l’on est sûr qu’il s’y trouve. Elle s’emploie aussi lorsque qu’il y a un verbe conjugué (autre que être) dans la phrase,
- par exemple: Je vis dans la distillerie. => Itemathodizei ỵtophōlj̄ (imba).
- Regardes dans la voiture. => Ỵthazeganj̄ itodainize uk̄a.
2.2) Pour les positions récurrentes: La tournure sera «yt + nom + ob̄og + j̄». La marque «-an̄» du singulatif, peut soit se placée sur le nom ou soit après le «g» en fonction de son importance dans le contexte de la phrase. Comme le reste, plus elle est loin moins elle est importante. Cette forme est utilisée pour répondre rapidement à la question du type «Où se trouve… ?» et que normalement il se trouve à cette place... Elle s’emploie aussi lorsque qu’il y a un verbe conjugué (autre que «être») dans la phrase, par exemple:
- Je dormais dans la chambre régulièrement => Athulīpazaze ỵtythulīpob̄ogj̄ (imba).
- Je regarde dans la voiture régulièrement => Ỵthazeganob̄ogj̄ itodainize imto.
3) Les structures composées du préfixe «Yt-» et du suffixe «-j̄» permet de créer le mot-phrase: «qui se trouve dans». Comme dans les structures françaises du type : «je suis dans…», «Bob sera dans…».
3.1) Dans le cas d’une position sans récurrence, la tournure sera «yt + marqueur temporel + nom + marqueur temporel + j̄».
- Par exemple: Le chat de Shrödinger est à l’intérieur de la boîte => Eno Shrödinger yn ilezdiv ytithunizj̄ei.
- Je suis dans la maison. => Ytitabilonizj̄ei (imba).
- Luk sera dans ce bateau. => Ỵtotamukan̄ozj̄e Luk.
- Je suis dans la forge de ma mère. => Ỵtitytovmantin yn oman̄izeg ynimbaizj̄ei (imba).
3.2) Dans le cas d’une position avec récurrence, la tournure sera «yt + marqueur temporel + nom + marqueur temporel + ob̄og + j̄».
Dans ce cas, «-azob̄ogj̄» indique que la récurrence avait lieu dans le passé, «-izob̄ogj̄» indique que la récurrence à encore cours actuellement, «-ozob̄ogj̄» la récurrence aura lieu dans le futur.
- Par exemple: Bob sera régulièrement dans cette maison. => Ỵtotabilonan̄ozob̄ogj̄e Bob, ou Ỵtotabilonozob̄ogan̄j̄e Bob.
- J’étais dans un groupe de musique. Ỵtat’geloetami azn’gazob̄ogj̄e (imba).
- Je suis régulièrement dans la chambre. Ỵtitythulīpazizob̄ogj̄e (imba).
Dans cette utilisation, il faut bien penser à indiquer la totalité du marqueur temporel approprié ainsi que le «-e» ou «-ei» en fonction du temps de la conjugaison.
Afin de soulager la prononciation des tournures, il est possible d’utiliser le verbe «localiser» pour une position concrète et «Appartenir» pour un lieu plus imagé. Ainsi, le nom porte l’intégralité du locatif et perd seulement la partie lié à la conjugaison. Ỵtotabilonozob̄ogan̄j̄e Bob. => Ỵtabilonob̄ogan̄j̄ Bob otytholozoze.
4) Pour les tournures négatives «je n’étais pas dans…» et «pas dans…», le macron se placera sur le «y» du préfixe «Yt-».
- Luk n’est pas dans la cuisine (là maintenant) => Luk ȳtitytizjovizj̄ei.
- Pas dans cet évaporateur. => ȳtaktathaman̄j̄ ou ȳtytathaman̄j̄. (Avec perte du macron du «a» de athām). La nuance réside dans la définition d’évaporateur. Aktathām signifie «celui qui évapore» alors que ytathām signifie «le lieu où on évapore», ils sont synonymes.
5) La double macronisation du Y de «yt-», le préfixe devient «ꜽt-». Composé avec suffixe «-j̄» permet d’indiqué la localisation «à l’extérieur de». Les règles 3.1, 3.2, 3.3 et 4 s’appliquent exactement pareils.
6) Le Superessif exprime le lieu sur lequel se trouve quelque chose. Le mot Ytap̄ol signifie surface, le préfixe «Ytap-» (ou «Ỵtap-» à l’écrit) suivit du suffixe «-j̄» permet d’exprimer ce cas. Il permet à la fois d’exprimer des positions concrètes mais aussi abstraite. Il fonction comme l’association du préfixe «Yt-» et du suffixe «-j̄».
- Sur le mur => Ỵtapazvofj̄.
- Sur les ondes => Ỵtapan’buat’gj̄.
7) Les structures composées du préfixe «Ytap-» et du suffixe «-j̄» permet de créer le mot-phrase: «qui se trouve sur». Comme dans les structures françaises du type: «je suis sur…», «Bob sera sur…». Les règles 3.1, 3.2, 3.3 et 4 s’appliquent exactement pareils.
- Je suis régulièrement sur le mur. => Ỵtapitazvofizob̄ogj̄e (imba).
- Je n’étais pas sur cette planète. => ȳtapatailokazan̄j̄e (imba).
7.2) Suite à la double macronisation du Y de «ytap-», le préfixe devient «ꜽtap-». Composé avec suffixe «-j̄» permet d’indiqué la localisation «sous». Les règles 3.1, 3.2, 3.3 et 4 s’appliquent exactement pareils.
8) L’ensemble des cas répondant à la question où?, peuvent être traité avec le «locatif total» (ce qui englobe les cas précédents et les suivants). Généralement, il sert dans les cas ambigus faisant appel au locatif dans des expressions idiomatique comme «au téléphone» ou «au 06 33…». Il est formé par le préfixe «Ytab-» (ou «Ỵtab-» à l’écrit) et du suffixe «-j̄». À Gap. => Ytab eno Gapj̄. Au téléphone => Ytabenthalj̄.
9) Les structures composées du préfixe «Ytab-» et du suffixe «-j̄» permet de créer le mot-phrase: «qui se trouve où». Comme dans les structures françaises du type : «je suis à…», «Bob sera au…». Les règles 3.1, 3.2, 3.3 et 4 s’appliquent exactement pareils.
- Je suis régulièrement au téléphone. =>Ỵtabitabenthalizob̄ogj̄e (imba).
- Je n’étais pas à cette adresse. => ȳtabathikakudazan̄j̄e (imba).
- Je suis à Beaune, sur une table, dans ma maison (maitenant). => Ỵtab eno itBeauneizj̄ei ỵtapikhūmj̄ ỵtimba yn abilonj̄.
- L’origine spatiale ou temporelle d’une action / item.
1) Pour indiquer une origine stricte sans déplacement, les structures «Nom / (at + verbe + aze) + ytakinaz + lieu + j̄» et «Nom / (at + verbe + aze) + atakinaz + époque+ j̄» seront utilisées.
Pour indiquer les deux en même temps «Nom / (at + verbe + aze) + ytatakinaz + lieu, temps + j̄» ou «Nom/ (at + verbe + aze) + atytakinaz + temps, lieu + j̄». Ces structures sont fixes.
- Le métal de ma forge. => Ovmantin ytakinaz ytovmantin ynimbaj̄.
- Fabriqué en 1884. => Atag’mataze atakinaz FKKNj̄.
- Fabriqué dans ma forge en 1884. => Atag’mataze ytatakinaz ytovmantin ynimba FKKNj̄.
Pour dire «je suis de + lieu» sous entendue «je suis née à…», il est possible d’employer la structure: «at + ytakin + lieu +az + j̄ + e», «at + atakin + date +az + j̄ + e». Toutefois cette structure accepte seulement les marqueurs temporelles «at» et «az» contrairement à «je suis née à…» qui permet d’utiliser les autres.
- Par exemple: Je suis de Clermont-Ferrand. => Atytakin eno Clermont-Ferrandazj̄e (imba).
- Je suis de 1978. => Atatakin FDPKazj̄e.
- Il naîtra à Clermont-Ferrand. => Eno Clermont-Ferrand othilzifizoz olka.
1.2) Sans origines se dit «ākinz’g», sans origines spatiales et temporelles se traduit par «ȳtatakinz’g», sans origines spatiales «ȳtakinz’g», sans origines temporelles «ātakiniz’g».
2) Pour indiquer une origine temporel ou spatial avec un effet de continuité dans le présent. Comme avec «depuis» en français, la structure sera «Nom / (at + verbe + ize) + ytakiniz + lieu + j̄» «Nom / (at + verbe + ize) + atakiniz + époque + j̄». Pour indiquer en même temps une origine temporelle qui perdure en un lieu la structure sera «Nom / (at + verbe + ize) + ytatakiniz + lieu, temps + j̄» ou «Nom / (at + verbe + ize) + atytakiniz + temps, lieu + j̄». Ces structures sont fixes.
- Fabriqué depuis 1888. => Atag’matize atakiniz FKKKj̄.
- Cuisinier à l’Atelier depuis 1888. => Aktizjov ytatakiniz Ytag’mat FKKKj̄.
Ces dérivés de akin supportent l’ajout de «ob̄og» après le «z» final afin d’indiquer la cyclicité de l’acte. Pour dire «je suis là depuis + période» sans préciser le lieu, il est possible d’employer la structure: «at + atakin + temps + iz + j̄ + e». Cette structure accepte seulement les marqueurs temporelles «at» et «iz».
- Par exemple : Je suis là depuis hier. => Atatakin œtokheilozizj̄e (imba).
Pour préciser le lieu et le temps, il est possible d’employer la structure: «at + ytatakin + lieu + temps +iz + j̄ + e». L’inverse est possible «at + atytakin + temps + lieu + iz + j̄ + e».
- Par exemple : Je suis à Paris depuis hier. => Atytatakin eno Paris œtokheilozizj̄e (imba).
3) Pour indiquer le but spatial ou temporel d’une action, comme dans l’expression «jusqu’au…», «jusqu’à…» la structure «Nom / (it + verbe + oze) + ytitækinoz + lieu + j̄» et «Nom / (it + verbe + oze) + itækinoz + époque + j̄» seront utilisées. Ces dérivés de akin supportent l’ajout de «ob̄og» après le «z» final afin d’indiquer la périodicité de l’acte.
Pour indiquer les deux en même temps «Nom / (it + verbe + oze) + ytitækinoz + lieu, temps + j̄» ou «Nom / (it + verbe + oze) + itytækinoz + temps, lieu + j̄».
- Jusqu’à la mort. => Ytitækinoz ħilzifizj̄. (Par choix arbitraire la Mort est considéré comme un lieu, il est possible d’utiliser itækinoz, ou ytitækinoz. Suivant les croyances de chacun.).
- Jusque dans cette maison => Ytitækinoz abilonan̄j̄.
Dans ce contexte, il est important de distinguer le verbe «aller» qui sert à formuler les phrases du type «j’irai (vais…) jusqu’à + lieu»… et «j’irai jusqu’à + temps ou idée»…
Lorsque que c’est jusqu’à un lieu, le verbe «Apedezei» sera utilisé. Lorsque que c’est une idée ou un temps le verbe «Abikolei» sera employé. Si le verbe est différent de «aller», il faut bien entendue utiliser son homologue.
4) Pour borner spatialement et/ou temporelle «de… jusqu’à…» les structures «Lieu de départ + ytatakinoz + lieu de fin + j̄» et «temps de départ + atakinoz + temps de fin + j̄» seront utilisées.
- Par exemple : De Nantes à Montaigu. => Eno Nantes ytatakinoz eno Montaiguj̄.
Pour indiquer les deux en même temps «Lieu de départ, temps de départ + ytatakinoz + temps d’arriver, lieu d’arriver + j̄» ou «Temps de départ, lieu de départ + atytakinoz + lieu d’arriver, temps d’arriver + j̄». Ces dérivés de akin supportent l’ajout de «ob̄og» après le «z» final afin d’indiquer la périodicité de l’acte.
Pour dire les phrases du type «je vais de … jusqu’à…» la structure suivante sera utilisée: - Lorsque ce sont des lieux «at + Lieu de départ + ytatakin + lieu de fin + oz + j̄ + e». - Lorsque ce sont des périodes «at + Temps de départ + atakin + temps de fin + oz + j̄ + e». - Lorsque ce sont les deux «at + Temps de départ, lieu de départ + atytakin + lieu d’arriver, temps d’arriver + oz + j̄ + e».
5) Pour les structures négatives, le macron se placera sur la voyelle du marqueur temporelle liée à akin dans le cas 1 et 2. Dans le cas 3, il sera sur la voyelle du marqueur temporelle lié au verbe Apedezei ou Abikolei.
- Par exemple: Bob n’est pas originaire de Bretagne => Ātytakin eno Bretagneazj̄e Bob.
Je ne suis plus là depuis hier. => Ātatakin œtokheilozizj̄e (Imba). Luk n’ira pas jusqu’à Berlin. => Ōtapedezoze ytitækinoz eno Berlinj̄ Luk.
Le cas 4 est un peu particulier, il est possible de placé le macron sur deux positions en fonction de l’information à nier.
- Si il faut nier le point de départ le macron sera porté sur le marqueur temporel du début.
- Si il faut nier le point d’arrivé, c’est le «Y» de ytatakin qui le portera.
- Si il faut nier les deux, le macron sera sur les deux positions.
Je ne pars pas de Nantes mais (je vais) à Montaigu. => Āt eno Nantes ytatakin eno Montaigu. Je pars de Nantes mais (je ne vais) pas jusqu’à Montaigu. => At eno Nantes ȳtatakin eno Montaigu. Je ne pars de Nantes et (je ne vais) pas à Montaigu => Āt eno Nantes ȳtatakin eno Montaigu.
Préfixe cis- / trans- et le Prolatif.
1) Préfixe «trans-» donne le sens de passer d’ici à là, passer à travers, outrepassé, être au-delà. Le Préfixe «cis-» veut dire en deçà. Le suffixe «-uzn» («-ụzn» à l’écrit) permettra d’attendre le sens du préfixe trans-, supra-, ultra- dans le sens au-delà d’une limite, même si il n’existe pas d’équivalant en français. Le suffixe «-ᵫzn» permettra d’attendre le sens du préfixe cis-, infra- .
- Exemple transporter => Akyluznei.
- Un être au-delà des dieux => æktaigonzuzn.
- Un sous humain => Eigᵫzn.
2) Le prolatif, permet de mettre en évidence le vecteur d’une action. En Français il est annoncé par les prépositions «par», «via» comme dans les phrases du type «livré par bateau», «expédié par chronopost». Il est obtenu en ajoutant «-uznj̄» au nom. Il est utilisable aussi lorsque de l’acquisition de compétence ou de valeur par le biais d'un vecteur.
- Par bateau. => Amukụznj̄.
Lorsque c’est un groupe de mot comme dans «l’énergie est produite par fusion atomique». Le suffixe «-uzn» se place sur le premier mot et le «-j̄» sur le dernier de l’ensemble.
3) Pour nié le prolatif, le macron est porté par le «u» du suffixe «-uzn» («-ụ̄zn» à l’écrit). Dans ce cas, les voyelles du nom qui portent un macron ne le perde pas. Pas par avion. => Oikōvụ̄znj̄.
L’objectif.
1) En Uazei Eig·o, l’objectif est considérer comme un cas grammatical à part entière. Le terme Obhītam signifie Ambition, le préfixe «Ob-» (ou «Oḅ-» à l’écrit) associé au suffixe «-j̄» forme le cas de l’objectif ou de l’ambition.
- Par exemple : Luk veut la 1ere place => Oḅofyf̄uizi ytholozj̄ Luk itukal̄ukize.
2) Pour les tournures du type « n’a pas pour but », le préfixe «ob-» est macronisé «ōb-» (ou «ōḅ-» à l’écrit) et le suffixe «-j̄» pour nier le but et le «-j̄» est apposé sur le dernier mot de l’ensemble.
Le causal.
1) Le causal est le cas grammatical qui indique la raison et / ou la cause d’une action. En français, il est souvent annoncé par «car», «à cause de»…. En Uazei Eig·o, il fait référence au mot «Alakazam» la raison via le suffixe «-azamj̄» (ou «ạzamj̄-» à l’écrit). Par exemple: Luk est mort par amour. => Ypidonazamj̄ elitħilzifizizj̄e Luk. Lorsque la cause est un groupe de mot. Le suffixe «-azam» se place sur le premier mot et le «-j̄» sur le dernier de l’ensemble.
2) Pour les tournures du type « non pas par…ni par…», le suffixe «-azam» est macronisé «-āzam» (ou «ạ̄zamj̄-» à l’écrit) pour nier le causal et le «-j̄» est apposé sur le dernier mot de l’ensemble.
3) Pour les tournures du type « non pas par…mais par…», le 1er suffixe «-azam» est macronisé «-āzam» pour nier le causal et le «-j̄» sur le dernier mot de l’ensemble nier. Le second suffixe «-azam» reste sous sa forme affirmative et le «-j̄» sur le dernier mot de l’ensemble affirmé.
La conséquence le conséquentiel.
1) Comme pour l’objectif, la conséquence est considérer comme un cas grammatical à part entière. Il représente la mise en avant de conséquence d’une action. Dans l’exemple: Alice mange car elle a faim. Mange est la conséquence de l’état de faim (la raison) d’Alice. Le terme Elakiel signifie Conséquence, le préfixe «El-» (ou «eḷ-» à l’écrit) associé au suffixe «-j̄» forme le cas de la conséquence. Par exemple : Alice mange car elle a faim. =>Eno Alice eḷiteb’motholizj̄e itᵫguthuạzamizj̄e.
2) Pour nié la conséquence, le préfixe «el-» est macronisé «ēl-» (ou «ēḷ-» à l’écrit) et le «-j̄» est apposé sur le dernier mot de l’ensemble.
Les comparatifs.
Le mot elak signifie similitude, ēlak sans similitude, ꭡlak la différence et "ꭡ barre"lak sans différences. Ces mots vont former les structures comparatives, qui seront : «(marqueur temporel + élément 1)+ élément 2…+ (comparatif + marqueur temporel + ei / e) + élément 3 (élément 4 + j̄ )». Attention, quelques subtilités existent.
- Identique.
- Pour jusqu’à 4 éléments identiques, la structure est:
«(marqueur temporel + A) ( elak + marqueur temporel + ei / e) + B C (D + j̄)» ou «(marqueur temporel + A) B ( elak + marqueur temporel + ei / e) + C (D + j̄)»… La structure est à ordre mobile et libre car représente une égalité large entre tous les éléments, elle vaut à «est / sont identique(s) (à)».
- Au-delà de 4, il est préférable de dire gelako’g «tous semblables (entre)».
Ou «ces «éléments» sont semblables» avec la tournure «(nom + an̄+’g) + (marqueur temporel + elak + marqueur temporel + j̄ + ei / e)» Ou N éléments sont semblables, «marqueur temporel + Nombre + ko + nom + elak + marqueur temporel + j̄ + ei / e»
par exemple: 30 poissons étaient identiques («action» passée, terminée). => Atvyf ko hag’mul elakazj̄e. Ces 30 poissons sont devenus identiques. => Atvyf ko hag’mulan̄ elakizj̄e. 30 poissons dévideront identiques. => Itvyf ko hag’mul elakozj̄e.
- Sans similitudes.
- Pour jusqu’à 4 éléments sans similitudes, la structure est:
«(marqueur temporel avec macron + A) + ( elak + marqueur temporel + ei / e) + B C (D + j̄)». Attention, elle vaut à «n’est / ne sont pas identiques (entre)» même si l’ordre est mobile il faut le ménager correctement. De plus, le cas «(marqueur temporel avec macron + A) B ( elak + marqueur temporel + ei / e) C (D + j̄)», n’implique pas de point commun entre A et B ni entre C et D.
- Au-delà de 4, il est préférable de dire gēlako’g «Aucunes similarités (entre)».
Ou «ces «éléments» sont sans similitudes» avec la tournure «(nom+an̄+’g) + (marqueur temporel avec macron + elak + marqueur temporel + j̄ +ei / e)» Ou N éléments ne sont pas semblables, «marqueur temporel avec macron + Nombre + ko + nom + elak + marqueur temporel + j̄ +ei / e»
par exemple: 30 poissons ne sont pas similaires (la maintenant) => Ītvyf ko hag’mul elakizj̄ei.
- Sans différences.
- Pour jusqu’à 4 éléments sans différences, la structure est:
«(marqueur temporel avec macron + A) + (ꭡlak + marqueur temporel + ei / e) + B C (D + j̄)» ou «(marqueur temporel avec macron + A) + B + (ꭡlak + marqueur temporel + ei / e) + C (D + j̄ )» … La structure est à ordre mobile et libre car elle représente une égalité stricte entre tous les éléments, elle vaut à «n’est / ne sont pas différent(s) (à / entre)».
- Au-delà de 4, il est préférable de dire g lako’g «Aucunes différences (entre)».
Ou «ces «éléments» sont sans différence» avec la tournure «(nom+an̄+’g) + (marqueur temporel avec macron + ꭡlak + marqueur temporel + j̄ +ei / e)» Ou N éléments sont sans différences, par exemple: ces 30 poissons sont sans différences (actuellement). => Ītvyf ko hag’mulan̄ ꭡlakizj̄ei. 30 poissons étaient sans de différences (plus maintenant). => Ātvyf ko hag’mul ꭡlakizj̄e.
- Différent.
- Pour jusqu’à 4 éléments différents «(marqueur temporel + A) + (ꭡlak + marqueur temporel + ei / e) + B C (D + j̄)». La structure est à ordre mobile et libre car représente c’est une inégalité stricte entre tous les éléments, elle vaut à «est différent (de)».
De plus, le cas «(marqueur temporel + A) + B + (ꭡlak + marqueur temporel + ei / e) + C + (D + j̄ )», n’implique pas de point commun entre A et B ni entre C et D.
- Au-delà de 4, il est préférable de dire gꭡlako’g «Tous différents (entre)».
Ou «ces «éléments» sont différents» avec la tournure «(nom+an̄+’g) + (marqueur temporel + ꭡlak + marqueur temporel + j̄ +ei / e)» Ou N éléments sont différents, par exemple: 30 poissons seront différents dans le futur (mais pas actuellement) => Itvyf ko hag’mul ꭡlakozj̄e.
- Meilleurs que / pire que.
Les mots Imot et Ep signifient respectivement l’ajout et la bonté. Imotep sera donc «Le meilleur» et ꭐmotep «le pire».
1) L’adjectif meilleur ou mieux est «Zimotepe», l’adjectif pire est «Zꭐmotepe».
- Pour dire «tout est mieux ou c’est mieux» il faut utiliser zimotepe’g / itzimotepeizan̄e et son contraire zꭐmotepe’g / itzꭐmotepeizan̄e.
2) La structure «A est mieux que B» ou «A est pire que B» s’obtient comme celle du haut, c’est dire «marqueur temporel + élément(s) + (comparatif + marqueur temporel + e / ei ) + élément(s) + j̄».
- Plus que / Moins que/ autant que.
- Pour les tournures du type, X est plus «adj.» que Y:
«Plus que» => «marqueur temporel + élément(s) + adj.1 +…+ adj.n + ( imot + marqueur temporel + e / ei ) + élément(s) + j̄». «Moins que» => «marqueur temporel + élément(s) ( ꭐmot + marqueur temporel + e / ei ) + élément(s) + j̄ ». «Autant que» => «marqueur temporel + élément(s) ( upēz + marqueur temporel + e / ei ) + élément(s) + j̄».
- Pour dire «le plus ou le moins» il faut utiliser «imot + nom» puis adjectiver le tout et son contraire «ꭐmot +nom»
Par exemple: Le plus beau => zimotizakuzi. C’est le plus beau => itzimotizakuzizan̄e
- Pour les tournures du type, X «verbe» plus que Y:
«Plus que» => «marqueur temporel + élément(s) + ( «v.1» + «v.2» + … + marqueur temporel + e / ei ) + imote + élément(s) + j̄». «Moins que» => «marqueur temporel + élément(s) («v.1» + «v.2» + … + marqueur temporel + e / ei ) + ꭐmote + élément(s) + j̄ ». «Autant que» => «marqueur temporel + élément(s) («v.1» + «v.2» + … + marqueur temporel + e / ei ) + upēz + élément(s) + j̄».
- Règles communes.
1) Comme tous les autres mots, il est possible d’utiliser les préfixes d’intensité et les suffixes de connotation. Ceci permet d’attendre les sens tel que «bien plus que», «presque pareil que»…
2) Lorsqu’une partie d’un groupe veut être comparée au reste comme dans la phrase, 30 poissons dont 20 sont semblables. Il est possible d’utiliser la tournure: «Marqueur temporel + partie‘tout’ḡ ko nom + comparatif + marqueur temporel + j̄ + ei / e». Par exemple: Itzyf̄ ’vyf̄ ’ḡ ko hag’mul elakizj̄e.
3) Par l’intermédiaire des déterminatifs, il est possible d’apporter jusqu’à deux points de comparaisons sur le comparatifs.
Par exemple: 30 poissons de couleurs différentes biologiquement différents (en général) => Itvyf ko hag’mul ꭡlakizj̄e·ybu·oiz. Au-delà de 2 caractéristiques, il est préférable de les citer.
4) Il est possible de mixer les comparatifs et les marqueurs temps. « (Marqueur temporel C1 + élément A ) + (Comparatif 1 + marqueur temporel C1 + e / ei ) + B + C + (Marqueur temporel C2 + D + j̄) + ( Comparatif 2 + marqueur temporel C2 + e / ei) F G (H + j̄)». Par exemple: A est diffèrent de B et C et sera meilleurs que D => itA ꭡlakize B Cj̄ otimotepoze Dj̄.
- Dans cette structure, il est possible d’énumérer autant d’éléments que souhaité.
- Elle est à ordre mobil mais doit être ménagé.
- Attention, généralement, le premier élément cité est la «référence» des comparatifs.
Liens
Notes
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