Braal
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Année de création | 2014 | |||
Auteur | Herr Kouak' | |||
Régulé par | ||||
Nombre de locuteurs | ||||
Parlé en | ||||
Idéomonde associé | oui | |||
Catégorie | Langue artistique | |||
Typologie | Langue a posteriori | |||
Alphabet | Kesnovt Latin (transcription) | |||
Lexique | ||||
Version | ||||
Codes de langue | ||||
ISO 639-1 | — | |||
ISO 639-2 | — | |||
ISO 639-3 | ||||
Préfixe Idéopédia | IDEO_BRL |
Le braal est une idéolangue créée par Herr Kouak' en 2014.
Sommaire
Historique
Selon la diégèse de l'auteur, les langues de l'humanité découlent d'une seule et unique langue, bâtarde de l'elfique et du kouril : le rehenien. Celle-ci, disparue depuis, eu deux filles : le pulh et le brahan. C'est de cette dernière, en filiation directe que découle le braal. C'est une langue isolée, en cela qu'elle à évoluée depuis sa naissance sans contact aucun avec une autre. C'est, en d'autre termes, une langue relativement mixte, mêlant des mots complètement ex-nihilo, comme braal (vent), à des construction a-posteriori, piqué de l'allemand (participe passé régulier en ke-). L'allemand étant censé être (diégèsiquement parlant) une fille croisée du brahan.
Alphabet & prononciation
Le Braal n'a jamais eu de contact avec les langues européennes, il ne se note donc pas avec l’alphabet latin, ce qui est le cas de toutes les autres langues de l'Ustie. Le Braal se note en alphabet kesnovt ("soufflé"), mais se retranscrit fort bien en alphabet latin :
- Aa
- Bb
- Dd
- Ee [ə]
- Vv [f]
- Gg [dʒ]
- Hh (aspiré ou soufflé selon les cas)
- Ii
- Jj [j]
- Kk
- Ll
- Mm
- Nn
- Oo
- Pp
- Rr
- Ss
- Tt
- Uu [ u ]
- Ww [v]
- Zz
- Ää [e]
- Ëë [ə:]
- Eueu [œ]
- Üü [y]
- aa [a:]
- uu [u:]
Morphologie
Grammaire
Genre et nombre
Il n'existe pas à proprement parlé de genre en Braal. On classe les noms en deux catégories : le neutre et le commun, ainsi :
- le commun
- Ot braal : le vent
- Ot il : le fils
- Ot braalil : l'homme (humain)
- Ot snov : le souffle, la vie
- le neutre
- Ob luk : le tonnerre
- Ob nuz : le ciel
- Ob eunk : la mort
- Ob tolik : l'écrit, le texte
Au singulier neutre, le défini est 'ob', au singulier commun, 'ot'. L'indéfini n'existe qu’au singulier et est confondu au neutre et au commun : 'ej'.
- Ej kül braal. "Un vent froid."
Au pluriel, l'article est 'üb' au neutre, 'üt' au commun.
- Üt braale älen küle. "Les vents sont froid."
On remarque que 'vent' et 'froid' on prit la marque -e. C'est la marque du pluriel qui se prononce (facultatif) en allongeant la consonne finale du mot.
Enfin, un dernier nombre : l'absence de quantité (y'a t-il un nom à ce nombre, je n'en ai pas trouvé?). Calque du 'kein' allemand, on aura : 'nej', à l'indéfini neutre et commun. Pour le défini, on aura respectivement 'nob' et 'not' (au défini, le nom prend la marque -e).
Les deux expriment une nuance : d'absolu pour le défini, de relatif pour l'indéfini :
- E'kap nej kluk "Je n'ai pas de chance (en ce moment)"
- E'kap nob kluke. "je n'ai pas de chance (du tout)"
Les genres ne sont pas réellement fixe (il ne sont en fait que théorique) : on pourra trouver Ot eunk qui aura dans ce cas un sens plus fort, ou poétique. Ainsi, Üt tolike désignera des textes sacrés, religieux.
Syntaxe
Lexicologie
Chiffres et nombres
- 0 : siv
- 1 : ah
- 2 : isn
- 3 : san
- 4 : kvir
- 5 : vün
- 6 : sek
- 7 : siehb
- 8 : ak
- 9 : nü
- 10 : ashar
- 11 : ahz
- 12 : isnash
- 13 : sanashar
- 14 : kvirashar
- 15 : vünashar
- 16 : sekash
- 17 : siehbash
- 18 : akashar
- 19 : nüshar
- 20 : isnik
- 30 : sanik
- 40 : kvirik
- 50 : vünik
- 100 : miah
- 1000 : alv
Échantillon
Exemple de texte
Idéomonde associé : Le XXX
Liens
Notes
<references/>