Sahun
| ||||
---|---|---|---|---|
Année de création | 2011 | |||
Auteur | Lodrana | |||
Régulé par | ||||
Nombre de locuteurs | ||||
Parlé en | ||||
Idéomonde associé | ||||
Catégorie | Langue artistique Langue expérimentale Langue auxiliaire | |||
Typologie | Langue a priori langue a posteriori Langue mixte | |||
Alphabet | Latin | |||
Lexique | ||||
Version | ||||
Codes de langue | ||||
ISO 639-1 | — | |||
ISO 639-2 | — | |||
ISO 639-3 | ||||
Préfixe Idéopédia | IDEO_SAH |
Le sahun est une idéolangue créée en 2011 par Lodrana.
Sommaire
Historique
Le sahun est issue d'une langue plus ancienne : le Seçam.
Alphabet & prononciation
Le sahun possède un alphabet un peut hybride. Il est composé de 6 voyelles pures, 1 diphtongue , 1 voyelle nasale, 12 consonnes et deux demi-consonnes.
Morphologie
Le sahun est une langue composée de deux classes de mots : les mots que l'on appelle bases et qui serviront à former les noms, les adjectifs et les verbes; et les suffixes qui serviront d'adverbes et permettront de lier les phrases entre elles ou d'apporter des précisions ... Donc une même base peut servir à la fois pour un verbe, un nom ou un adjectif. Sachant que toutes les bases n'entrent pas dans les trois catégories. Du fait de la construction de ces bases, elles seront appelées le radical nominal par défaut.
Grammaire
Déclinaison
Le sahun compte huit cas :
- COD
- COI
- Complément Circonstanciel de Lieu (CCL),
- Complément Circonstanciel de Temps (CCT)
- Complément Circonstanciel d'Accompagnement (CCA)
- Complément Circonstanciel de Manière Concrète (CCMC)
- Complément Circonstanciel de Manière Abstraite (CCMA)
- Complément Circonstanciel de Cause (CCC)
Syntaxe
Une phrase s'organise de la manière suivante: Compléments autre que COD et COI en premiers, Verbe, Sujet, COD, COI. La phrase basique se réduit donc à V-S-O. Il faut savoir que les compléments au noyau sont placé par ordre croissant d'importance. Dans la culture de ce peuple ce qui vient en dernier est plus important. L'objet, ce qui reçoit l'action est plus important que celui qui fait l'action qui est plus important que l'action elle même. Les circonstances de l'action sont moins importantes que le noyau de la phrase, c'est pourquoi on les places en début de phrase. L'ordre des mots dans le noyau de la phrase est immuable, l'ordre du reste ne modifie pas le sens mais apporte les précisions sur ce qui est plus important.
On présente en général les bases comme suit (ou du moins je tenterai de le présenter comme suit) :
- iyamo, me : un pas, un gouffre, marcher, aller vers
- nasnak, aj: les yeux, regarder, jeter un coup d'œil
- menya, aj: un chat, un chaton, une chatte
On retrouve en premier le radical nominal et en second sa désinence au cas COD qui détermine son genre et son modèle de déclinaison. Pour le moment seule sa traduction peut nous renseigner sur sa nature. Ici iyamo peut à la fois être un nom et un verbe alors que menya ne peut être utilisé que comme un nom.
Dans une phrase quand un nom est utilisé en tant que verbe on n'écrit que son radical et la première lettre prend un signe calligraphique (deux petits cercles sous la lettre que je vais retranscrire par une majuscule en lettres romanes). Le nom qui remplit la fonction de sujet quand à lui est aisément reconnaissable car il porte la marque du temps.
Idéomonde associé : Mestha
Liens
Notes
<references/>