Ŧhub
| ||||
---|---|---|---|---|
Année de création | Création 1973 (langue-décor) ; diffusion 2010 | |||
Auteur | Anoev (Lakùr) | |||
Régulé par | Anoev | |||
Nombre de locuteurs | 0 (dans la réalité) | |||
Parlé en | — | |||
Idéomonde associé | Pande | |||
Catégorie | Persolangue | |||
Typologie | Langue mixte, à plus de 90% à-priori | |||
Alphabet | Mélange | |||
Lexique | en projet | |||
Version | — | |||
Codes de langue | ||||
ISO 639-1 | — | |||
ISO 639-2 | — | |||
ISO 639-3 | ||||
Préfixe Idéopédia | THB |
Sommaire
Historique
Plus encore que l'aneuvien, le ŧhub fut lié à l'idéomonde dont il est l'origine : une province aneuvienne, située au sud-est et avec une identité propre, même si l'aneuvien y subsiste, comme langue d'échange. D'abord langue bleue (voire langue-décor) le ŧhub allait petit à petit intéresser davantage son créateur, notamment parce que quelques trouvailles grammaticales imaginées ou bien impudemment puisées (notamment dans les lignes de l'Atelier) allaient se rendre incompatible avec ce qui régit l'aneuvien. Le ŧhub est donc entrain de sortir de son état embryonnaire. La gestation a duré trois décennies : tout d'abord quelques mots griffonnés sur des bouts de papier ; puis les logiciels de traitement... d'image<ref>non non : pas de traitement de texte : vous avez bien lu</ref>, un nom, puis un autre ; une province aneuvienne comme terreau ; quelques idées qui commencent à murir, qu'il faut bien se résoudre à mettre noir sur blanc ; l'embryon devient fœtus puis, bientôt...
Alphabet & phonologie
L'alphabet ci-dessous est une version exploitable par les moyens courants dont on dispose aujourd'hui. C'est une espèce de synthèse de plusieurs alphabets ayant cours en Europe et qui a été « mis en application » aux antipodes de ce continent. La prononciation de certaines lettres n'a parfois rien à voir avec son utilisation originelle (notamment le Щ, le Є ou le У). Toutefois, une certaine « logique » a été, semble-t-il, maintenue. Certaines lettres ont deux versions de bas de casse. La plus ancienne est utilisée pour l'imprimerie, l'autre, initialement issue de l'écriture manuscrite, est utilisée tout d'abord pour la dactylographie, puis, pour les traitements de textes. La prononciation des lettres est très régulière et les exceptions sont quasi inexistantes. Certaines lettres sont assez peu utilisées et sont, dans la pratique courantes, remplacées par des lettres latines munies de tréma, diacritique naguère utilisé dans l'orthographe aneuvienne. Quant à la dernière (ƀ), ce n'est ni une voyelle, ni une consonne. C'est une lettre muette destinée à empêcher une consonne voisée de se trouver en fin de mot (et d'être "dévoisée", par conséquent) ou bien à éviter une homographie gênante.
|
|
Accentuation
L'accent tonique est toujours située sur la première syllabe du RADICAL du mot. Toutefois, les préfixes (notamment en conjugaison, voir plus loin <ref>En préparation</ref>) sont nombreux. Les voyelles longues sont doublées mais, à l'inverse de l'aneuvien, ne portent pas obligatoirement l'accent tonique.
Grammaire
Le nom
Le nom est, avec le verbe, un des piliers de la phrase chup, c'est aussi le mot qui a le plus de flexions. On compte
- Trois genres :
- le naturel
- le matériel
- l'abstrait.
- Trois nombres :
- le singulier
- l'indéterminé
- le pluriel
- Trois cas :
- le direct
- l'objet
- le régime.
Tous les êtres vivants, ainsi que certains mots, comme "montagne", "rivière" etc... sont "naturels", de même que les parties anatomiques ; les mots comme "maison", "statue" etc... sont du genre "matériel" et les noms comme "peur", "faim", "amour", "dieu" sont du genre "abstrait" (traductions à venir). Les noms de métiers sont dans la catégorie "abstrait" ou "matériel", c'est selon.
Le singulier est utilisé lorsqu'un seul objet est pris en considération (l'homme que j'ai vu). Le pluriel indique de manière précise l'existence de plusieurs exemplaires (au moins deux). Dans tous les autres cas, notamment, entre autres, le partitif, on utilisera l'indéterminé. Ce nombre est notamment requis dans des phrases du style : "le loup vit en meutes".
Le "direct" est le cas utilisé comme nominatif ou comme vocatif.
L'"objet" est, comme en aneuvien, utilisé pour traduire les compléments d'objet directs (accusatif) & indirects (datif), toutefois, on ne l'utilisera jamais pour un complément circonstanciel de destination (illatif). Les compléments circonstanciels, ainsi que les compléments de noms ou d'adjectifs, sont déclinés au "régime", le cas le plus important de la déclinaison chup et qui tient lieu à la fois de génitif et de circonstanciel.
L' adjectif qualificatif
Les déterminants
L'adverbe
Le verbe
Les autres mots
Lexique
En gestation