Pande : Différence entre versions
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− | Les contacts aves ces premiers Européens (ceux qui avaient fui les persécutions religieuses) ne posaient guère de problème aux autochtones mais c'est quand les autres (colons, chargés de mission etc...) arrivèrent que les choses se gâtèrent sérieusement et la Pande devint une terre de conflits permanents. les colons investyirent des zones de plus en plus étendues et chassèrent les Teheub des meilleures terres. Heureusement, ces derniers avaient des alliés, y compris parmi les Européens et certains Ptahx & Akrigs. cependant, les pertes, pendant les régimes Deskerrem et hakrel furent importantes. La libération de 1945 ne résolut pas le problème et un certain nombre de ''nostalgiques'' s'enracinèrent à Soldalker et, malgré les nouvelles loi fédérales, imposèrent des conditions de vie humiliantes aux autochtones n'ayant pas fui au Malyr ou au Kanolthe. Cette situation dura jusqu'en octobre 1972 où la population teheub se souleva contre ses oppresseurs et marcha sur le palais provincial de Sordalker. Les hommes de Krœvolt, bientôt débordés, appelèrent l'armée fédérale à la rescousse, mais celle-ci n'intervint pas; mieux, certaines unités, À Sordalker, à Rægde ou à Saremm, fraternisèrent avec la population insurgée. Le gouvernement provincial changea alors<ref>Le 17 novembre</ref>, mais les ennuis n'étaient pas terminés pour autant. les anciens colons se replièrent vers les [[Santes]] et exigèrent une contrepartie de la perte de "leurs" terres. Ils demandèrent une bande d'environ 100 km, jusqu'à la rive droite de la Koret (ce qui aurait eu pour conséquence de couper Sordalker en deux) ainsi que des "îlots" à Saremm Tonnd et Aldstad<ref>Sur l'"ancienne" carte, les emplacement de Tonnd et Aldstád ont été erratiquement intervertis.</ref>. Finalement la bande octroyée ne coupa pas Sordalker, mais Neżaṅk; et aucun ''îlot'' ne fut concédé. Par ailleurs, la Pande obtint un statut particulier qui lui permit | + | Les contacts aves ces premiers Européens (ceux qui avaient fui les persécutions religieuses) ne posaient guère de problème aux autochtones mais c'est quand les autres (colons, chargés de mission etc...) arrivèrent que les choses se gâtèrent sérieusement et la Pande devint une terre de conflits permanents. les colons investyirent des zones de plus en plus étendues et chassèrent les Teheub des meilleures terres. Heureusement, ces derniers avaient des alliés, y compris parmi les Européens et certains Ptahx & Akrigs. cependant, les pertes, pendant les régimes Deskerrem et hakrel furent importantes. La libération de 1945 ne résolut pas le problème et un certain nombre de ''nostalgiques'' s'enracinèrent à Soldalker et, malgré les nouvelles loi fédérales, imposèrent des conditions de vie humiliantes aux autochtones n'ayant pas fui au Malyr ou au Kanolthe. Cette situation dura jusqu'en octobre 1972 où la population teheub se souleva contre ses oppresseurs et marcha sur le palais provincial de Sordalker. Les hommes de Krœvolt, bientôt débordés, appelèrent l'armée fédérale à la rescousse, mais celle-ci n'intervint pas; mieux, certaines unités, À Sordalker, à Rægde ou à Saremm, fraternisèrent avec la population insurgée. Le gouvernement provincial changea alors<ref>Le 17 novembre. À cette issue, le Président de la République d'alors, prononça un discours qui signifia la fin des combats et une nouvelle ère pour la Pande:<br/> |
+ | ''[http://www.crdp-reims.fr/cinquieme/page26ter.htm <font color=black>Eg intella orse...</font>] E ste æt qua dem pruxa iyr... Eg vedj æc quas or vellar dor. Eg vedj tep àt rood quas or opnar Paṅdev, æt àt renovèntyn ea't franet.''<br/> | ||
+ | ''Eg dik àt renovèntyn ar omne rugese. Do, rigasert, or vellar tep æt adempeç per àt adempecatev, æt diktun per ed istitúntyne ene, ea æt setad eg mad.''<br/> | ||
+ | ''Ea eg dik àt franet serat or nàlgeve æt renafig orlugac ùr dune qua, fran ùt kunev dyn àt alis, quàte àr komunàlete er, eskàrnese àt idem ortor ea aṁb tenje àt hæntes...''<br/> | ||
+ | Mais lorsqu'il répéta son discours, en [[teheub]] cette fois-ci, les colons surent qu'ils n'avaient rien à attendre du gouvernement fédéral et que la partie était perdue.</ref>, mais les ennuis n'étaient pas terminés pour autant. les anciens colons se replièrent vers les [[Santes]] et exigèrent une contrepartie de la perte de "leurs" terres. Ils demandèrent une bande d'environ 100 km, jusqu'à la rive droite de la Koret (ce qui aurait eu pour conséquence de couper Sordalker en deux) ainsi que des "îlots" à Saremm Tonnd et Aldstad<ref>Sur l'"ancienne" carte, les emplacement de Tonnd et Aldstád ont été erratiquement intervertis.</ref>. Finalement la bande octroyée ne coupa pas Sordalker, mais Neżaṅk; et aucun ''îlot'' ne fut concédé. Par ailleurs, la Pande obtint un statut particulier qui lui permit | ||
:L'adoption du Teheub comme langue officielle (l'aneuvien ne serait plus que langue d'échange) | :L'adoption du Teheub comme langue officielle (l'aneuvien ne serait plus que langue d'échange) |
Version du 7 juin 2010 à 00:41
La Pande s'étend du piémont sud des Alorynes jusqu'à l'océan, avec une frontière à l'ouest avec les Santes. Elle est traversée par deux fleuves prenant leur source dans les Alorynes, à savoir la Koreca et l'Eđna (Koret & Ende, au Malyr). Vaste étendue forestière, la pande est assez peu industrialisée, sauf aux abords de Sordalkÿ et de de Donđke v(port). L'île volcanique de Lođnika fait également partie de la province.
Avant l'arrivée des Européens, la Pande était exclusivement peuplée de Teheubs, lesquels vivaient des ressources de la forêts, mais avaient également des cités où règnait une activité commerciale.
Les contacts aves ces premiers Européens (ceux qui avaient fui les persécutions religieuses) ne posaient guère de problème aux autochtones mais c'est quand les autres (colons, chargés de mission etc...) arrivèrent que les choses se gâtèrent sérieusement et la Pande devint une terre de conflits permanents. les colons investyirent des zones de plus en plus étendues et chassèrent les Teheub des meilleures terres. Heureusement, ces derniers avaient des alliés, y compris parmi les Européens et certains Ptahx & Akrigs. cependant, les pertes, pendant les régimes Deskerrem et hakrel furent importantes. La libération de 1945 ne résolut pas le problème et un certain nombre de nostalgiques s'enracinèrent à Soldalker et, malgré les nouvelles loi fédérales, imposèrent des conditions de vie humiliantes aux autochtones n'ayant pas fui au Malyr ou au Kanolthe. Cette situation dura jusqu'en octobre 1972 où la population teheub se souleva contre ses oppresseurs et marcha sur le palais provincial de Sordalker. Les hommes de Krœvolt, bientôt débordés, appelèrent l'armée fédérale à la rescousse, mais celle-ci n'intervint pas; mieux, certaines unités, À Sordalker, à Rægde ou à Saremm, fraternisèrent avec la population insurgée. Le gouvernement provincial changea alors<ref>Le 17 novembre. À cette issue, le Président de la République d'alors, prononça un discours qui signifia la fin des combats et une nouvelle ère pour la Pande:
Eg intella orse... E ste æt qua dem pruxa iyr... Eg vedj æc quas or vellar dor. Eg vedj tep àt rood quas or opnar Paṅdev, æt àt renovèntyn ea't franet.
Eg dik àt renovèntyn ar omne rugese. Do, rigasert, or vellar tep æt adempeç per àt adempecatev, æt diktun per ed istitúntyne ene, ea æt setad eg mad.
Ea eg dik àt franet serat or nàlgeve æt renafig orlugac ùr dune qua, fran ùt kunev dyn àt alis, quàte àr komunàlete er, eskàrnese àt idem ortor ea aṁb tenje àt hæntes...
Mais lorsqu'il répéta son discours, en teheub cette fois-ci, les colons surent qu'ils n'avaient rien à attendre du gouvernement fédéral et que la partie était perdue.</ref>, mais les ennuis n'étaient pas terminés pour autant. les anciens colons se replièrent vers les Santes et exigèrent une contrepartie de la perte de "leurs" terres. Ils demandèrent une bande d'environ 100 km, jusqu'à la rive droite de la Koret (ce qui aurait eu pour conséquence de couper Sordalker en deux) ainsi que des "îlots" à Saremm Tonnd et Aldstad<ref>Sur l'"ancienne" carte, les emplacement de Tonnd et Aldstád ont été erratiquement intervertis.</ref>. Finalement la bande octroyée ne coupa pas Sordalker, mais Neżaṅk; et aucun îlot ne fut concédé. Par ailleurs, la Pande obtint un statut particulier qui lui permit
- L'adoption du Teheub comme langue officielle (l'aneuvien ne serait plus que langue d'échange)
- L'autorisation d'éditer des billets de banque
- La constitution d'un corps autonome de gendarmerie (destiné, entre autre à calmer la rancœur d'anciens colons et extrêmistes de tout poil).
- L'autonomie des services publics (énergie, transportts, santé).
Les villes changèrent de nom, soit complètement: Rægde devenant Koddarka-Ruӄa, Saremm devenant Eđna; soit en gardant une ancienne racine: Sordalker → Sordalkÿ, Neżaṅk → Neđanka...
Quelques troubles éclatèrent pendant les six à sept années qui suivirent — les anciens colons, venus grossir les rangs de l'extrême-droite, retranchés à Neżaṅk (la partie occidentale) et Smùhr effectuant quelques expéditions — justifiant une ligne de démarcation le long de la limite interprovinciale et l'établissement de "postes de passage" étroitement surveillés (le passage de Neżaṅk n'ayant rien à envier au défunt Check-point Charlie). Puis, au fil des années, les extrêmistes, tant d'un côté que de l'autre<ref>Car il y en avait aussi du côté Teheub, qui, malgré les avantages obtenus par la Pande, n'avaient pas digéré la perte de territoires à l'ouest, notamment Żhenek, ni l'abandon partiel du calendrier dans les services publics (horaires des trains, notamment) et considéraient les parlementaires comme des traîtres et des vendus et les non-teheub comme des envahisseurs, quels que soient leurs desseins, et le leur faisaient clairement savoir.</ref> perdirent le plus fort, tant de leur audience que de leurs moyens matérels et la situation se normalisa.
Le plus fort de l'activité pandaise est l'exploitation forestière, même si certaines industries (souvent en rapport avec le carton ou la papéterie, d'ailleurs) sont établies à la sortie des villes. Les activités liées à la pêche (conserveries) sont également présentes. D'autres industries (Kærtham, à Gʀaѥ) se sont établies depuis. Les services publics se sont également développés, au début avec l'aide des autorités fédérales (et contre la mauvaise grâce des autorités santoises), puis de manière plus autonome. La plus grande entreprise (nombre de salariés) étant les ПAƋ (Пandjя Administʀÿ Ƌenesвeʀє: chemins de" fer de l'administration pandaise).
<references />