A posteriori de synthèse

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En comparaison avec l' a posteriori direct (hænt, tor, doni, becco, pük) qui prend directement les racines, y compris si elles sont agglutinées dans les langues-sources (gymnasio), l'a posteriori de synthèse est obtenu de plusieurs manières possibles, et on ne reconnait pas toujours le "point de départ" du mot :

  1. On utilise la combinaison plusieurs racines d'origines différentes et ayant la même signification :
    système notamment utilisé (uropi) dans liam (amour), mand (main) & dans hrupid (aneuvien bruit).
  2. On utilise des racines différentes de celle(s) utilisés pour la traduction du mot :
    Un gymnase, du grec γυμνός (nu), est traduit par une agglutination de termes a postériori de sens différents : sokisal (aneuvien), où on retrouve σῶμα (corps), κίνησις (mouvement) et sal (du francique).
  3. On utilise (elko) la transcription onomastique appliquée, afin de pouvoir écrire en abde des termes comprenant des lettres incompatibles avec cet alphabet.
    Horakty (dieu de la polarité dans la mythologie égyptienne) à donné la clé TĖW (polarité)
  4. On utilise les anacycliques ou les ambigrammes (aneuvien),
    soit directement (avec ou sans menues transformations) :
    parent → parèn → neràp → enfant (filiation)
    dieu → div → vid ou vib → diable.
    soit indirectement par l'intermédiaire de systèmes d'écriture plus ou moins ésotériques :
    dieu → div → dɪv ʌɪp → lhip → mythe.
    obtention du mot żhod pour "coccinelle".
  5. Soit à partir de noms propres (elko & aneuvien).